GPSO : les nouveaux TGV qu'il ne fallait pas lancer
Martin Malvy se félicite. Qui s’en étonnerait ? Le président de la région Midi-Pyrénées ne sera pas le seul, mais la décision du gouvernement, annoncée samedi par le secrétaire d’Etat aux Transports, Alain Vidalies, de passer outre les conclusions négatives de la commission d’enquête publique sur le projet GPSO est très mal reçue. GPSO c’est rappelons-le, Grand projet du Sud-Ouest, c’est-à-dire un projet prolongeant à grande vitesse la LGV Paris – Bordeaux d’un côté vers Toulouse, de l’autre vers l’Espagne. Soit 8,3 milliards d’euros.
La décision précédente de lancer Poitiers – Limoges avait déjà semblé incongrue. Cette fois, l’erreur risque d’être colossale. D’autant que l’exploitation de l’étape en cours, le TGV SEA, n’est pas des plus prometteuses. S
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