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Ewa

Les grands travaux de SNCF Réseau dans la région Sud

réseau ferroviaire Travaux de SNCF Réseau, remplacement des appareils de voie entre Langres et Saint-Julien-les-Villas.
L’année dernière, une cinquantaine de chantiers de régénération ont été réalisés par SNCF Réseau en Provence-Alpes-Côte d’Azur, pour le compte de la Région. Ils ont représenté un investissement de 422 millions d’euros, apportés par la région, et 109 millions par SNCF Réseau. C’est ce qui ressort du bilan, dressé par le gestionnaire du réseau, et la région, le 26 mars à Marseille.

Parmi la cinquantaine de chantiers, deux d’entre eux se détachent par leur ampleur car ils ont mobilisé deux trains usines. L’un pour renouveler complètement la voie 2 (rail, traverses et ballast) entre Miramas et Avignon via Cavaillon, (68 km). L’autre pour moderniser la caténaire et ses supports, sur les deux voies entre Nice et Menton.

Régénération et ERTMS

2024 a aussi été marquée par le démarrage, en septembre, de la régénération de la ligne Nice – Breil. Pour massifier les travaux et limiter de temps d’intervention, la ligne a dû être fermée au trafic pendant une longue période : 15 mois. SNCF Réseau a annoncé qu’un tiers des travaux de voies (4 km sur 12 km) ont déjà été réalisés, tout comme la sécurisation des ouvrages en terre, le remplacement du pont-rail de Drap-Cantaron et les travaux dans le tunnel du Mont-Grazian.

À l’est de la région, la modernisation de la signalisation dans le but d’installer l’ERTMS, commencée en 2019, se poursuit. Dans la nuit du 1er au 2 juin 2024, les circulations gérées par le poste d’aiguillage de Pas-des-Lancier, entre Marignane et Les Pennes-Mirabeau, ont été reprises depuis Marseille. Les travaux préalables à la télécommande des postes du secteur de Miramas, de Rognac à Saint-Martin-de-Crau ont aussi été réalisés l’année dernière.

À Marseille, le bâtiment qui centralisera progressivement la gestion de toutes circulations régionales (26 postes d’aiguillage dont 16 dans le secteur Ouest Provence et 10 postes côté Azur) est construit. Il accueillera ses premiers opérateurs le 6 avril 2025.

Les JO d’hiver en vue

Cette année s’annonce également intense. Parmi les chantiers les plus importants, la modernisation du triage de Miramas, lancée l’année dernière, doit s’étaler jusqu’en 2027. Il s’agit de renouveler plus de 25 voies, de remplacer les freins de voie nécessaires au tri à la gravité et de moderniser le système automatique de protection du personnel intervenant sur le site.

Citons aussi, la suite du renouvellement de la voie entre Avignon et Miramas via Cavaillon, sur la voie 1 cette fois. Ou encore, le déploiement du système de signalisation Argos et ERTMS, dans le cadre du programme Haute Performance Marseille Vintimille (HPMV).

Enfin, la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui se prépare avec Auvergne Rhône-Alpes à accueillir les JO d’hiver de 2030, projette d’améliorer la desserte Marseille – Briançon. La pérennisation des travaux sur l’étoile de Veynes, en partie déjà réalisés, doit permettre d’effectuer le trajet en 3 h 40.

La région avait déjà commandé des études de travaux à SNCF pour 151 millions dans le cadre du CPER 2023-2027, Elles ont été rendues fin janvier 2025. « Cette anticipation devrait permettre d’effectuer les travaux sur cette ligne à temps pour les JO », assure Jean-Pierre Serrus, le vice-président de la Région chargé des transports. Il faut notamment prévoir des croisements à plusieurs endroits de la ligne, ainsi que des renouvellements de voies. SNCF Réseau a consulté des entreprises de travaux afin de savoir si l’emploi de trains usines, à la masse et au gabarit élevés, est possible sur cette ligne de montagne (courbe, charge à l’essieu, etc.).

