Mongin : « La RATP et la SNCF sont en pleine harmonie en Ile-de-France »
« Je laisse une entreprise en bon état de marche », répète à l’envi Pierre Mongin, le futur ex-président de la RATP qui ne perd jamais une occasion de se tresser des lauriers. Reconnaissons que son bilan est jugé très positif par un grand nombre de professionnels.
Une entreprise en bon état de marche donc… « Ce qui n’était pas le cas quand je suis arrivé », poursuit l’ancien préfet. « C’était une entreprise qui perdait de l’argent, dont la dette progressait de plus de 250 millions par an, et dont l’efficacité économique était médiocre. Quant à la productivité, c’était un mot qui faisait peur ». Ses prédécesseurs, notamment Anne-Marie Idrac, présidente de 2002 à 2006, apprécieront…
Quant à sa successeure, Elizabeth Borne, elle a, selon Pierre Mongin, tous les atouts pour réussir. « Bosseuse, compétente…, elle coche de nombreuses cases pour occuper la fonction. »
Ses regrets à l’heure de partir ? La mauvaise gestion toute récente de l’affaire des affiches des Prêtres chanteurs pour lesquelles la RATP avait refusé d’apposer une ment
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