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 About ling jun jie

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Ewa

Une nouvelle tarification pour les billets achetés à bord des TER ?

guichet c dr

Si un voyageur n’a pas acheté son billet en gare, une surtaxe s’applique déjà sur les titres de transport délivrés par le contrôleur à bord, quand il y en a. Il existe trois barèmes, explique SNCF TER : tarif fraudeur, tarif de bord, tarif exceptionnel pour ceux qui n’ont réellement pas pu acheter leur billet (le voyageur doit ensuite s’adresser au service après-vente pour justifier l’absence de guichet ou une panne du distributeur).

Ces tarifs de « régulation » varient d’une région à l’autre, y compris l’amende pour fraude. Selon nos recherches, ces tarifs (hors fraude) varient de 7 à 50 euros selon les situations et les distances. Mais un nouveau système national de sur-tarification  est envisagé par SNCF Voyages pour mars (ou avril 2019), décrié par la Fédération nationale des associations d’usagers du transport (Fnaut) qui défend « le droit d’acheter un billet au tarif normal ». Régions de France voit également ce nouveau dispositif tarifaire antifraude d’un mauvais œil et peine à obtenir des précisions auprès de l’opérateur ferroviaire. Malgré nos sollicitations, nous n’avons pas réussi à obtenir davantage d’information.

N. A.
-> retrouvez prochainement l’intégralité de notre article sur la disparition progressive des guichets en gares TER (dossier Billettique) dans le numéro de février de Ville, Rail & Transports et dans la rubrique dossier de notre site.

Ewa

Ces experts du transport que les régions s’arrachent

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Dans la perspective de l’ouverture à la concurrence des services ferroviaires TER, les régions ont cruellement besoin d’experts pour imaginer les lignes et lots pertinents sur lesquelles expérimenter cette libéralisation, et rédiger les cahiers des charges pour les premiers appels d’offres qui pourraient être lancés dès le 20 décembre 2019.

Après David Hergott parti fin 2017 de l’association Régions de France pour conseiller Alain Rousset, patron de Nouvelle-Aquitaine, sur les dossiers transport, c’est au tour de sa successeur, Patricia Pérennes, 35 ans, anciennement détachée de la SNCF, de partir en région : la conseillère transports de Régions de France deviendra en avril prochain directrice générale adjointe de Centre-Val de Loire, en charge de la convention TER et des infrastructures.

Entre-temps, deux autres régions ont attiré dans leurs filets deux « gros poissons » : François Poupard, 52 ans, patron de la direction générale des Infrastructures, des Transports et de la Mer (DGITM) rejoint Nouvelle-Aquitaine en mars prochain pour devenir directeur général des services, et Nicolas Quinones-Gil, 38 ans responsable de l’Observatoire de l’Autorité de régulation des activités transports et routières (Arafer), s’apprête à rejoindre Xavier Bertrand dans les Hauts-de-France au poste de directeur général en charge des Transports et des Infrastructures.

Dans ce grand mercato, citons également le départ de Cédric Grail, 48 ans, ex-directeur adjoint de la DGITM, pour le cabinet de David Kimelfeld, président de la métropole du Grand Lyon. Il a pris ses nouvelles fonctions le 28 janvier.

N. Arensonas

Ewa

Le vélo, futur dommage collatéral du mouvement des « gilets jaunes » ?

Le Club des villes et territoires cyclables demande un forfait mobilité obligatoire pour les grandes entreprises, cumulable avec le remboursement de 50% de l'abonnement transport en commun.

« Avec la remise en question de la fiscalité écologique, point de départ de la crise des « gilets jaunes », les rentrées fiscales ne seront pas au rendez-vous en 2019, il faudra forcément trouver des solutions mais ce n’est pas sur les vélos qu’il faudra faire des économies budgétaires», prévient Matthieu Orphelin, rapporteur du volet mobilité propres et actives de la LOM, la loi d’orientation des mobilités qui sera devant le Sénat le 9 mars, l’Assemblée nationale en juin, pour une adoption à l’été.

Le député LREM du Maine-et-Loire s’exprimait le 24 janvier à l’occasion d’un point presse du Club des villes et territoires cyclables.

Pour rappel, Edouard Philippe a annoncé un Plan vélo mi-septembre 2018, avec la création du fonds national « mobilités actives » doté de 350 millions d’euros sur sept ans. Objectif, tripler l’usage du vélo d’ici à 2024 pour atteindre 9 % de part modale dans les déplacements. La France se situe à la 25e place européenne pour les déplacements du quotidien en vélo, selon le Club, « autant dire, parmi les plus mauvais », regrette Matthieu Orphelin.

Agréablement surpris par les largesses du Premier ministre, les défenseurs de la petite reine craignent aujourd’hui pour l’avenir du fonds national mobilités actives, et sa cagnotte annuelle de 50 millions d’euros pour accompagner les collectivités dans la définition de leur politique cyclable.

