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 About ling jun jie

5 years experience in web development.

Ewa

Des arrêts à la demande la nuit pour les bus d’Orléans

Arrêt à la demande bus TAO Orléans

Descendre entre deux arrêts de bus est désormais possible à Orléans après 21h. Pour rassurer les voyageurs se sentant en insécurité la nuit, Orléans Métropole et Keolis Métropole Orléans proposent en effet depuis le lundi 25 février 2019, l’arrêt à la demande dans les bus de nuit, sur l’ensemble des lignes du réseau TAO. Les conducteurs doivent être prévenus à l’arrêt précédent et sont seuls décisionnaires de la faisabilité de la descente pour assurer la sécurité tout en essayant de s’approcher le plus possible de ce que souhaitent les clients. La montée à bord ne peut en revanche s’effectuer entre deux arrêts.

Ewa

Keolis renouvelle son partenariat avec l’ENTPE

Jean-Baptiste Lesort, directeur de l'ENTPE et Bruno Danet, directeur exécutif groupe Ressources humaines et Organisation de Keolis.

Face aux difficultés de recrutement d’ingénieurs et de collaborateurs de haut niveau, l’opérateur de transport public Keolis collabore depuis 2014 avec l’Ecole nationale des travaux publics d’Etat (ENTPE). Le 20 février, Bruno Danet, directeur exécutif groupe Ressources humaines et organisation de Keolis, et Jean-Baptiste Lesort, directeur de l’ENTPE, ont signé un nouvel accord de partenariat, pour une durée de trois ans.

Concrètement, ce partenariat se traduit par l’organisation de rencontres, de visites, d’évènements RH (simulations d’entretien, forums de recrutement) et d’interventions pédagogiques, comprenant notamment l’animation d’un serious game. Ces actions seront menées auprès des étudiants du cursus ingénieur, du master Turp, ainsi qu’auprès de doctorants et du laboratoire « Transport et mobilité » de l’ENTPE.

Ewa

Danemark. Keolis desservira les deux aéroports internationaux d’Aarhus

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Midttrafik, autorité organisatrice de transport du Jutland, au Danemark, a attribué à Keolis l’exploitation et la maintenance des services de cars reliant Aarhus aux aéroports internationaux de Billund et de Tirstrup, distants de 100 km et 45 km. Un contrat d’une durée de huit ans qui débutera le 29 septembre prochain.

L’aménagement des bus du constructeur suédois Scania, avec qui Keolis a étroitement collaboré, a été pensé pour ce type de desserte avec un espace pour les bagages sous les sièges, des rangements en hauteur pour les vêtements et des compartiments spécifiques pour les skis et les vélos. Des écrans seront également installés dans les cars pour transmettre les informations sur les vols.

L’exploitant français proposera par ailleurs une application pour connaître le taux de remplissage de chaque car, pouvoir réserver le trajet ou encore choisir son siège.

Keolis confirme ainsi sa présence au Danemark où il exploite environ 500 bus dans neuf villes, ainsi que le réseau de tram d’Aarhus. Rappelons que l’exploitant a également été désigné fin 2018 pour assurer l’exploitation et la maintenance du second réseau de tramway d’Odense qui devrait voir le jour en 2020.

Ewa

Un nouveau rapporteur de la LOM succède à Mathieu Orphelin

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A la suite de la décision de Mathieu Orphelin, député du Maine-et-Loire, de quitter le groupe LREM le 6 février en signe de protestation après le vote de la proposition de loi anticasseurs, le député du Rhône Jean-Luc Fugit, lui succède à l’Assemblée nationale au titre de rapporteur de la loi d’orientation sur les mobilités (LOM).

Le projet de LOM aura été un long chemin semé d’embûches. Il sera examiné en Commission de l’aménagement du territoire et du développement durable du Sénat le 6 mars, débattu en séance à partir du 19 mars, pour être ensuite devant l’Assemblée nationale fin mai. En vue d’un vote avant l’été.

