Pécresse cherche de nouvelles ressources pour les transports...
Boucler le budget du Stif n’est aujourd’hui pas simple. Et la question va devenir plus dure encore avec le Grand Paris Express ou avec d’autres futures offres : prolongement d’Eole, prolongement des métros ou des trams, création de trams et trams express… En 2030, le besoin budgétaire supplémentaire pour assurer l’exploitation des nouveaux services ne sera pas loin des deux milliards d’euros par an : un milliard d’euros pour le Grand Paris et 800 millions à la même date pour les autres réalisations. A ajouter aux quelque neuf milliards d’aujourd’hui.
2030, ce n’est pas tout à fait demain, mais la ligne 15 Sud du Grand Paris est attendue bien avant. Et les offres nouvelles vont aggraver année après année une difficulté déjà présente et bien cernée : l’érosion du taux de couverture des dépenses par les recettes, de 31 à 27% entre 2010 et aujourd'hui. Et cela, malgré l’augmentation, bon an mal an, du passe Navigo de 3 % par an. La difficulté financière a été dûment établie à la demande du Stif par Ernst & Young.
Où trouver les ressources nouvelles ? C’était le sujet de la table ronde organisée par Valérie Pécresse le mardi 8 mars. Manifestement, pas de solution toute trouvée, pas d’idée derrière la tête et encore moins dans les tuyaux. Mais un éventail de possibilités qu’a déployé
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