La région Grand Est est en train d’inventer un nouveau mode de gouvernance pour le transport ferroviaire régional. Elle a d’abord créé le 1er avril 2022 la SPL Mobilités, qui rassemble une cinquantaine de personnes et travaille pour le compte de la région sur les procédures de mises en concurrence des TER, le suivi des contrats ou la mise à disponibilité des trains. Elle planche désormais sur un autre projet : le lancement d’une SPL (Société publique locale) pour gérer les infrastructures ferroviaires.
800 km de lignes concernés
« La Loi Lom permet aux régions de récupérer les lignes de desserte fine du territoire, soit en gestion soit en propriété », rappelle Pierre Merten le directeur général de la SPL Grand Est Mobilités et ancien de SNCF Réseau, 800 km de petites lignes sont potentiellement concernés sur ce territoire, précise-t-il. D’où une réflexion lancée sur la création de cette SPL qui prendrait la main sur la gestion du patrimoine ferroviaire régionale. Ainsi, poursuit Pierre Merten, la région ne serait plus tributaire « de la hausse des péages » décidée par SNCF Réseau et pourrait « maîtriser les investissements et le calendrier des travaux sur ses lignes ».
Pour Thibaud Philipps, le vice-président chargé des Transports au conseil régional de Grand Est, 15 petites lignes pourraient ainsi devenir la propriété de la région d’ici à 2028. « Nous avons missionné la SPL Grand Est Mobilités sur ce projet car nous voudrions créer cette nouvelle SPL d’ici à la fin de l’année », souligne l’élu. « C’est complètement innovant, nous sommes les seuls à vouloir prendre la propriété de l’infrastructure et à créer une SPL ad hoc », ajoute-il, en rappelant que la région devra signer une convention avec l’Etat pour avoir la propriété sur les lignes.
Certains salariés commencent à s’inquiéter côté SNCF Réseau. « Les salariés ne seront pas transférés comme c’est le cas lorsqu’un nouvel opérateur gagne un appel d’offres pour exploiter des TER. Mais ils seront mis à disposition. Ils resteront donc salariés de SNCF Réseau », nuance Pierre Merten. « De plus, les lignes resteront dans le domaine public, et pour le service public », poursuit-il.
Reste le cas où des petites lignes sont très imbriquées avec d’autres types de trafics (TGV, fret…). Certaines sections pourraient alors continuer à rester dans le giron de SNCF Réseau, comme par exemple entre Vendenheim et Haguenau car le TGV arrive sur une paire de voies qui vient d’Haguenau. Dans ce cas, le gestionnaire national des infrastructures a aussi obtenu le soutien de l’armée en raison d’une base militaire implantée près d’Haguenau.
D’abord une gestion déléguée
Quant à la première ligne ouverte à la concurrence, Nancy-Contrexéville, attribuée après appel d’offres à Transdev dans un groupement incluant NGE et la Caisse des dépôts et consignations, elle ne rentrera pas dans ce cadre : il s’agit d’une gestion déléguée de l’infrastructure confiée au groupement qui permettra un investissement de 150 millions d’euros pour régénérer la ligne et la rouvrir aux circulations ferroviaires. Il faudra attendre les appels d’offres suivants pour que la région mette à exécution sa décision, après approbation officielle de l’exécutif régional.
Lorsqu’elle sera créée, la SPL Infrastructures travaillera en étroite coordination avec un seul et même directeur général, Pierre Merten.
Le technicentre industriel de Bischheim a terminé sa mue lancée en 2018. Les nouvelles installations ont été dévoilées le 13 juin aux agents du groupe qui ont travaillé sur le projet, à la veille de journées portes ouvertes destinées aux familles des agents, aux habitants et aux passionnés de chemin de fer. Une opération qui n’avait pas eu lieu depuis 11 ans dans l’établissement.
Industrie 4.0
La transformation s’est déroulée en 139 étapes, afin de concilier travaux et poursuite de l’exploitation. L’objectif était de transformer le technicentre pour lui permettre d’augmenter ses performances et de le hisser au standard de l’industrie 4.0 dans la perspective de l’ouverture à la concurrence.
Le technicentre de Bischheim est spécialisé dans l’entretien des TGV Duplex et Ouigo, notamment la rénovation des rames après 10 à 15 ans de circulation dans le cadre d’opérations mi-vie.