 

Ewa

Paca choisit les premières lignes TER promises à la concurrence

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Marseille – Toulon – Nice et l’étoile ferroviaire de Nice, lot qui regroupe plusieurs liaisons : voici les deux lignes sélectionnées par les élus de la région Sud Paca – nouvelle appellation de la collectivité – pour tester la concurrence grandeur nature sur le réseau TER, à partir de 2022. Soit, près d’un tiers de l’offre ferroviaire régionale.

Un an après l’appel à manifestations d’intérêts auquel avaient répondu dix entreprises ferroviaires, et après presque dix ans de relations tendues entre la région et la SNCF sur la qualité des services TER, c’est donc décidé. Renaud Muselier, président de Sud Paca, a annoncé le 19 février le lancement de la procédure en vue de futurs appels d’offres pour l’exploitation de la ligne Marseille – Toulon – Nice et des « Lignes Azur » : Cannes – Grasse, Les Arcs-Draguignan – Vintimille, Cannes – Nice – Monaco – Vintimille, Nice – Tende.

Voir la carte du réseau TER de Sud Paca

Les avis de pré-information ont été publiés le jour même, l’appel d’offres de la ligne Marseille – Toulon – Nice sera lancé en février 2020, la signature de la convention d’exploitation TER entre la région et le nouvel opérateur interviendra au printemps 2021, et les premiers TER libéralisés devraient circuler en décembre 2022.

Centres de maintenance, nerfs de la guerre

Mêmes échéances pour la mise en concurrence de la deuxième ligne sélectionnée, mais la mise en circulation des premiers TER libéralisés n’interviendra qu’en décembre 2024. « Le délai est différé de deux ans en raison des délais nécessaires à la construction par l’opérateur sélectionné d’un nouveau centre de maintenance à Nice », justifie Renaud Muselier. Les centres de maintenance sont l’un des nerfs de la guerre de l’ouverture à la concurrence ferroviaire : ils appartiennent aujourd’hui à SNCF Mobilités, les nouveaux entrants y auront-ils accès pour assurer l’entretien de leur matériel roulant ? Les régions vont-elles imposer aux nouveaux entrants de construire leurs propres centres d’entretien, comme visiblement en Paca ?

D’autres lignes à venir

Dans un tweet à l’issue du point presse, Renaud Muselier a annoncé la suite des réjouissances : « Suivront les lignes d’Avignon et d’Aix-en-Provence, mais aussi les Alpes avec Veynes et Gap » :

La Région qui veut être la première à ouvrir son marché TER à la concurrence, a signé début 2019 une convention d’exploitation de dix ans avec SNCF Mobilités.

Nathalie Arensonas
@N_Arensonas

 

Ewa

E-commerce : La Poste investit 120 millions sur son hub logistique francilien

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En 2018, La Poste a traité 335 millions de Colissimo, ces colis express de moins de 30 kg livrés en 48 heures, et c’est en Ile-de-France que la croissance de ce segment de marché est la plus forte : 72 millions de colis en 2018 contre 53 millions en 2015. Une augmentation en lien direct avec l’explosion du e-commerce.

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Chariot-colis autonome testé par La Poste à Paris.  ©E. Huynh

Le groupe a annoncé mi-février un investissement de 120 millions d’euros sur son hub logistique en région capitale pour moderniser le réseau de tri et de livraison des colis : livrer plus et de façon plus écologique, promet le groupe. Pour le dernier kilomètre, le groupe va équiper sa flotte de 69 fourgons électriques en Ile-de-France et pour les livraisons dans Paris intra-muros, des facteurs piétons ou à vélos. D’ici à 2024, les facteurs à pied seront suivis d’un chariot électrique autonome électrique, gorgé de colis (ces robots sont en test à Paris, Nantes et Rennes).

