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Sécurité ferroviaire Brétigny, deux ans après

28 Juil 2015

Dossiers > Sécurité ferroviaire Brétigny, deux ans après

Indemnisation des victimes, où en est-on ?

C’est l’accident ferroviaire le plus grave en France depuis plus de 25 ans. Dans le déraillement de Brétigny le 12 juillet 2013, trois personnes à bord et quatre sur le quai ont trouvé la mort. 70 autres ont été blessées. La SNCF a aussitôt fait savoir qu’elle en assumerait toutes les conséquences. Et pour l’indemnisation des victimes, elle souhaitait « aller vite ». C’est la proposition d’indemnisation à l’amiable qui a été retenue. Deux ans après, comment ces sommes ont été déterminées et où en est cette procédure ? Avant qu’aucune démarche ne soit lancée, la SNCF décidait, juste après l’accident, de proposer une aide de première urgence aux victimes séjournant à l’hôpital et aux proches des personnes décédées. Des aides qui ont pu aller jusqu’à 50 000 euros et qui ne seront pas déduites des indemnisations finales. Autre mesure exceptionnelle : la mise en place pour la première fois lors d’un accident de transport terrestre d’une mission de coordination d’ensemble du dispositif d’aide aux victimes, confiée à un haut fonctionnaire, Philippe Cèbe. Au 31 mai dernier, sur 216 personnes qui ont déclaré un dommage corporel physique ou psychologique, 212 avaient reçu une offre d’indemnisation. Et 106 l’ont dé...

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