Ewa

Conférence du financement des transports publics : le casse-tête du casting parlementaire

financement des transports publics

La conférence sur le financement des transports publics, qui doit être lancée mi-mai, a prévu d’inviter à débattre huit parlementaires. Plusieurs spécialistes des transports, comme le sénateur de Meurthe-et-Moselle Olivier Jacquin sont sur les rangs. Mais la désignation par les présidences de l’Assemblée nationale et du Sénat de leurs représentants est plus compliquée que prévue.

Chaque chambre doit choisir quatre représentants. Deux membres doivent siéger au sein de la commission des transports et deux dans celle de l’aménagement du territoire. Chaque fois, la parité homme-femme doit être respectée. Enfin, l’équilibre politique est un autre critère de choix. Résultat, à un mois de l’ouverture de la conférence, aucun député ni sénateur n’a été désigné. « Cela serait bien qu’on finisse par savoir car l’agenda est souvent chargé avant la fin de la session parlementaire le 30 juin », soupire le collaborateur d’un parlementaire.

Ewa

IDFM confirme une commande supplémentaire de 96 RER NG pour le RER D

RER NG 1 1744201579

Le conseil d’administration d’Ile-de-France Mobilités a voté le 10 avril une commande à Alstom de 96 RER NG supplémentaires pour le RER D. Ce qui représente un investissement de 2,1 milliard d’euros.

L’autorité organisatrice des transports franciliens confirme de ce fait sa commande originelle, au début 2017,  qui prévoyait un total pouvant aller, à terme, jusqu’à 255 rames à terme (soit 130 unités pour le RER E et 125 sur le D). Un achat alors chiffré à sa signature à 3,75 milliards d’euros options comprises, soit « le plus gros programme en matériel roulant jamais financé par IDFM ».

IDFM avait déjà passé trois premières commandes fermes pour un total de 130 RER NG destinés à la ligne E et 36 pour le RER D. Actuellement, une dizaine de RER NG qui roulent sur la branche Corbeil-Essonnes de la ligne D.

Les livraisons des tout premiers RER NG, espérés à partir de la mi-2021, ont en effet pris un sérieux retard puisque le service commercial de ces trains a débuté en novembre 2023 sur la ligne E (Eole). Ils sont ensuite arrivés en décembre 2024 sur le RER D. Sur cette ligne, « le RER NG vient renouveler l’ensemble des Z2N circulant sur la ligne (hors branche Malesherbes assurée par des Regio 2N)« , précise IDFM dans un communiqué.

Echaudée par les retards récurrents dans les livraisons d’Alstom, La collectivité demande au constructeur et à Transilien SNCF Voyageurs « d’anticiper dès à présent la livraison de ces trains, de respecter les plannings de livraisons et de mises en services et d’assurer auprès d’Ile-de-France Mobilités un reporting régulier de l’état d’avancement ».

 

Ewa

De nouveaux remèdes pour la ligne malade Paris-Clermont

rame Oxygène
Philippe Tabarot, le ministre des Transports, a dévoilé le 11 avril, un nouveau plan d’amélioration pour la ligne Paris – Clermont-Ferrand, qui connaît des dysfonctionnements récurrents. Il avait auparavant réuni à Clermont-Ferrand un comité de suivi des dessertes ferroviaires (CSDF),  réunissant les plus hauts dirigeants de la SNCF : Jean-Pierre Farandou, le PDG du groupe, Christophe Fanichet, le PDG de SNCF Voyageurs, Matthieu Chabanel, PDG de SNCF Réseau. Alain Picard, directeur général de Caf France, y a également participé.
Le nouveau plan prévoit, dans un premier temps, d’améliorer la maintenance préventive des locomotives et de renforcer les équipes de maintenance par deux postes d’ingénieur au Technicentre de Paris-Rive Gauche à Ivry et à celui de Villeneuve Saint-Georges,  chargés de l’entretien des locomotives de la ligne.
Il vient après un premier plan, en février 2024, qui a peiné à montrer son efficacité contre les pannes récurrentes des BB 26000, avec une recrudescence de celles-ci en début d’année 2025, « Les plans de fiabilisation successifs ciblent chacun des éléments défectueux. Nos investigations montrent que les pannes sont résolues, mais de nouveaux problèmes surviennent sur d’autres composants », explique SNCF Voyageurs.