Entre 2019 et 2021, cinq plates-formes « ultramodernes » de 20 000 m2 chacune doivent sortir de terre, deux pour le tri (en Seine-et-Marne et dans le Val-d’Oise), trois pour la livraison (dans les Yvelines et en Essonne) pour les Colissimo Ile-de-France et international.

« Une bonne nouvelle pour l’attractivité et l’emploi de notre région », se félicite sa présidente Valérie Pécresse. « Plusieurs centaines d’emplois » seraient à la clé, selon La Poste

En attendant, les plates-formes existantes dédiées au traitement des colis en Ile-de-France (Moissy-Cramayel et Gennevilliers) doivent être transformées en hub de pré-tri des colis vers les agences des arrondissements parisiens.

N. A.

Ewa

Mouvements au conseil d’administration de l’UTP

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Avec le départ de Richard Dujardin, écarté de Transdev fin 2018 du poste de directeur général France, l’Union des transports publics et ferroviaires (UTP) présidée par Thierry Mallet, dirigeant de Transdev, remet son conseil d’administration en ordre de marche et accueille trois nouveaux administrateurs.

En toute logique, Edouard Hénaut, ex-Suez, et qui a succédé à R. Dujardin le 28 janvier, fait son entrée à l’UTP. Michel Boudoussier, directeur général adjoint corporate de Getlink (anciennement Eurotunnel) occupe le siège de Jacques Gounon et enfin, Jean Agulhon, DRH du groupe RATP succède à Philippe Martin au poste d’administrateur de la fédération professionnelle.

Le conseil d’administration de l’UTP compte 24 administrateurs : 16 représentants du transport urbain et huit représentants du secteur ferroviaire, opérateurs et gestionnaires d’infrastructure.

Ewa

Transport à la demande : Padam signe un gros contrat avec l’Ile-de-France

© Flexigo

Un futur concurrent d’Uber en grande couronne ? C’est ainsi que Laurent Probst, directeur général d’Ile-de-France Mobilités (IDFM), qualifie le nouveau service de transport à la demande (TAD) qui doit être progressivement déployé dans les zones peu denses ou excentrées de la grande couronne francilienne et intégré dans la carte Navigo. La solution logicielle est développée par la start-up Padam qui, associée à l’ingénieriste Setec ITS, signe ici son plus gros contrat (montant non communiqué).

La centrale de réservation, Flexigo, doit être lancée à l’été 2019 dans la région capitale avec trois offres de TAD « en cours de définition », indique Ile-de-France Mobilités dans un communiqué. Elle devrait être ensuite élargie pour rassembler dix opérateurs d’ici à fin 2019, puis « 40 environ en quatre ans ».

« Contrairement à des lignes de bus classiques, les véhicules de plus petite taille adaptent leurs itinéraires et horaires en fonction des requêtes des voyageurs, par téléphone ou depuis une appli dédiée. […] Ils ne suivent pas des lignes régulières mais adaptent les itinéraires en fonction des réservations », explique IDFM. Une solution dynamique pour que les opérateurs puissent adapter en temps réel leurs flottes de véhicules (des minibus en Ile-de-France).

« Cela va permettre de montrer les capacités de notre technologie sur un service de transport à la demande de très grande échelle », poursuit Grégoire Bonnat, PDG et cofondateur de Padam. La start-up qui a réalisé deux levées de fonds (avec Setec et Siemens Mobility), emploie aujourd’hui 25 personnes. Elle a expérimenté ses solutions à Bristol (GB) avec RATP Dev en 2016, et signé ses premiers contrats en 2018 avec les villes de Saint-Nom-la-Bretèche (Yvelines) et Orléans (Loiret). Depuis début 2019, Chelles, Meaux (Seine-et-Marne), et la métropole de Lille ont aussi signé pour des lignes de bus fixes « virtuelles » et un service de soirée à la demande (lire l’article).

Padam nourrit des objectifs très ambitieux avec plus de 20 contrats dans son viseur d’ici à fin 2019.

