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Pierre Mathieu veut rester vigilant sur les dessertes TER

09 Mai 2012

Mis à jour le 23 mai 2017

La mobilisation de la fin d’année dernière a payé en matière de transports ferroviaires. C’est le constat dressé par le vice-président (PCF) du conseil régional de Champagne-Ardenne chargé des Infrastructures et des Transports, lors de la réunion du comité local d’animation et de développement du transport régional, le 21 avril. Pour mémoire, les nouveaux horaires définis « très tardivement » par la SNCF avaient engendré une mobilisation et finalement abouti à la mise en place d’arrêts supplémentaires pour les communes de Romilly et de Nogent. Mais l’avancée n’est qu’expérimentale – pour un an et demi – et liée à l’évolution de la fréquentation de la ligne. « Si nos efforts ont fini par payer et être entendus, ils doivent aussi nous inciter à demeurer vigilants, a expliqué Pierre Mathieu à un parterre d’élus. Nous devons avoir entre nous un point de vue consensuel pour être force de propositions argumentées à l’égard de l’Etat et de la SNCF. » Comptant sur l’attractivité d’un territoire proche de Paris, il estime que le coût est limité par rapport aux recettes : « On ne met pas de l’argent pour voir des trains passer, a-t-il poursuivi, en réunion relatée par L’Est-Eclair. On considère que les coûts d’un arrêt de trois minutes sont très limités compte tenu des recettes qu’il y a à prendre. »    

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