Avec le technicentre d’Hellemmes, Bischheim est responsable du projet Tango, pour Transformation des aménagements de la nouvelle génération des Ouigo. Il s’agit d’équiper les rames Ouigo d’un nouvel aménagement intérieur offrant 653 places, mais aussi d’augmenter de 30 % le nombre de rames en passant de 38 à 50 rames, en transformant les anciennes rames TGV Océane.
La moitié de ces rames (25) sera traitée entre 2024 et 2029 à Bischheim. Chaque rénovation de rames Ouigo demande 50 000 heures de travail au Technicentre qui doit ainsi en transformer sept par an, après une période de montée en puissance.
En 2020, Bischheim a ajouté une corde à son arc avec la rénovation des TER, dans le cadre du projet OPTER qui implique aussi les autres technicentres SNCF sur le territoire national. Sur les 800 rames TER concernées, Bischheim doit en rénover 102 (65 rames AGC et 41 rames TER 2N NG) entre 2022 et 2030, pour le compte de la Région Grand Est.
Hausse de la charge de 41 % sur trois ans
Au total, la charge de travail du technicentre alsacien doit augmenter de 41 % en trois ans, passant de 52500 heures de travail en 2024 et à 74 000 heures en 2028. Une centaine de recrutements est prévue par par an. Elle doit s’ajouter aux 300 nouveaux salariés déjà recrutés depuis 2022. Le technicentre compte actuellement 1045 salariés.
Pour réussir le défi de la transformation, une partie du site de Bischheim (24 hectares dont la moitié bâtie), a été remaniée afin de rationaliser les déplacements de rames. Elles ne parcourent plus que 4 km contre 15 dans l’ancienne configuration des lieux.
Un nouvel atelier de 10 000 m2 permet, grâce à sa modularité, d’accueillir aussi bien des caisses de TGV que de TER. Et pourquoi pas, d’autres types de matériel, dans un contexte de concurrence.
Un autre atelier de 900 m2, a aussi été ajouté en 2022 pour préparer les rames TER à leur arrivée sur site, et désormais pour les TGV.
SNCF Voyageurs a investi 50 millions d’euros sur le site de Bischheim. L’investissement s’élève à 500 millions au total sur l’ensemble des technicentres dans le cadre de la modernisation de l’outil industriel.
Les rames sont levées, pour les libérer de leurs bogies – qui sont aussi révisés au technicentre –, puis désolidarisées, voiture par voiture. Elles sont ensuite débarrassées de leur moquette au sol comme au plafond, et entièrement dégarnies de leurs équipements : sièges, portes-bagages, éclairage, câblages, toilettes, etc.. Chaque élément est trié, en fonction de son état, en vue d’être réparé ou, à défaut, recyclé.
Mises à nu, les caisses ne seront plus déplacées que grâce à deux chariots automoteurs, les movers, commandés par des agents. Une rupture par rapport à l’entretien de niveau 1 à 3 habituellement pratiqué directement dans des rames qui circulent sur des voies ferrés installées sur pilotis à l’intérieur d’ateliers. Mais à Bischheim, cela permet de réduire les distances de déplacements et de limiter l’espace nécessaire dans l’atelier.
L’ancien pont transbordeur de l’atelier a laissé la place à un béton fibré, parfaitement plane. Un revêtement plus adapté à la circulation des chariots.
Après le dégarnissage, les “chaudrons“ rejoignent la cabine de ponçage. Avec le nouveau robot, l’opération prend deux heures, alors qu’il y a deux ans, il fallait quatre agents pendant huit heures. Ce gain de temps a contribué à réduire de 30 % le temps passé par une rame entre 2020 et 2025. Pour les TGV, le temps de stationnement devrait passer de 150 à 100 jours. Et pour les TER, de 120 à 85 jours.
Europorte a annoncé le 11 juin la signature d’un accord portant sur l’acquisition, via sa filiale Socorail, de 67 % des titres de la société Electrofer. Avec huit salariés, cette société spécialisée dans le traitement des rails Electrofer, réalise un chiffre d’affaires annuel de 2,5 millions d’euros.
« A travers cette acquisition, Europorte étend le champ de ses activités de gestion d’infrastructure, ouvrant la voie à de nouveaux débouchés », souligne un communiqué de la filiale du groupe Getlink, La société sera présidée par Raphaël Doutrebente, président d’Europorte, tandis qu’Anne-Sophie Corvaisier continuera à en assurer la direction générale.
Trenitalia poursuit son développement en France. Trois ans et demi après son arrivée, la compagnie italienne a lancé le 15 juin ses premiers trains sur la liaison Paris-Marseille. Quatre allers-retours quotidiens relieront les deux villes, avec un premier départ de Paris à 5h52 et le dernier à 19h02.
