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Alstom : des élus inquiets pour l’emploi

07 Avr 2016

Alstom

Mis à jour le 23 mai 2017

Dix parlementaires, parmi lesquels Fabienne Keller, sénatrice LR du Bas-Rhin, Michel Raison, sénateur LR de Haute-Saône et Cédric Perrin sénateur LR du Territoire de Belfort, se sont déclarés inquiets pour le maintien de l'emploi sur les sites d'Alstom en France après une réunion organisée, le 6 avril, à l'Elysée avec des conseillers du président François Hollande.

Les conseillers de l'Elysée ont confirmé, le 6 avril, aux parlementaires le choix de renouveler le parc des Intercités via un appel d'offres. Le 19 février, Alain Vidalies, secrétaire d'Etat aux Transports, avait annoncé que « le renouvellement des Corails se ferait via un appel d'offres et non via l'extension des contrats-cadres conclus avec Alstom, afin de se prémunir contre un éventuel "risque de recours juridique" ».

« Cette décision , ont commenté les sénateurs Michel Raison, sénateur LR de Haute-Saône et Cédric Perrin sénateur LR du Territoire de Belfort, signe l'arrêt de la production sur les sites d'Alstom en 2017, notamment des sites de Belfort et d'Ornans et met en péril des milliers d'emplois ».

L’annonce du ministre, en février, avait été assortie d'une commande de 30 nouvelles rames pour Alstom. Les sénateurs font également remarquer que la commande « des 30 rames pour un investissement de 400 millions d'euros n'a pas été notifiée auprès du groupe. Un doute subsiste quant aux signataires de la commande, l'Elysée laissant entendre qu'il reviendrait aux régions de commander le matériel, ce qui n'est pas envisageable », a dénoncé de surcroît Michel Raison.

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