Sortie de crise pour Keolis à Boston
Le 30 mars est à marquer d’une pierre blanche par Keolis : c’est la date de sortie de la situation de crise aiguë que l’entreprise connaissait à Boston depuis le démarrage en juillet dernier de l’exploitation des trains de banlieue. Keolis Commuter Services, une coentreprise réunissant Keolis (60 %) et sa maison mère la SNCF (40 %) cumulait en effet depuis lors les pénalités pour des retards à répétition, des trains jugés sales et des problèmes d’effectifs. Un hiver particulièrement rigoureux à Boston n’a rien arrangé et les pénalités se sont encore montées en février à 434 425 dollars (406 575 euros) du fait des retards et à 434 425 dollars également pour des problèmes de propreté notamment. Soit dans les deux cas le montant maximum prévu par le contrat (en janvier, les pénalités s’étaient élevées aussi à 434 425 dollars pour les retards et à 273 000 dollars pour les aut
L'article complet ( 474 mots) est réservé aux abonnés ou aux détenteurs d’un porte-monnaie électronique, connectez-vous pour y accéder.
*Formule numérique sans engagement à partir d’un 1€ par mois !