Deux missions indépendantes

Les recherches de la SNCF pour trouver des locomotives de substitution ayant échoué, un groupe de travail extérieur va être chargé de rechercher des machines avec l’aide du cabinet suisse d’expertises SMA, spécialisé dans le transport et la mobilité qui contacteront les six ou sept loueurs européens de matériels de traction pour trouver des machines disponibles et compatibles avec l’infrastructure. Un deuxième groupe de travail s’occupera d’améliorer la prise en charge des voyageurs en cas d’incidents de longue durée. « Ces deux groupes présenteront leurs travaux fin juillet », indique le ministère des Transpors.
Des mesures sont également mises en place en faveur des voyageurs : 10 000 billets Paris – Clermont-Ferrand seront mis en vente à 19 euros en juin et une réduction du 10 % est prévue pour les forfaits 2025 des abonnés. Enfin, une indemnisation de 200 % s’appliquera en cas de retard de plus de trois heures.

Une étude pour réduire le trajet de 20 à 30 minutes

Des efforts sont pourtant engagés depuis plusieurs années pour améliorer la fiabilité de cette ligne mais la qualité n’est toujours pas au rendez-vous, a regretté le ministre des Transports. Depuis 2018, SNCF Réseau a ainsi investi 760 millions d’euros pour la régénération de l’infrastructure, ainsi que 130 millions d’euros pour des opérations de modernisation, financées par l’État et la région Auvergne-Rhône-Alpes, rappelle le ministère dans un communiqué.  Par ailleurs, 365 millions d’euros ont été consacrés à l’acquisition de nouvelles rames Oxygène et les installations de maintenance de la ligne, Les nouvelles rames construites par Caf, qui doivent être mises en service fin 2027, laissent toutefois espérer une amélioration pour cette ligne longue de 419 kilomètres et empruntée chaque année par 1,9 million de voyageurs.
Pour aller plus loin, une étude sera prochainement lancée « pour définir les travaux nécessaires à une qualité de service optimale et évaluer la faisabilité d’un gain substantiel de temps, de l’ordre de 20 à 30 minutes« , indique encore le ministère. Les conclusions sont attendues en début d’année prochaine, avec des rapports intermédiaires à l’automne.

Ewa

La Bretagne lance une expérimentation permettant d’acheter ses titres de transport à La Poste

TER en Bretagne BreizhGo

La Bretagne, en partenariat avec La Poste, a lancé le 7 avril une expérimentation permettant l’achat de titres de transport BreizhGo, trains et cars dans des bureaux de poste. Un îlot numérique est installé dans les bureaux de poste concernés (il y en a quatre), permettant d’accéder facilement aux plateformes de réservation en ligne et d’imprimer ses billets. Des chargés de clientèle de La Poste peuvent aider les clients.

« Cette initiative inédite s’inscrit dans une démarche visant à rapprocher les services publics des citoyens afin de faciliter leurs déplacements« , indique la région dans un communiqué. L’expérimentation doit durer dix mois.

Ewa

Campagne de promotion du livre de Jordan Bardella : MédiaTransports n’aurait pas dû rompre le contrat

Gare de Nantes

Les Editions Fayard se sont « réjouis » hier du jugement du tribunal des activités économiques (ex-tribunal de commerce) de Paris qui a estimé fautif le refus de MédiaTransports d’exécuter le contrat qui le liait à Hachette Livre pour la diffusion de la campagne d’affichage du livre de Jordan Bardella « Ce que je cherche ». Sous la pression de syndicalistes de la SNCF, la régie publicitaire, qui exploite les panneaux publicitaires pour la RATP et SNCF Gares & Connexions, avait en effet annulé la campagne de promotion de ce livre qui était prévue dans les gares à la fin de l’année dernière.

