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5 years experience in web development.

Ewa

Keolis entame sa bataille de Waterloo

test de nuit tramway de Warterloo au Canada

L’opérateur français a démarré le 21 juin l’exploitation et la maintenance des 16 kilomètres de ligne de tramway de Waterloo au sud de Toronto (Canada). Un contrat de 536 millions de dollars Canada (357 millions d’euros).

Il s’agit du premier réseau de tram de la filiale de la SNCF en Amérique du Nord. Keolis l’a remporté en tant que membre du consortium GrandLinq, dans le cadre d’un partenariat public-privé (PPP), signé en 2014.

Le tramway « Ion » relie les trois villes principales du county : Cambridge, Kitchener et Waterloo qui comptent plus d’un demi-million d’habitants et devraient connaître une augmentation de 35% de la population d’ici 20 ans, selon le communiqué de Keolis.

 

Ewa

Transdev transforme son troisième essai à Dublin

Aux commandes des deux lignes du Luas, le réseau de tramway de Dublin (Irlande), depuis 2004, Transdev vient de voir le contrat d’exploitation et de maintenance renouvelé pour la troisième fois. Un nouveau contrat de six ans (il démarre en décembre prochain), plus cinq ans optionnels, soit jusqu’en 2025.

Le groupe français, filiale de la Caisse des Dépôts et de l’allemand Rethmann, assurera à la fois l’exploitation mais aussi la maintenance des 42 km de voies ferrées, de trois dépôts et de 73 tramways. Les employés d’Alstom qui assurent actuellement les travaux de maintenance du réseau Luas, seront transférés à Transdev.

Ewa

De la RATP aux aéroports, l’Arafer devient tout terrain

aéroport Roissy CDG

C’était le « dada » de Bernard Roman. Depuis deux ans, le président de l’Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (Arafer) remuait terre et ciel pour étendre les compétences de ses équipes au ciel justement. Plus précisément à la régulation des redevances aéroportuaires, actuellement assurée par l’Autorité de supervision indépendante (ASI). Laquelle est toutefois placée sous l’aile du ministère des Transports(1) et est logée dans ses murs, Tour Sequoia, à la Défense.

Bernard Roman espérait voir inscrite l’extension des missions de l’Arafer au mode aérien dans la loi d’orientation des mobilités (LOM) qui termine son marathon parlementaire le 10 juillet. C’est finalement une autre loi, celle du plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises (Pacte) qui pourrait permettre au régulateur terrestre de prendre son nouvel envol.

« OPA inamicale »

Un amendement du Sénat approuvé par le ministre de l’Economie autorise en effet le gouvernement à modifier le statut juridique de l’ASI pour en faire une autorité administrative indépendante, ou bien… à la fusionner avec l’Arafer. Cette deuxième option permettrait de ne pas multiplier ces entités dont le nombre et les salaires de leurs dirigeants ont été fustigés dans un rapport sénatorial (lire ici).

Si le gouvernement opte pour cette deuxième solution par ordonnance, et fait de l’Arafer l’instance de validation des redevances aéroportuaires, il contenterait Bernard Roman et son collège qui s’estiment malmenés à l’aube de l’ouverture à la concurrence du secteur ferroviaire (Ville, Rail & Transports reviendra prochainement sur ce sujet).

Du côté des aéroports, « L’OPA inamicale de l’Arafer », pour reprendre l’expression de la présidente de l’ASI, Marianne Leblanc-Laugier, ne peut que les contenter car ils ont mal vécu la récente décision du régulateur aérien de baisser de 33% le tarif des redevances de l’aéroport de Nice. « L’ASI est devenue le cauchemar des aéroports », s’amuse sa présidente. L’Arafer saura t-elle taper aussi fort du poing sur la table ?

Grand Paris Express

Ce n’est pas tout. Les équipes de Bernard Roman devraient également exercer un rôle de régulateur pour le futur réseau du Grand Paris Express, dont la RATP est gestionnaire d’infrastructure. Cette fois, c’est le texte de la LOM tel qu’il doit être discuté en commission mixte paritaire (CMP) le 10 juillet qui prévoit que l’Arafer régule le niveau des péages de la RATP imposés aux futurs opérateurs des lignes du métro automatique du Grand Paris (voir la carte).

Comme elle le fait déjà avec la SNCF, l’Arafer devra donc valider le montant des redevances de la RATP et les conditions d’accès au réseau du Grand Paris Express. En tant qu’entreprise ferroviaire, la RATP devra par ailleurs faire valider la séparation de ses comptes par le régulateur. L’objectif est de s’assurer qu’il existe un strict cloisonnement financier des activités du groupe qui cumule du transport subventionné (métro, bus, RER, tramway à Paris et en petite couronne), des activités concurrentielles, notamment via sa filiale RATP Dev, et des activités de gestionnaire d’infrastructure.

