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Valérie Pécresse commande 100 Regio 2N de plus à Bombardier

27 Fév 2017

Bombardier

Mis à jour le 23 mai 2017

Elle n’est pas arrivée les mains vides. Venue visiter à Valenciennes les sites de Bombardier (Crespin) et d’Alstom (Petite-Forêt), où seront produits les RER 2N NG, Valérie Pécresse a annoncé le 22 février une nouvelle commande de 99 Regio 2N à Bombardier. L’Ile-de-France a déjà commandé 42 trains de ce type (issus de la plateforme Omneo), où alternent voiture à un niveau et à deux niveaux, selon un principe qui sera d’ailleurs retenu pour le RER 2N NG. Et la première des rames déjà produites par Bombardier a pu être présentée à la délégation emmenée par la présidente du conseil régional. Le train a été adapté aux demandes de la région, avec cinq sièges de rang (deux + trois), d’assez larges espaces de circulation sur les plateformes, permettant que se croisent facilement les personnes qui montent dans le train et celles qui en descendent, et des sièges multicolores reprenant la plupart des couleurs du Francilien.
Le Regio 2N, dont on découvrait cette nouvelle version, a déjà trois ans d’existence. Il a fêté son centième exemplaire en octobre à Crespin, et donne satisfaction aux régions. C’est « un train bien né », commente Guillaume Pepy. Et c’est vrai, il n’a pas connu les déboires de déverminage du Francilien. De quoi donner envie d’en acheter d’autres… Les 42 trains déjà commandés par l’Ile-de-France à Bombardier circuleront à partir de décembre de cette année sur la ligne R de Transilien (Melun, Montargis, Montereau). Les suivants, annoncés le 22 février par Valérie Pécresse, étaient déjà dans les tuyaux, mais n’avaient pas encore été confirmés. La commande devrait être officialisée d’ici la fin mai, a précisé la présidente du conseil régional. 80 de ces nouveaux trains sont destinés à la ligne N (Montparnasse – Rambouillet/Mantes-la-Jolie) et 19 à la ligne D du RER, dont un tronçon pour Malesherbes doit être débranché, selon les vœux de la SNCF. Une opération prévue pour rendre l’exploitation du RER D plus robuste, dont le principe a été accepté par le Stif mais qui passe mal auprès des usagers qui devront recourir à une correspondance… Seront-ils rassurés, maintenant qu’ils savent qu’ils disposeront, pour leur parcours initial ou final, d’un beau train tout neuf… avant de monter dans un RER 2N de nouvelle génération ?
La nouvelle commande va donner du travail à l’usine de Crespin, qui produit aujourd’hui quatre Regio 2 N et deux Francilien par mois. Et qui pourra poursuivre à ce rythme la production des Regio 2N pendant encore deux ans.
Dans le site d’Alstom de Petite-Forêt, deuxième étape de la visite de la délégation, la situation est plus compliquée. Les halles en grande partie vides de Petite-Forêt témoignent de la baisse du plan de charge que connaît l’usine. Et proclament que les capacités de production sont là et ne demandent qu’à être employées. Elles seront largement mobilisées par le RER 2N NG, dont Alstom réalisera 70 %, mais dans l’ensemble de ses sites nationaux, et Bombardier 30 %, dans son seul site français de Crespin.
Les commandes, c’est de l’emploi. Et c’est la première préoccupation de Xavier Bertrand. Le président de la région Hauts-de-France a bien en tête que les commandes vont se solder par un maintien de l’emploi, au-delà même des sites des deux intégrateurs, dans les entreprises de la filière nombreuses dans la région. Et, pour pérenniser l’emploi, Xavier Bertrand, sait bien qu’il ne faut pas uniquement compter sur le matériel neuf. Il a une idée. Que l’on utilise le savoir-faire industriel de la région pour la rénovation ou la maintenance des trains. Discussion qui ne sera peut-être pas simple avec la SNCF.
F. D.

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