Forfait mobilité obligatoire pour les grandes entreprises ?

Les 50 premiers millions ont été débloqués fin 2018 par l’Etat et l’appel à projets « Vélo et territoire » piloté par l’Ademe est ouvert depuis septembre. « La balle est dans le camps des élus, s’ils ne déposent pas de projets, itinéraires cyclables et stationnement vélo notamment, et ne consomment pas les fonds, l’enveloppe sera forcément rabotée l’an prochain », prévient Pierre Serne, président du Club des villes et territoires cyclables. L’exemple de la sous-utilisation de la Dotation de soutien à l’investissement local (environ 80 millions d’euros) pour financer les mobilités actives montre que ses craintes sont fondées.

L’autre mesure emblématique du Plan Vélo est la création d’un « forfait mobilité durable » :
jusqu’à 400 euros par an payés par les employeurs publics et privés volontaires pour rembourser une partie des frais de déplacement domicile – travail à vélo de leurs agents ou salariés (en franchise d’impôt et de cotisations sociales). Le projet est inscrit dans la LOM. « Je ne crois pas à une mobilisation massive des collectivités, il faudra une généralisation du dispositif dans les grandes entreprises. Et porter le débat sur le caractère obligatoire de la mesure, avec la possibilité de cumuler ce forfait avec le remboursement de 50 % de l’abonnement transport en commun », avance Matthieu Orphelin. Le futur rapporteur de la LOM n’a pas froid aux yeux.

A l’occasion de ses vœux à la presse mi-janvier, la ministre des transports Elisabeth Borne s’est dit, elle aussi, favorable au principe obligatoire du forfait mobilité durable. Pour l’heure, le projet de loi parle de volontariat. Ce n’est pas gagné avec le Medef qui propose de déshabiller le versement mobilité (ex-versement transport payé par les entreprises de plus de 11 salariés) pour « rhabiller » les campagnes qui sont privées de transport public.

Nathalie Arensonas

Ewa

Saint-Etienne, premier à choisir le trolleybus Solaris

trollino solaris

Solaris vient de remporter l’appel d’offres lancé par Saint-Etienne pour la fourniture de 22 trolleybus de 12 m. C’est la toute première fois que le constructeur polonais réussit à vendre de tels véhicules en France, lui qui les commercialise, depuis de nombreuses années déjà, dans le cadre de sa gamme Trollino, en format standard de 12 m, rigide de 15 m et articulé de 18 m.

Outre de nombreux pays de l’ancienne Europe de l’Est, les Trollino ont jusqu’ici également conquis, à raison de quelques exemplaires ou bien carrément de dotations importantes, la Suède, l’Autriche, l’Allemagne, la Suisse, l’Italie, ou encore le Portugal. Les réseaux de Salzbourg (Autriche) et Eberswalde (Allemagne) sont ainsi devenus d’emblématiques clients des trolleybus de la marque Solaris.

Le constructeur propose aussi, depuis quelque temps, une version IMC (In Motion Charging), avec stockage d’énergie par batteries ou super-capacités, qui confère au véhicule une autonomie plus ou moins importante en dehors des sections sous ligne de contact bifilaire. La technologie IMC représente la forme d’électromobilité offrant, de loin, le meilleur rendement énergétique.

Les premiers autobus Solaris livrés en France l’ont été en 2003. Depuis, le constructeur a vendu dans l’Hexagone plus de 500 véhicules dans les configurations diesel, gaz, hybride, ou 100 % électrique. Les futurs Trollino pour Saint-Etienne seront construits selon le nouveau design « facelift », qui est désormais la règle pour tous les autobus Solaris depuis le début de cette année. Pourvus d’une motorisation Skoda, ils seront équipés de batteries d’autonomie d’une capacité supérieure à 40 kWh, de la climatisation, d’une cabine de conduite « anti-agression », ainsi que d’un éclairage intérieur assez révolutionnaire, puisque monté, pour partie, dans les mains courantes.

Les cinq premiers véhicules doivent être livrés avant la fin de l’année. Cinq autres suivront en 2020, tandis que les douze derniers sont attendus au cours de la période 2020-2021. Le contrat prévoit également une option pour deux unités supplémentaires.

Après le suisse Hess, le polonais Solaris est donc le deuxième constructeur étranger à entrer sur le marché français du trolleybus, alors que les parcs correspondants entrent maintenant dans une phase de renouvellement, et qu’Iveco, avec son IMC « origine France garantie », espère logiquement recevoir une bonne part du gâteau…

Ph. H.