Des arrêts sont prévus dans les gares de Lyon-Saint-Exupéry, Avignon TGV et Aix-en-Provence TGV. Les réservations se font sur le site trenitalia.com à des prix commençant à partir de 27 euros l’aller.
Lors d’un Club VRT organisé le 13 mai, Marco Caposciutti, le président de Trenitalia avait indiqué que ses trains à grande vitesse Frecciarossa ont déjà transporté plus de trois millions de passagers sur le territoire français. La compagnie s’attend à embarquer 1,5 million de voyageurs cette année. Puis 2 millions en 2026.
La succession de Jean-Pierre Farandou n’est décidément pas un long fleuve tranquille. Si le nom de Jean Castex pour le remplacer revient avec insistance depuis de longues semaines, la décision tarde à être annoncée par l’Elysée.
En cause, selon plusieurs médias, un possible conflit d’intérêt : Emmanuel Macron se serait rendu compte qu’il faudra attendre le 10 novembre, s’il souhaite confirmer son choix an faveur de Jean Castex, pour pouvoir obtenir l’aval de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). En effet, il faudra laisser s’écouler un délai de trois ans entre deux postes tenus par l’actuel PDG de la RATP : celui de président de l’Agence pour le financement des infrastructures de transports de France (Afitf), même s’il ne l’a été que pendant trois mois à partir d’août 2022, et celui de futur PDG du groupe SNCF. L’Afitf est en effet un établissement public qui distribue les financements de l’Etat et dont le principal bénéficiaire est SNCF Réseau. A ce titre, un délai s’impose entre les deux fonctions, explique l’Informé.
Dissociation des fonctions de président et de DG
D’ici là, le 4 juillet, Jean-Pierre Farandou aura 68 ans, ce qui l’empêchera, en vertu des textes, de rester PDG du groupe. Mais pas président, le décret sur les statuts de la SNCF autorisant un âge pouvant aller jusqu’à 70 ans.
De ce fait, « l’Etat pourrait dissocier les deux postes lors de la prochaine assemblée générale dans quelques jours, pour nommer un directeur général intérimaire… et ainsi laisser la présidence du conseil d’administration à Jean-Pierre Farandou jusqu’à l’automne », explique le journal Les Echos.
Retournement de l’histoire
Cette prolongation de la présidence de Jean-Pierre Farandou ne manque pas de piquant. Il y a un an, début mai 2024, le gouvernement sifflait brutalement la fin de la partie pour le patron du groupe ferroviaire après les critiques de Bruno Le Maire, alors ministre de l’Economie et des finances, jugeant trop onéreux l’accord sur les fins de carrière signé par l’ensemble des organisations syndicales de la SNCF, Et assurant une paix sociale pendant les Jeux olympiques, comme le demandait le gouvernement de l’époque. Le mandat de Jean-Pierre Farandou, qui devait s’achever le 13 mai 2024, avait alors juste été prolongé le temps de passer l’épreuve des JO.
Le coup avait été dur pour le président cheminot, qui se serait bien vu rester jusqu’en juillet 2025, ou aurait volontiers gardé la seule fonction de président jusqu’à ses 70 ans. Mais l’instabilité ministérielle en a décidé autrement, le laissant aux commandes jusqu’à aujourd’hui…
Reste une autre grande question : les députés valideront-ils l’accession de Jean Castex à la tête de la SNCF alors que la RATP représente l’un de ses principaux concurrents dans le contexte de montée en puissance de la compétition dans le ferroviaire? La suite de l’histoire est peut-être loin d’être écrite.
RATP Dev Canada a été retenu pour devenir opérateur en amont du
projet TramCité à Québec. Ce projet prévoit réseau de tramway de 19 km (dont 2 km en tunnel), comprenant 29 stations (dont cinq pôles multimodaux et deux stations souterraines), un centre d’entretien et d’exploitation et un poste de commandement centralisé. La mise en service est prévue pour 2033 et les projections estiment à 75 000 les déplacements quotidiens d’ici à 2041.
Opérateur amont de TramCité
Son rôle consistera à apporter une assistance technique à CDPQ Infra qui l’a sélectionné ainsi qu’au futur exploitant, le Réseau de Transport de la Capitale (RTC), « afin d’anticiper et de résoudre les enjeux liés à l’exploitation et à la maintenance du futur réseau de tramway », explique RATP Dev dans un communiqué du 12 juin.