Le jugement relève que le visuel de cette campagne « n’était pas attentatoire à l’ordre public » et « ne répondait pas aux critères devant entraîner sa prohibition sur la base des CGV de MédiaTransports », indique notamment un communiqué de la maison d’édition. Toutefois, le tribunal a débouté Hachette Livre, maison mère de Fayard, de sa demande d’exécution de la campagne sous peine d’amende.

 

Ewa

La RATP fait part de sa « forte déception » après l’attribution à ses concurrents de deux lots de bus en petite couronne

Concurrence des bus RATP

Ile-de-France Mobilités a confirmé le 10 avril ses choix pour trois lots de bus en petite couronne, dont un seul revient à la RATP, qui a fait part de sa « forte déception« . L’autorité organisatrice des transports franciliens avait déjà fait savoir le 25 mars quels étaient les candidats « pressentis »: outre RATP Cap Ile-de-France, Transdev et ATM.

La filiale RATP Cap Ile-de-France exploitera ainsi, à partir du 1er mars 2026 et pour une durée de cinq (avec une possibilité d’extension d’un an), le site de Massy déjà exploité par le groupe et celui de Morangis, actuellement exploité par Keolis. Ce qui représente 19 lignes de bus ainsi que la création d’une nouvelle ligne entre Longjumeau et l’aéroport d’Orly en 2027.

De son côté, Transdev est désigné pour exploiter, pendant six ans à partir du 1er mai 2026, les lignes de bus du secteur de l’Ourcq, qui couvre principalement le département de la Seine-Saint-Denis mais également la ville de Paris (principalement les arrondissements situés à l’est). Soit 19 lignes de bus (et la création d’une nouvelle ligne de bus dite « Nord-Sud » en 2027 entre Mairie de Montreuil et l’hôpital Avicennes) qui vont lui permettre de prendre pied dans la capitale.

Mais la principale surprise réside dans l’arrivée prochaine, le 1er mars 2026 et pour cinq ans (avec possibilité d’un an supplémentaire), du milanais ATM pour gérer les lignes de bus du territoire Croix du Sud. Ce lot dessert principalement le sud des Hauts-de-Seine et comptabilise 18 lignes de bus dont 5 lignes de Noctilien.

Rappelons aussi que, dans le cadre de l’ouverture à la concurrence des bus de Paris et de la petite couronne, trois premiers lots (Marne et Brie, Boucles Nord de Seine et Bords de Marne) ont été attribués à l’automne dernier à Keolis et à RATP Cap Île-de-France.

Au total, 13 lots doivent être attribués entre novembre 2024 et octobre 2025. Les mises en service sont échelonnées sur 18 mois, entre l’été 2025 et la fin 2026. Le réseau de bus à Paris et en petite couronne, actuellement géré par la RATP, est desservi par 5 000 bus.

Un nouveau lot en grande couronne réattribué à Transdev

Par ailleurs, les premières délégations de service public couvrant les lignes en grande couronne arrivent à échéance. IDFM a ainsi réattribué un lot à Transdev. L’opérateur va donc le conserver six ans de plus. Ce lot couvre 84 communes réparties sur trois communautés de communes (Vexin centre, Vexin Val de Seine et Sausseron-Impressionnistes) dans le Val d’Oise. Soit 30 lignes de bus , trois lignes de Noctilien et deux services de transport à la demande (Vexin Est et Vexin Ouest). Le nouveau contrat, qui prendra effet le 1er août 2025, prévoit la possibilité le prolonger d’un an.

 

Ewa

Les rames de la ligne 14 peuvent désormais se succéder toutes les 85 secondes

Sur la ligne 14, une rame arrive dans la station Pont Cardinet, en direction d’Olympiades.

© Cramos/Wikipedia
Un nouveau cap est franchi sur la ligne 14 du métro parisien : les rames se succèdent désormais, depuis le 1er avril, toutes les 85 secondes pendant les heures de pointe. Une performance rendue possible par l’arrivée des 72 rames MP14, en nombre suffisant pour tenir ce rythme. Les deux dernières rames ont été livrées fin mars et seront mises en service d’ici la fin du mois d’avril lorsque la RATP se sera assurée qu’elles sont conformes et s’adaptent à la ligne.

