Les transports publics veulent croire à la remontada
- Les transports publics veulent croire à la remontada
- Systra : une ouverture du capital avant la fin de l’année ?
- CAF lance des essais en ligne pour son train à hydrogène
- Arriva veut ouvrir une nouvelle ligne entre Paris et le nord des Pays-Bas
- « L’Espagne est un petit Alstom »
- Ubitransport se rebaptise Matawan pour accompagner son développement
- Un festival de bus à Barcelone
- Ils étaient aussi présents...
Le salon qui s’est tenu du 4 au 7 juin à Barcelone a été l’occasion pour 68 dirigeant(e)s d’entreprises du transport public d’adopter une Déclaration commune « pour interpeler les gouvernements sur les impacts du secteur sur l’économie, les emplois, l’industrie, la société et le climat ». Un peu partout dans le monde, ils partagent les mêmes constats sur la nécessité d’accélérer la transition énergétique et de rendre leur filière plus attractive.
Dossier réalisé par Nathalie Arensonas et Philippe Hérissé
C’était le premier rendez-vous post-Covid pour la communauté internationale des transports publics réunie début juin à Barcelone pour le sommet de l’Union internationale des transports publics (UITP). Les rencontres professionnelles ont rassemblé 2 700 visiteurs venus de 85 pays pendant quelques jours dans la capitale de la Catalogne, sur 40 000 m2 de surface d’exposition, avec près de 400 exposants. Les constructeurs ferroviaires avaient sorti le grand jeu. Les espagnols CAF (qui lance un train à hydrogène, et Talgo, le japonais Hitachi, l’allemand Siemens, le français Alstom qui avait fait venir une rame du métro automatique de Barcelone. Tous ont fait une démonstration de force sur des stands XXL dans les halls tout aussi démesurés de la foire d’exposition de Barcelone, située près du port industriel. Les constructeurs de téléphériques Poma et Leitner qui voient le marché urbain s’ouvrir un peu plus facilement à eux, étaient également présents. Et l’ukrainien Tatra-Yug qui fabrique des tramways, s’était frayé un stand au milieu des mastodontes du secteur. La Russie, en revanche, n’était pas du voyage. « Après l’invasion de l’Ukraine, nous avons décidé de fermer nos bureaux à Moscou et d’exclure le pays de la liste de nos pays membres », a indiqué devant la presse Mohamed Mezghani, le secrétaire général de l’UITP Une délégation ukrainienne était à Barcelone le 6 juin, le jour de la destruction du barra
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