Organisation du travail dans le ferroviaire : le bras de fer continue
En plein bras de fer de la CGT avec le gouvernement contre la loi Travail et à quelques jours maintenant du coup d’envoi d’un Euro 2016 menacé par le conflit social, ce lundi matin à la SNCF la partie n’est pas gagnée pour les partenaires sociaux qui… style= »margin-bottom: 0px; font-size: 12px; line-height: normal; font-family: Helvetica; -webkit-text-stroke-color: rgb(0, 0, 0); -webkit-text-stroke-width: initial; »>
doivent s’entendre d’urgence sur l’organisation du travail.
Ils s’étaient donnés pour but le bouclage en fin de semaine dernière des négociations sur l’accord d’entreprise. Or, la direction n’a trouvé de terrain d’entente ni avec les syndicats contestaires CGT Cheminots, SUD-Rail, ni avec les traditionnellement réformistes Unsa-Ferroviaire et CFDT Cheminots qui se disaient pourtant toujours prêts à lever leur préavis en cas d’avancées à la convenance de leurs adhérents. Les prolongations n’en continuent pas moins de se jouer activement après l’échec de la longue table ronde qui se voulait « conclusive » vendredi soir. La menace de grève reconductible toutes les 24 heures à compter du 31 mai 19h à l’appel de chacune des organisations syndicales est toujours à l’ordre du jour.
Avec, selon nos informations, un nombre important de cheminots déclarant un peu partout leur intention de participer au mouvement. Une situation qui préoccupe au plus haut niveau de l’Etat. Aux côtés des ministres et fédérations professionnelles concernés par l’opposition à la loi Travail, Manuel Valls recevaient aussi les transports samedi à Matignon. Avant un rendez-vous à l’Elysée où François Hollande de retour du Japon s’enquérait entre autres des menaces de blocage à la SNCF. Mais aus
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