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Les transports scolaires pourront encore polluer longtemps

28 Sep 2015

Mis à jour le 23 mai 2017

Alors que les grandes déclarations se multiplient sur la nécessité de réduire les émissions polluantes des véhicules diesels et que la loi de transition énergétique fixe le calendrier à suivre pour les professionnels, les autocars qui assurent les transports scolaires ne sont absolument pas concernés par ces nouvelles règles.

Un arrêté d’application de la loi Macron en préparation devrait en effet indiquer que les autocars respectent au minimum la norme Euro 5 à partir de 2017. Puis à partir de 2018, c’est la norme Euro 6 qui s’imposera. Mais cela ne concerne pas les transports scolaires alors qu’ils représentent 60 % de l’activité des autocaristes français. Pourquoi ? Peut-être pour permettre d’écouler les vieux autocars dont il faudra bien se débarrasser pour se doter de véhicules tout neufs conformes aux nouvelles normes, commente un bon connaisseur du secteur. C’est donc sur le chemin des écoliers que l’on trouvera toutes les vieilles machines, y compris nombre de cars Euro 2 et Euro 3, jugées bien suffisantes pour transporter les deux millions d'élèves de primaire et maternel, collégiens, lycéens et autres étudiants en milieu rural (quatre millions si l'on inclut le transport urbain).
« Tout dépend du cahier des charges. Aujourd'hui les départements, demain les régions, passent des marchés avec les entreprises de transport. Aux collectivités d'exiger des normes de qualité », nuance Christophe Trébosc, le secrétaire général de l'Anateep (Association nationale pour les transports éducatifs de l'enseignement public). Qui se félicite des toutes récentes règles appliquées au secteur, allant dans le sens de la sécurité : « Aujourd'hui, tous les cars doivent être équipés de ceinture de sécurité, ce qui limite la vétusté. Ils doivent aussi être dotés d'éthylotests. » La question des émissions polluantes, elle, reste entière.

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