Horizon moins sombre pour l'industrie ferroviaire française
Si les annonces faites après l’affaire de Belfort sont suivies d’effets, estime-t-on à la Fédération des industries ferroviaires, la menace qui pèse sur les années 2018 et 2019 sera réduite de moitié. « Ce n’est pas brillant, mais ce n’est plus tout à fait catastrophique », commente Jean-Pierre Audoux, délégué général de la FIF. 10 000 emplois industriels étaient menacés. Il n’y en aurait plus « que » 5 000. Compte tenu de récentes annonces, un nouvel état du plan de charges en matériel roulant a pu être fait à l’occasion de la réunion de Comité stratégique de la filière ferroviaire, le « CS2F », le 5 décembre à Bercy.
Pour sécuriser le court terme (2018-2019), les industriels comptent sur une prochaine levée d’options de la RATP concernant le MP14 : 55 rames du nouveau matériel pneu de la RATP ont été commandées pour la ligne 14, et 182 trains sont en options, pour les lignes 1, 4 et 11. Alsto
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