fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Oui aux biocarburants vraiment bio

16 Sep 2008

Mis à jour le 23 mai 2017

C’était un vote très attendu : la Commission Industrie du Parlement européen s’est prononcée sur l’objectif contesté de 10 % de biocarburants dans l’essence d’ici 2020. Leur prise de position était cruciale, car elle sera très vraisemblablement suivie lors du vote en séance pleinière. Les eurodéputés ont accepté de conserver le chiffre, mais ils ont introduit de grosses nuances et d’importants garde-fous par rapport au projet initial de la Commission européenne présenté en janvier dernier. Sur ces 10 %, 40 % devront être fournis par l’hydrogène, l’électricité ou des biocarburants de deuxième génération, c’est à dire ceux issus de la biomasse. Ce qui réduit d’autant la part des agrocarburants de première génération dont la durabilité est souvent contestée. Pour être reconnus comme tels, les biocarburants doivent émettre 45 % de C02 (et non pas 35 % seulement) de moins qu’une essence classique. Enfin, la Commission Industrie a introduit une clause de révision de ces objectifs à l’horizon 2014, elle permettra aux pays européens de revenir en arrière s’ils estiment qu’ils se sont trompés ou si les technologies n’ont pas suivi. La décision a été adoptée à une très large majorité. « C’est un grand jour pour les énergies renouvelables en Europe », s’est félicité le rapporteur du texte, l’écologiste luxembourgois Claude Turmes.

sur le même thème

réagissez à cet article

Accédez à l’espace débat