Autre évolution, il n’y a plus de fermetures anticipées à 22h les lundis et mardis soir. Seules celles des mercredis sont maintenues. « Les tests que nous avons déjà effectués pour installer les nouvelles fonctionnalités du système de commande des navettes, comme la possibilité de les faire reculer jusqu’à la station précédente en cas d’incident sur une autre navette, sont suffisamment avancés pour ne conserver que la fermeture du mercredi », explique Emmanuel Sologny, directeur de la ligne 14. En revanche une interruption totale est toujours prévue cet été, du 4 au 8 août, pour installer la nouvelle version du système de commande.

La fréquentation de la ligne 14 dépasse les 800 000 voyageurs par jour depuis l’ouverture des prolongements nord et sud, l’été dernier, contre 650 000 auparavant. Avec, souligne Jean Castex, le P.DG de la RATP,  « un taux de ponctualité de 100 % et ce, dès le lendemain de la mise en service des prolongements » de la ligne en juin dernier.

Ewa

BreizhGo : La Bretagne vise plus de TER dans les Côtes d’Armor en 2026

TER en Bretagne BreizhGo
17 circulations TER supplémentaires par jour en septembre 2026 dans les Côtes d’Armor. Voilà ce que permettra le protocole BreizhGo Express Nord Armor, signé le 17 mars, par la région Bretagne et cinq intercommunalités (Lannion, Lamballe, Saint-Brieuc, Guingamp-Paimpol, Lanvollon) qui représentent 427 000 habitants. Les six partenaires se sont entendus sur le financement des nouvelles circulations et l’acquisition de matériels roulants de type Regio 2N.

 

Parmi les 17 nouvelles circulations TER, qui s’ajouteront aux 33 existantes, figurent huit circulations entre Rennes et Brest, trois entre Plouaret et Lannion, quatre entre Guingamp et Saint-Brieuc et deux entre Lannion et Saint-Brieuc.

 

Le protocole de coopération BreizhGo Express Nord Armor permettra d’approcher un cadencement avec des TER toutes les 30 minutes dans les gares principales et aux heures de pointe. Avec l’objectif de désaturer la RN 12 en réduisant la circulation de 3 000 véhicules par jour.

 

BreizhGo Express Nord Armor fait écho à l’accord entériné en décembre 2024, qui prévoit d’augmenter les circulations  sur l’axe Vannes – Quimper en Bretagne Sud avec TER en plus par jour à partir de septembre 2025 et 21 en septembre 2026. L’objectif est de diminuer la circulation routière sur la RN 165.

Ewa

CPER : 1,5 milliard d’euros pour les mobilités en Occitanie

LR-Montpellier (34)-Gare Saint Roch-TER Occitanie CPER

Philippe Tabarot, ministre chargé des Transports, Pierre-André Durand, préfet de la région Occitanie, préfet de la Haute-Garonne, et Carole Delga, présidente de la Région Occitanie, ont signé le 4 avril l’avenant relatif au volet mobilités 2023-2027 du Contrat de Plan Etat-Région (CPER) : plus d’1,5 milliard d’euros seront investis dans les mobilités en Occitanie.

Plus précisément, l’Etat et la Région investiront respectivement 656 et 532 millions d’euros pour entretenir et moderniser les infrastructures de transports d’ici 2027. « 70 % de ces investissements seront dédiés aux transports ferroviaires et collectifs en intégrant les projets de services express régionaux métropolitains (SERM) ainsi que le vélo », indique le ministère des Transports dans un communiqué.

Un budget de 240 millions d’euros est notamment prévu de développer des Serm (services express régionaux métropolitains) à Toulouse et à Montpellier. 164 millions seront consacrés à la modernisation des pôles de Toulouse Matabiau et l’Arc méditerranéen et 382 millions financeront des travaux pour mes lignes de desserte fine du territoire. Ou encore 50 millions d’euros seront investis dans des aménagements pour des vélo‑routes.