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Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie du Développement durable et de l'Energie
Publié le 03/04/2014 à 06h46

Ségolène Royal, a été nommée, le 2 avril, ministre de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie, du nouveau gouvernement dont Manuel Valls est le premier ministre…
  A 59 ans, l’ancienne candidate socialiste à la présidentielle de 2007 et ancienne compagne du président François Hollande, retrouve un ministère qu'elle avait déjà occupé en 1992. Mais, cette fois, son poste inclut l’Energie.

Elle  sera la quatrième à occuper cette fonction depuis que François Hollande est président. La première a été Nicole Bricq, débarquée le 21 juin 2012 sur une affaire de droit de forage pétrolier en Guyane qui l’opposait à Arnaud Montebourg. La deuxième, Delphine Batho, a été remerciée un an plus tard, le 2 juillet 2013, pour avoir contesté des arbitrages budgétaires. Philippe Martin a pris la suite, pour neuf mois. Cette fois encore le ministère de l’Ecologie et de  l’Energie est confié à un (e) socialiste.  « Socialiste, et de gauche » a précisé Philippe Martin le 2 avril lors de la passation de pouvoir, se félicitant d’un profil politique qui, faut-il croire, ne va pas de soi. Rassuré aussi, a-t-il précisé, que les socialistes assument eux-mêmes la « social- écologie  », et  n’aient pas délégué le ministère à des écologistes.

Certes, mais c’est le refus des écologistes qui explique ce choix. Les responsables d’Europe Ecologie Les Verts reçus  le 1er avril par le nouveau Premier ministre se sont vu proposer, un peu éberlués que Manuel Valls aille aussi loin, un grand ministère comme celui naguère confié à Jean-Louis Borloo. Tentant. Si tentant même que le refus de leurs représentants les divise (ce dont ils ont l’habitude). Pierre Serne, EELV, vice-président Transports et Mobilités d’Ile-de-France, en phase avec ce refus, explique : « comme il n’y avait aucun infléchissement en vue sur la contrainte budgétaire et les 50 milliards d’économie, cela voulait dire que le ministre aurait dû prendre son bâton de pèlerin  pour annoncer qu’on renonçait aux projets. »

A droite, la nomination de Ségolène Royal est bien sûr critiquée. Se plaçant sur un terrain local cher à la présidente de la région Poitou-Charentes, Dominique Bussereau ironise sur le sauvetage manqué du carrossier Heuliez et de la Mia Electric. Bertrand Pancher (UDI) critique une « farce royale », le ministère confié à Ségolène Royal étant privé du logement, « pourtant premier poste d’attaque en matière de transition énergétique ».

22 ans jour pour jour après avoir pris pour la première fois ce même portefeuille, la nouvelle ministre a promis un grand avenir à la croissance verte, et lié développement durable et combat pour l’emploi. Elle a mentionné dans la litanie des sujets qu’elle va superviser « les transports propres », ce qui laisse penser qu’elle pourrait, classiquement, se voir adjoindre un ministère délégué ou un secrétariat d’Etat aux transports dont le titulaire n’est pas connu.

De nouveau Frédéric Cuvillier ? Pas sûr. Selon certains proches, le maire de Boulogne-sur-Mer, bien réélu, devrait figurer sur la liste des ministres délégués et secrétaires d’Etat attendue la semaine prochaine. Mais à quel poste ? On ne sait pas. Quant à Ségolène Royal, elle pourrait, dit-on, gérer en plus  le Grand Paris. On pense aussi pour ce dossier à Sylvia Pinel, qui a succédé à Cécile Duflot au ministère du Logement et de l’Egalité des territoires, ou à Marylise Lebranchu, confirmée à la Décentralisation et la Réforme de l’Etat.  Il se dit enfin que Manuel Valls, ancien maire d’Evry, pourrait garder la haute main sur le dossier, dispositif qu’on a connu lorsque Christian Blanc était secrétaire d’Etat au développement de la région capitale, auprès du Premier ministre François Fillon.

Junjie Ling
Par Junjie Ling
Journaliste
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Ferroviaire, Politique Des Transports

Il y a 4 mois - Patrick Laval

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