Après l'attentat du 21 août, Thalys reconnaît des « points de fragilité »
« Mieux former ses agents à la détection d’attitudes anormales et à la gestion des risques de panique dans des situations de crise extrême et de danger. » Sans faire son mea culpa, mais sans non plus chercher à se disculper, c’est à quoi s’est engagé Thalys le 18 septembre, en conclusion à la publication de son rapport d’enquête sur l’attaque d’un tireur qui, on s’en souvient, a fait deux blessés à bord du train 9364 Amsterdam – Paris, le 21 août.
Rendre publique, « à chaud, dans des délais aussi courts que possible », cette analyse interne à l’entreprise, c’est l’engagement d’« objectivité » et de « transparence » que l’opérateur avait pris, face à une demande de sûreté accrue de l’opinion dans les transports ferroviaires. Il s’a
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