Ewa

Véhicules autonomes : Navya veut retenir ses nouveaux talents

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Informaticiens rompus aux calculs des probabilités et aux langages de programmation, ingénieurs et docteurs en robotique mobile, en automatismes et traitement du signal, techniciens en cartographie 3D, en localisation, simulation et détection d’obstacles, designers et ergonomes, spécialistes de la fusion de données… Les nouveaux métiers de l’intelligence du véhicule autonome sont légion, les expertises pointues, les formations spécifiques.

Pour anticiper la montée en puissance de ses équipes R&D, dans un contexte de gouvernance chahutée suite au départ précipité du PDG Christophe Sapet fin 2018, la firme lyonnaise Navya (280 collaborateurs) qui figure parmi les leaders mondiaux du véhicule autonome, déménage le 22 janvier 2019 son « Lab » à la Défense. « Navya se donne les moyens de retenir les meilleurs talents en leur offrant les conditions de travail les plus favorables », lit-on dans un communiqué. Quand on tient un Millénial surdoué, il faut savoir le garder. Depuis aujourd’hui, 80 ingénieurs développeurs et docteurs universitaires s’activent dans les étages inférieurs de la Tour Majunga, la plus haute du quartier d’affaires parisien. Moyenne d’âge, 28 ans et demi. Fin janvier, 20 autres ingénieurs et chercheurs en R&D doivent les rejoindre, Leur formation ? « La plupart sont diplômés d’écoles d’ingénieurs françaises, comme Centrale Supelec et l’Institut national des Sciences Appliquées de Lyon (Insa) », indique l’entreprise.

N. A.

Ewa

Autoroutes, ticket mobilité : deux mesures très « gilets jaunes »

La hausse des péages autoroutiers interviendra comme chaque année au 1er février, conséquence d’un accord passé en 2015 entre l'Etat et les sociétés concessionnaires.

17 janvier 2019 : après discussion avec les sociétés d’autoroutes, la ministre des Transports Elisabeth Borne annonce une réduction de 30 % sur les péages pour les automobilistes effectuant au moins 10 allers-retours par mois pour leur trajet domicile – travail. La mesure entre en vigueur le 1er février et pourrait concerner un million d’automobilistes selon les calculs du ministère. Le même jour, la hausse des péages autoroutiers interviendra comme chaque année, conséquence d’un ancien accord passé en 2015 entre l’Etat et les sociétés concessionnaires.

Le 14 janvier, lors de ses vœux à la presse, la présidente de Bourgogne-Franche-Comté, Marie-Guite Dufay annonçait de son côté la future mise en place d’un « Ticket mobilité » pouvant atteindre 400 euros par an (sur le modèle de l’indemnité kilométrique vélo et du forfait mobilité prévus dans la loi d’orientation des Mobilités*), non chargés et défiscalisés. L’aide est soumise à un plafond de salaire individuel.

Seules conditions pour bénéficier de ce coup de pouce financier : habiter à 25 km au moins de son lieu de travail, dans une zone non desservie par un transport public sans autre alternative que la voiture, effectuer un aller-retour quotidien et… être salarié d’une entreprise volontaire pour abonder l’aide financière de la région.

La mesure a été présentée début janvier en séance du conseil régional, elle sera délibérée le 29 mars prochain. Budget pour la région : près de trois millions d’euros, selon Michel Neugnot, vice-président Transport de Bourgogne-Franche-Comté.

N. Arensonas

* Le projet de LOM qui sera débattu au Sénat mi-mars prévoit un « forfait mobilité durable » sur la base du volontariat des entreprises. La ministre des Transports se dit aujourd’hui favorable au principe obligatoire de la mesure.

Ewa

Keolis renouvelé à Montargis

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La filiale de la SNCF, candidat sortant, s’était vu renouvelé fin 2018 à l’issue de l’appel d’offres de l’agglomération montargeoise pour l’exploitation et la refonte du réseau de transport urbain Amelys :  bus, transport de personnes à mobilité réduite (PMR) et intégration des nouvelles mobilités (covoiturage, autopartage et vélo).

Un nouveau contrat de six ans qui a démarré le 1er janvier 2019 pour un chiffre d’affaires cumulé de 25 millions d’euros.

Ewa

Un consortium mené par JR East teste un bus sans chauffeur

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Le japonais Kyocera, l’un des premiers fournisseurs mondiaux de composants en céramique fine pour l’industrie technologique, a annoncé qu’il participait à un projet-test de bus sans chauffeur organisé par « Mobility Innovation Consortium », une organisation faisant la promotion de la conduite autonome qui regroupe, autour de JR East, outre Koycera, Advanced Smart Mobility., Aichi Steel, SoftBank, Nippon Signal et NEC. Ces tests qui ont démarré en décembre dernier doivent se poursuivre jusqu’au mois de mars.

Il s’agit d’évaluer les technologies de conduite autonome pour les applications relevant des transports par bus, incluant un contrôle automatisé de la maintenance des voies de circulation, un contrôle de la vitesse, une aide au stationnement et des tests de passages alternés sur des voies de bus à haut niveau de service.