Transfert des personnels de la RATP

En prime, l’Arafer sera chargé de trancher en cas de litiges entre Ile-de-France Mobilités et un opérateur au sujet du transfert des personnels des bus en Ile-de-France. Dans le texte définitif de la LOM (avant la CMP du 10 juillet), les personnels de conduite et d’entretien d’Optile en grande couronne francilienne, ne bénéficieraient pas du transfert automatique pourtant accordé aux 19 000 agents de la RATP concernés. Un sujet potentiellement explosif (voir l’interview de Zivka Park, corapporteur de la LOM : ici).

Pour assumer ses nouvelles fonctions, l’autorité de régulation devrait voir son collège, l’instance décisionnelle, musclé avec davantage de membres permanents et moins de vacataires : cinq permanents au lieu de trois actuellement. Dont un, Philippe Richert, ancien patron de la région Grand Est et administrateur à ce titre de la SNCF, ne peut prendre part au vote des avis et décisions relatifs au secteur ferroviaire pour éviter un conflit d’intérêts.

Nathalie Arensonas

(1) après avoir dépendu de la direction générale de l’Aviation civile (DGAC), l’ASI est aujourd’hui sous la tutelle du Conseil général de l’Environnement et du Développement durable, émanation du ministère de la Transition écologique et solidaire.

Ewa

Une trame verte pour l’extension du réseau tram à Strasbourg

La Compagnie des transports strasbourgeois (CTS) a inauguré samedi 22 juin l’extension de son réseau de tramway dans le quartier résidentiel de la Robertsau. La ligne E est prolongée sur 1,6 kilomètre, soit trois stations jusqu’au nouveau terminus « Robertsau-L’Escale ».

Le tramway circule sur une plate-forme végétalisée. Cette trame verte, sans voirie attenante, comprend des cheminements pour les piétons et une piste cyclable bidirectionnelle. Les quatre files de rails ont été posées sur des longrines séparées. Cette technique a permis l’utilisation de terre végétale entre les rails sur une profondeur de 60 à 80 cm. Ce dispositif de verdissement ne nécessitera pas d’arrosage systématique : sa structure absorbante autorisera une irrigation naturelle à l’eau de pluie.

Les riverains, paradoxalement, sont partagés sur l’intérêt de cette extension du réseau. L’opposition municipale a longtemps milité pour un BHNS dans cet ancien quartier de maraîchers, devenu au fil des années l’un des secteurs les plus prisés des promoteurs immobiliers. L’Eurométropole de Strasbourg a porté cet investissement de 19,4 millions d’euros. L’extension de la ligne E est accompagnée par une refonte locale du réseau de bus dans la partie nord de l’agglomération.

O. M.

Ewa

Travaux d’été en Ile-de-France : « Nuits longues » sur le RER A, coupures ailleurs

Pour le cinquième été consécutif, le renouvellement de la voie et du ballast sur le RER A, cette fois entre Auber et Vincennes, sera le plus grand des chantiers lancés par la RATP. Mais contrairement aux fois précédentes, pas d’interruption totale du trafic : les travaux s’effectueront en « nuits longues », avec fin de service dès 21 ou 22h en semaine et interruption totale les week-ends et du 10 au 18 août.

Travaux estivaux sur le RER B également, tant côté RATP (entre Lozère et Saint-Rémy-lès-Chevreuse du 20 au 28 juillet) que SNCF (deux voies sur quatre fermées entre La Plaine-Stade-de-France et Aulnay-sous-Bois du 27 juillet au 18 août). Ceci pour créer des retournements supplémentaires à Orsay et au Bourget, tout en renouvelant les voies et les aiguillages.

Du 15 juillet au 24 août, la traversée parisienne du RER C connaîtra sa 22e interruption estivale, pour 100 m de jet grouting au Pont de l’Alma et des remplacements de rails. Alors que sur le RER E, le trafic sera interrompu du 15 juillet au 25 août entre Haussmann-Saint-Lazare et Gare-du-Nord-Magenta pour adapter les hauteurs de quais et préparer le prolongement vers l’ouest. D’autres travaux impacteront les lignes H, J, L, N, P, R et U.

Côté métro, la ligne 6 sera fermée du 1er juillet au 1er septembre entre Montparnasse et Trocadéro pour la réfection du viaduc. Et les tramways auront leur lot de chantiers (T1, T2 et T3a).

Enfin, les chantiers en cours se poursuivront, comme l’électrification Paris – Troyes (coupure sur la ligne P du 12 juillet au 24 août) et le renouvellement de la caténaire au sud de Bibliothèque-François-Mitterrand (RER C). Dans le métro, l’automatisation de la ligne 4 et la préparation du prolongement de la 11 se poursuivent. Et le tram-train T4 devrait rouvrir en septembre.

