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L’Argentine avance dans la renationalisation de son réseau ferroviaire

03 Mar 2015

Mis à jour le 23 mai 2017

L'Argentine a annulé le 2 mars des contrats passés avec des entreprises privées sur quatre lignes ferroviaires, sans versement d'indemnités, selon un arrêté paru au Journal officiel. "L'Etat a déjà arrêté de payer les entreprises privées. Nous avons des motifs pour résilier le contrat. L'Etat est à même d'être plus efficace que le privé car il l'a déjà prouvé. Nous n'allons indemniser absolument personne car cela n'a pas lieu d'être", a affirmé le ministre des Transports, Florencio Randazzo, à la radio La Red.
Lors de son discours annuel sur l'état de la Nation, la veille devant le Parlement, la présidente Cristina Kirchner avait annoncé la présentation d'un projet de loi afin de "récupérer la gestion étatique" des chemins de fer.
Comme de nombreux autres services publics, ceux-ci avait privatisés dans les années 90, sous la présidence de Carlos Menem (1989-1999), et de nombreuses lignes fermées. Plusieurs accidents graves ont eu lieu ces dernières années, conduisant déjà à une reprise en main publique partielle.
Selon le ministère des Transports, l'Etat prendra en charge l'intégralité des opérations de transport ferroviaire de quatre lignes reliant la capitale à la province de Buenos Aires, province la plus riche et peuplée du pays, concentrant près d'un tiers de la population. Ces lignes (Mitre, San Martin, Roca, Belgrano Sur) transportent quelque 22 millions de personnes par mois.
      
 

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