Ewa

La Saemes fête ses 40 ans tout au long de l’année

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La Saemes a 40 ans et souhaite le fêter tout au long de l’année. L’opérateur de stationnement en Ile-de-France veut mettre l’accent, autour de différents événements, sur son histoire et sur les évolutions et transformations qui font les parkings d’aujourd’hui.

Au programme : le lancement site Internet saemes40ans.fr ; une exposition dans le parking Hôtel-de-Ville de photos de Richard Kalvar, photographe de l’agence Magnum Photos (jusqu’à la fin février) qui retracent l’évolution de la mobilité dans Paris ; un concours photo ouvert à tous (dont le thème reste à définir) ; des visites des ruches de la Saemes installées sur le toit-terrasse de son parking Firmin-Gémier (Paris XVIIIe) ou encore la décoration du parking Pyramides (Paris Ier) avec deux fresques de 50 m² réalisées par des étudiants de l’Ecole Bleue à l’issue d’un concours.

Ewa

Autopartage. Après le fiasco de Lyon, Daimler revient en force à Paris avec car2go

Après Renault et PSA, le constructeur allemand Daimler lance ses Smart électriques en autopartage à Paris intra-muros.

Suite au départ d’Autolib’ à Paris en septembre 2018 et le règlement d’un long conflit entre le service d’autopartage car2go et le loueur Car Go pour violation de marque, qui avait obligé car2go à quitter Lyon en 2012 après seulement quatre mois d’activité, la voie est libre en France pour Daimler. A commencer par Paris.

Après les Français PSA (Free2Move) et Renault (Moov’in Paris) déjà sur la place depuis octobre 2018 avec des Peugeot iOn, des Citroën C-Zéro, des Renault Zoé et Twizzy, le constructeur allemand déploie le 15 janvier 2019 des Smart électriques en libre-service à Paris. Deux cents Smart ForTwo, uniquement dans la capitale intra-muros (on peut sortir de Paris, mais il faut ramener la voiture dans la capitale). Objectif, 400 véhicules fin janvier et 800 fin 2019, accessibles sans abonnement ni caution, en free floating, ou rechargeables sur les anciennes bornes d’Autolib’. Les usagers qui prennent le temps de trouver une place sur l’une des 1 200 bornes de recharge libérées par le groupe Bolloré (sur les 3 000 du parc Autolib’) et de brancher la Smart chargée à moins de 60 %, se voient créditer d’un bonus de trois euros sur l’appli car2go. Le cas échéant, une quarantaine de « jockeys » s’emploieront à redispatcher les Smart sur les bornes de recharge.

Jusqu’au 15 mars 2019, l’inscription au service car2go est gratuite et ouvre un crédit de dix euros, elle coûtera ensuite neuf euros avec un crédit de 15 euros. Le paiement se fait à la minute : de 0,24 à 0,34 euro selon la zone de prise en charge, assurance et stationnement compris. Un forfait de quatre heures, au prix de 29,90 euros est aussi prévu et sera opérationnel dans les prochains jours, indique Car2go . Une fois inscrit sur l’appli et après avoir téléchargé son permis de conduire (plus d’un an d’obtention), tout automobiliste peut réserver une Smart car2go géolocalisée. Les 15 premières minutes de réservation sont gratuites, le temps de trouver le véhicule, de monter à bord et de le prendre en main à l’aide de l’appli. Les 15 minutes supplémentaires de réservation coûtent 1,90 euro.

Pour l’heure, car2go ne franchit pas les limites du périphérique parisien, mais Jean-Louis Missika, maire adjoint de Paris chargé de l’Urbanisme et des Projets du Grand Paris espère que les Smart pourront desservir la Défense et le nouveau quartier du Carrefour-Pleyel, à la Plaine-Saint-Denis. « Si ces zones sont pertinentes, nous irons », lui répond Olivier Reppert, directeur général de car2go venu présenter le service devant la presse le 15 janvier sur le parvis de la gare Saint-Lazare. Le constructeur allemand qui a déjà déployé 14 000 Smart et Mercedes-Benz Class B autopartagées dans 26 villes, en Europe, aux Etats-Unis et en Chine, envisage de desservir les aéroports parisiens.

N. Arensonas


 

Fusion de Daimler et de BMW pour les services de mobilité

Daimler a racheté en 2018 les 25 % de parts d’Europcar qui lui manquaient pour acquérir car2go. Dans le même temps, BMW a fait de même avec le loueur Sixt pour devenir l’unique propriétaire de DriveNow. Et les deux constructeurs allemands s’apprêtent à fusionner leurs services (autopartage, transport à la demande, recharge de batteries pour voitures électriques et stations…) au sein d’une même entité.