fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Un rapport pointe la responsabilité de la conductrice du car à Millas

08 Oct 2018

SNCF , Accidents , Autocars , TER

© Google

Mis à jour le 09 octobre 2018

Selon Le Parisien qui s’est procuré le rapport, les conclusions des expertises techniques qui viennent d’être remises à la juge d’instruction mettent en cause la responsabilité de la conductrice qui était au volant du car scolaire percuté à un passage à niveau par un TER le 14 décembre 2017 à Millas (Pyrénées Orientales). L’accident avait fait six morts et plusieurs blessés parmi les collégiens. « L’origine de cet accident provient d’un freinage tardif de la conductrice de l’autocar, affirment les deux experts qui ont analysé le véhicule », relate Le Parisien du 4 octobre.

Cette mère de famille de 46 ans avait été mise en mise en examen pour « homicides et blessures involontaires par imprudence » et placée sous contrôle judiciaire, avec interdiction de conduire. Elle a toujours affirmé que les barrières étaient levées quand elle a traversé les voies.

De leur côté, les deux experts indiquent qu’ils n’ont « pas identifié de cas de dysfonctionnement de ce PN qui aurait pu conduire à une non-fermeture de barrière au moment du passage du train ».

Pour aller plus loin, la juge d’instruction vient de désigner deux experts médicaux – une ophtalmologue et un ORL – pour savoir notamment si les somnifères que prenait la conductrice depuis sept ans ont eu une influence sur son acuité visuelle ou auditive, ajoute Le Parisien.

sur le même thème

ENTREPRISES, PROJETS ET RéGIONS COncernés

réagissez à cet article

Accédez à l’espace débat