Pour Christine de Veyrac, l’Etat renie sa parole
« Ce projet, dont le précédent gouvernement venait pourtant de valider le tracé et dont l’enquête publique est programmée pour l’an prochain, va être… réétudié dans l’optique d’une “hiérarchisation” avec d’autres projets ferroviaires… Il s’agit là d’un reniement de la parole de l’Etat, et d’une nouvelle illustration de l’abandon de Toulouse par le gouvernement actuel. » Selon Christine de Veyrac, députée européenne de Toulouse (UMP) et membre de la commission Transports du Parlement européen, pas de place au doute, « les récentes déclarations du ministre des Transports confirment la remise en cause du projet de LGV reliant Toulouse à Paris », réagit-elle dans un communiqué.