RER A, première action de groupe dans les transports ?
Amener la RATP, la SNCF et le Stif devant la justice. Via une action de groupe qui serait la première de ce type dans les transports. C’est ce qu’envisage…
un collectif d’usagers excédés par les dysfonctionnements à répétition du RER A.
La liste est longue de leurs doléances : rendez-vous manqués, vies personnelles et familiales perturbées, emplois perdus à la suite de retards répétés au travail, voire – comme ce fut le cas lors d’un arrêt de travail surprise de conducteurs le 29 janvier – impossibilité pour des candidats de se présenter à l’agrégation… Sans parler de dessertes discriminées selon eux comme les gares de Houilles-Carrières ou Maisons-Laffitte, ou des problèmes à l’interconnexion de Nanterre Préfecture…
Pour se faire entendre, ils souhaitent utiliser la loi Hamon qui, depuis le 17 mars 2014, sur le modèle anglo-saxon, permet à des citoyens de se grouper pour demander réparation.
Reste que leur recours en justice doit obligatoirement être porté par l’une des 15 associations de consommateurs reconnues par l’Etat. Aussi leur pugna
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