N.  A.

Laurent Probst, invité du prochain Club Ville, Rail & Transports, le 22 février à Paris

Le directeur général d’Ile-de-France Mobilités évoquera notamment la transformation de la billettique. En savoir +

Ewa

MaaS : la RATP concrétise à Annemasse

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RATP Dev passe du concept à l’application pratique : la filiale de la RATP a annoncé mi-février avoir lancé son application concrète de Maas (Mobility as a Service) à Annemasse, sur le réseau des transports de l’agglomération qu’elle exploite et celui de Genève, de l’autre côté de la frontière suisse.

Cet acronyme qui désigne une application « tout-en-un » va permettre aux usagers des transports, tous modes confondus, de calculer en temps réel un itinéraire en transport collectif, en autopartage, en covoiturage ou en taxi, de réserver une place de parking, d’acheter et de valider un  billet.

L’application existante du réseau des transports d’Annemasse, TAC Mobilités, a été revisitée pour combiner l’offre de bus, de trains de la SNCF et des Chemins de fer suisses, du futur tramway transfrontalier et celles des autres services de mobilité. Elle a été développée par la start-up Instant System et RATP Smart systems, filiale du groupe, spécialisée dans la billettique et les systèmes de mobilité intelligente.

« Dans ses prochains développements en 2019, l’application proposera l’ajout de nouveaux modes de transport, gérés par différents opérateurs, et l’intégration de solutions de paiement mobile en vue d’atteindre une solution MaaS avancée », indique l’entreprise dans un communiqué.

N. A.

 

 

Ewa

Nouveau plan d’urgence pour la ligne P du Transilien

gare trilport transilien ligne p

Hasard du calendrier, dix jours après une réunion d’initiative locale organisée à Trilport, petite commune de Seine-et-Marne, dans le cadre du Grand débat national (lire notre reportage), et qui portait sur la piètre qualité de la ligne P du Transilien, des mesures radicales dégagent l’horizon des 104 000 passagers quotidiens. Valérie Pécresse, présidente d’Ile-de-France Mobilités (IDFM) et Alain Krakovitch, patron de SNCF Transilien, ont annoncé le 15 février l’électrification la branche Trilport – La Ferté-Milon, « dernière ligne francilienne non électrifiée » (10 000 voyageurs/jour).

La mesure sera inscrite au prochain contrat plan Etat-région pour tenter de résoudre les problèmes de saturation sur l’axe nord de la ligne sur laquelle circulent encore des rames diesel, alors que la branche vers Provins accueille des rames BGC (autorails à grande capacité de Bombardier) depuis 2013.

Par ailleurs, l’autorité organisatrice des transports, IDFM, a conclu un accord avec la région Grand Est pour que ses TER Vallée de La Marne marquent l’arrêt en gare de La Ferté-Milon aux heures de pointe du matin et du soir, à partir du service 2020 (c’est-à-dire en décembre 2019). Objectif, soulager les trains de la branche Château-Thierry très chargés à ces heures (70 000 passagers/jour).

Par ailleurs, sur la demande des associations d’usagers de la ligne, IDFM a demandé à SNCF Transilien d’augmenter la capacité du train Château-Thierry – Paris de 5h04 avec un train long à partir d’avril 2019. Enfin, suite à une série de pannes de matériel roulant ces derniers mois, un audit sur le dispositif de maintenance des rames est annoncé dès aujourd’hui. Les conclusions sont attendues à l’été 2019.

N. A.

 

La ligne P

252 kilomètres, la plus étendue du réseau francilien

+4 % de fréquentation par an entre 2010 et 2015

Elle dessert cinq axes du nord au sud de la Seine-et-Marne et au-delà :

– Gare-de-l’Est – Chelles – Meaux

– Gare-de-l’Est – Meaux – Château-Thierry

– Gare-de-l’Est – La Ferté-Milon (via Meaux)

– Gare-de-l’Est – Coulommiers

– Gare-de-l’Est – Provins