A la tête de Bombardier France, Laurent Bouyer compte sur les commandes franciliennes
Les engagements de Valérie Pécresse sur le renouvellement de 700 trains en Ile-de-France ont été entendus avec le plus grand intérêt par Bombardier. On pense au RER 2N NG. Pas question cependant pour Laurent Bouyer style= »margin-bottom: 0px; font-size: 12px; line-height: normal; font-family: Helvetica; -webkit-text-stroke-color: rgb(0, 0, 0); -webkit-text-stroke-width: initial; »>
président de Bombardier Transport France depuis le 25 janvier dernier, de se montrer confiant sur l'issue de l'appel d'offres en cours. Même s'il semble impossible que la commande dont dépendent des milliers d'emplois dans les Hauts-de-France n'aille pas au consortium Bombardier-Alstom, Laurent Bouyer se montre très réservé sur l'issue de la compétition avec son adversaire : un CAF particulièrement agressif en matière de coûts.
D'ailleurs, quelle que soit l'issue de la future commande, l'avenir de Crespin doit être assuré plus vite. Le trou de commandes dans le site du valenciennois se profile à la fin de l'année. Aussi Bombardier espère de rapides levées d'option de deux matériels répondant bien selon le constructeur à des besoins franciliens immédiats : le Regio 2N et le Francilien. Deux matériels en service et qui fonctionnent bien après un démarrage difficile. Aujourd'hui dit Laurent Bouyer, « le Francilien est le t
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