P. L.

 

Ewa

Maîtrise d’œuvre de la troisième ligne de métro de Toulouse : choix des entreprises

Trois groupements d’entreprises ont été retenus pour la maîtrise d’œuvre des trois tronçons de la troisième ligne de métro de Toulouse. Le 5 juin, Tisséo a annoncé les deux groupements choisis pour les parties aériennes situées aux extrémités de la ligne : Arcadis ESG/Oteis/Séquences pour le sud-est, de la station Montaudran au terminus à Labège, pour 13 millions d’euros ; Artelia/BG ingénieurs-conseils/AR Theme associés/Harter Architecture pour l’extrémité nord, de la station Jean-Maga jusqu’à Colomiers, pour 11,7 millions d’euros.

En avril, Tisséo avait choisi Systra, Arcadis, Richez_associés, Séquences et Taillandier Architectes associés pour le tronçon central du projet (tunnel entre les station Jean-Maga et Montaudran) estimé à 50 millions d’euros. Ce marché de maîtrise d’œuvre avait été divisé en trois après que l’appel d’offres avait été jugé infructueux à cause d’une proposition commune des concurrents habituels Systra et Egis à l’automne dernier, entraînant une année de retard sur la livraison de la ligne annoncée en 2025.

D’ici fin 2019, Tisséo choisira les entreprises pour le matériel roulant entre Alstom Transport, Ansaldo-Hitachi, CAF avec Thalès et Siemens Mobility.

C. S.

 

Ewa

Jean-Pierre Farandou de retour à la tête de l’UTP

Sans grande surprise, le dirigeant de Keolis succède à Thierry Mallet (PDG de Transdev) à la tête de l’Union des transports publics ferroviaires (UTP). Elle représente les entreprises de transport urbains et ferroviaires, privées et publiques : SNCF, sa filiale Keolis, Transdev, RATP, le réseau indépendant Agir, etc. Ainsi que des gestionnaires d’infrastructure ferroviaire.

Elu le 20 juin pour un nouveau mandat de deux ans, après avoir déjà présidé l’UTP de juin 2015 à juin 2017, Jean-Pierre Farandou « va poursuivre les travaux relatifs aux négociations de la convention collective de branche ferroviaire, à l’ouverture à la concurrence en Ile-de-France ou encore à l’intégration des nouvelles mobilités dans le modèle économique du transport urbain », lit-on dans le communiqué du syndicat professionnel .

Ewa

Jeu de chaises musicales au cabinet d’Elisabeth Borne

Guillaume Leforestier, direetir de cabinet d'Elisabeth Borne

La fin de l’examen de la loi Mobilités mi-juin signe le départ de plusieurs conseillers au cabinet de la ministre des Transports. Son directeur de cabinet, Julien Dehornoy part le 1er juillet, Guillaume Leforestier lui succède. Maître des requêtes au Conseil d’Etat, il avait lui-même succédé à Elisabeth Borne au cabinet de Ségolène Royal en 2015 lorsque l’actuelle ministre des Transports avait pris la direction de la RATP.

De son côté, Nicolas d’Arco, conseiller chargé des nouvelles mobilités et du transport maritime, est remplacé par Laure Ménétrier. Le remplaçant de Benjamin Maurice, conseiller social, n’est pas encore annoncé, ont indiqué à VRT les services d’Elisabeth Borne.

 

 

Ewa

Edouard Hénaut met en place l’équipe de Transdev France

Après la réorganisation de la direction du groupe, annoncée en janvier, une nouvelle équipe se met en place au sein de Transdev pour piloter les activités en France. D’où une série de nominations annoncée par Edouard Hénaut (photo). Le nouveau directeur général explique vouloir, d’une part, renforcer les liens avec les territoires, d’autre part mieux se préparer à l’ouverture à la concurrence dans le ferroviaire et en Ile-de-France.

Un nouveau directeur général délégué, Sylvain Picard, sera chargé de l’articulation entre le central et les territoires. Les régions Transdev sont pilotées, « au plus proche des enjeux territoriaux », par Sylvie Bacqué pour l’Auvergne-Rhône-Alpes, Thierry Brunel (Occitanie), Vincent Destot (Hauts-de-France), Brigitte Guichard (Bourgogne-Franche-Comté), Sylvain Joannon (Sud), Gildas Lagadec (Bretagne et Pays de la Loire), Christophe Mallet (Centre-Val de Loire), Olivier Monnot (Grand Est, il prendra ses fonctions fin août 2019), Pascal Morganti (Nouvelle-Aquitaine), Sylvain Picard (Normandie) et Julien Tenenbaum (Outre-mer). De son côté, Salima Saa est nommée à la direction du Développement et Commerce, intégrant notamment la direction des Offres.

Ewa

Bernard Schaer élu président d’i-Trans et de Railenium

Le 23 mai, le conseil d’administration du pôle de compétitivité i-Trans a élu président pour trois ans Bernard Schaer. Il succède à Yves Ramette. Il lui a également succédé le 20 juin à la présidence de Railenium. Ingénieur des Ponts et chaussées, Bernard Schaer était jusqu’à son départ de la SNCF, en septembre 2018, membre du Comex de SNCF Réseau et occupait les fonctions de directeur général adjoint en charge de l’Ingénierie et des Projets.