Dette ferroviaire. 10,8 milliards de moins grâce à Eurostat
La dette ferroviaire qui se monte grosso modo à 44 milliards d’euros (37 pour RFF selon les normes IFRS, 7 pour la SNCF), s’avance tout droit et à belle allure, vers 79 milliards en 2025 (69 milliards pour le réseau, 10 pour l’exploitant). Sauf que l’Insee, travaillant sur le sujet à la demande d’Eurostat, considère que toute une partie de la dette de RFF est de la dette publique d’Etat non remboursable.
Pas surprenant d’ailleurs : on se souvient par exemple que, Jean-Claude Gayssot étant ministre, on avait mis au point une savante et baroque dérivation de tuyauterie, faisant transiter via la SNCF des aides d’Etat destinées à l’infrastructure, ce qui permettait à RFF d’afficher que plus de la moitié de ses ressources provenait de recettes commerciales. La dette ne pouvait être considér&ea
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