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lock Zones rurales : le TAD ne fait pas l’unanimité chez les taxis

Les taxis du territoire de Val de Semouse (Haute-Saône) n’ont pas voulu du transport à la demande (TAD). La communauté de communes s’est cassée les dents, il y a deux ans, en leur proposant la mise en place d’un tel service pour permettre aux habitants trop éloignés des arrêts de bus de se déplacer. « Ce sont des petites courses, donc peu rentables », résume Christophe Cadet, président de l’Union des taxis ruraux du département. Ce dispositif aurait en effet contraint les taxis à rester disponibles, lors de tranches horaires fixées à l’avance, pour les courses conventionnées par la collectivité. Quitte à rater des courses médicales, l’activité très largement majoritaire des taxis en zone rurale, subventionnées cette fois par la Sécurité sociale. « Nous sommes dans une zone très rurale, les hôpitaux sont très éloignés les uns des autres, ce sont donc des grandes courses très rentables, raconte le taxi. Elles sont largement plus intéressantes que celles proposées par la communauté de communes. » Philippe Guilbert, quatorze ans de taxi au compteur, est en revanche très content de faire partie des taxis-bus, dispositif de TAD qu’il a contribué à créer avec la communauté d’agglomération d’Evreux (Eure) il y a neuf ans. Ces courses représentent environ 1/6 de son chiffre d’affaires, soit 800 à 1 000 euros par mois. Un « complément de revenus parmi d’autres, comme le transport médical, le ramassage scolaire ou encore le transport de colis, dans un métier où tout est complément de revenus, explique-t-il. On ne vit pas aujourd’hui du taxi pur ».
 

Kilomètres à vide non payés


Sur 25 taxis, ils sont une douzaine à avoir signé la convention taxi-bus. Pourquoi les autres ont-ils refusé ? Comme le chauffeur de taxi de Haute-Saône, le Normand avance l’aspect pécuniaire : « Le transport en ville chez un kiné, c’est un aller et un retour assurés, soit deux courses. Avec le tarif de la Sécurit

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