Les propositions de l'Etat à la Bourgogne-Franche-Comté
Si l’on met à part le cas de la Normandie qui a réussi à s’accorder avec le gouvernement sur le sort de ses Intercités, seules trois autres régions ont réussi pour le moment à réellement dialoguer avec l’Etat sur le sujet. Mais pas forcément à s’entendre. Ainsi, le Grand Est et les Hauts-de-France demandent à l’Etat de couvrir les déficits d’exploitation de leurs trains, ce que refuse l’Etat, explique une source gouvernementale.
Pour l’heure, la Bourgogne–Franche-Comté semble être la seule région avec laquelle les discussions ont été plus loin. Dans un courrier envoyé le 17 juin à la pré
L'article complet ( 311 mots) est réservé aux abonnés ou aux détenteurs d’un porte-monnaie électronique, connectez-vous pour y accéder.
*Formule numérique sans engagement à partir d’un 1€ par mois !