Compin se place dans les bus
Pierre Sainfort, le président de Compin, explique à VRT comment il va absorber le fabriquant espagnol…
de sièges de trains et de bus Fainsa. Dans ce but, la PME française a été recapitalisée à hauteur de 10 millions d’euros grâce à 6 millions d’euros apportés par la société d'investissement Equistone Partners et grâce à 4 millions d’euros du fonds public d'investissement Croissance Rail. C’est le premier financement de cet organisme créé en 2013 et abondé à hauteur de 40 millions d’euros par la banque publique d'investissement Bpifrance, Alstom, Bombardier, la SNCF et la RATP, pour aider le tissu ferroviaire industriel français à se renforcer.
Ville, Rail & Transports : Pourquoi avoir décidé d’acquérir le constructeur espagnol Fainsa ?
Pierre Sainfort :Cette opportunité, qui s’est présentée sur le marché, correspondait parfaitement à notre stratégie. Nous sommes une PME 100 % française, ayant plus d’un siècle d’expérience et dépendant à 95 % du marché français. Nous fournissons des produits à des grands clients, qu’ils soient constructeurs comme Alstom ou Bombardier, ou transporteurs comme la SNCF ou la RATP. C’est une belle carte de visite. Mais nous souhaitions nous internationaliser. Nous faisons le constat depuis deux ou trois années qu’il est indispensable de diversifier notre portefeuille de clients et d’être moins d&eac
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