Il a bien conscience que ce n’est pas dans l’air du temps, mais il s’inscrit en faux contre la honte de prendre l’avion. Surtout entre deux villes où il n’y a pas d’alternative en train. « Les grandes transversales aériennes, de point à point sans passer par Paris, c’est une nécessité pour les territoires quand il n’y a pas de dessertes ferroviaires rapides », défend Martin Meyrier, directeur général Concessions chez Edeis qui gère une vingtaine d’aéroports régionaux en France et en Europe, des ports (et le train touristique de la Mure en Isère).
Associée à la petite compagnie aérienne Jet Airlines qui opère des vols vers les DOM-TOM et a opéré temporairement une liaison d’aménagement du territoire entre Lyon et Poitie
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