Contrat de bus en Floride
La filiale du groupe RATP annonce aussi avoir gagné un nouveau contrat de bus à Daytona Beach en Floride. RATP Dev USA gérera le système de transport en commun du comté de Volusia sous la marque Votran avec une flotte de 130 véhicules, exploitée par une équipe de plus de 320 collaborateurs,
Ce contrat de trois ans débutera le 15 août. Il comprend une option de deux années supplémentaires et constitue, pour RATP Dev USA, « son plus important contrat de l’entreprise dans l’État de Floride ».
La SNCF veut franchir un nouveau cap dans l’utilisation de l’intelligence artificielle générative. Elle a annoncé le 12 juin, alors que se tient le salon Viva Tech un partenariat avec Mistral AI pour tester et intégrer progressivement les modèles de Mistral AI dans son propre outil d’IA générative baptisé Groupe SNCF GPT et lancé en janvier 2024. Il s’agit de « continuer d’enrichir l’usage de l’IA générative au sein du groupe », souligne un communiqué.
Groupe SNCF GPT est actuellement utilisé par 100 000 collaborateurs. Il met à disposition des salariés « un moteur IA multi-modèle et sécurisé pour les assister dans leurs tâches quotidiennes« , précise la SNCF. « Les développeurs du groupe SNCF pourront par ailleurs bénéficier de Codestral, la solution d’assistance IA de Mistral AI, afin de les aider dans leurs missions de développement ».
Le groupe veut aussi l’utiliser pour la maintenance prédictive, l’optimisation de l’information voyageurs ou encore pour des plans de transports. Pour y aider, une équipe de Mistral AI dédiée « permettra un accompagnement au plus proche des enjeux industriels et opérationnels ».
Après deux mandats de Marie-Ange Debon (2021-2025), Thierry Mallet redevient président de l’Union des transports publics et ferroviaires (UTPF). Le PDG de Transdev a été élu à ce poste le 12 juin en assemblée générale pour un mandat de deux ans. Parmi ses priorités, il a expliqué vouloir « consolider les ressources nécessaires pour maintenir et développer une offre de transport de qualité ». Un enjeu crucial pour le secteur alors que se tient la conférence de financement des transports.
Marie-Ange Debon, la présidente du directoire de Keolis, devient vice-présidente. La coutume a donc été respectée. Elle consiste à faire alterner chacun des présidents de ces deux groupes à la tête de cette organisation professionnelle pour bien refléter les forces en présence.
Pour le moment, les présidents successifs de la RATP (Catherine Guillouard puis Jean Castex) ont préféré passer leur tour malgré la montée en puissance de RATP Dev dans le transport urbain au-delà de l’Ile-de-France. Tous deux pour se concentrer sur la réorganisation de leur groupe avec l’arrivée de la concurrence sur le monopole historique. Et peut-être, pour le second, avec l’idée qu’il pourrait bientôt quitter son poste, avec la vacance qui s’annonce à la présidence de la SNCF.
Chennai Metro Rail Limited a attribué à Alstom la conception et la fabrication de 32 rames supplémentaires de métro sans conducteur (GOA4) Metropolis soit 96 voitures. Elles sont destinées à la phase II du métro de Chennai en Inde, un projet qui s’étendra sur 119 km environ, dont 76 km surélevés et 43 km en souterrain.
Le contrat, d’un montant de 135 millions d’euros, comprend également la maintenance complète pendant 15 ans, après la période de garantie, la formation du personnel, mais aussi les services de nettoyage, la maintenance des installations et des machines du dépôt.
Ces trains Metropolis de 900 voyageurs seront conçus dans le centre d’ingénierie d’Alstom à Bangalore (Karnataka) et construits dans l’usine de Sri City (Andhra Pradesh), dans le cadre de l’initiative “Make in India“.
Pour la phase I, Alstom a déjà livré 208 voitures depuis l’attribution de son premier contrat par Chennai Metro Rail Limited (CMRL) en 2010.
Ile-de-France Mobilités a lancé le 10 juin la première ligne de covoiturage sans réservation de la région. Cette ligne L1 dessert six communes du plateau de Saclay reliant Cernay-la-Ville à Guyancourt et Gif-sur-Yvette avec des arrêts, matérialisés comme des arrêts de bus.
Exploitée par la société Ecov, elle fonctionne grâce à une application de mise en relation conducteurs – passagers en temps réel, ce qui n’impose pas de réservation préalable. La prime pour les conducteurs pourra aller jusqu’à 200 euros par mois, estime IDFM.
Ce lancement fait suite à un accord-cadre signé entre l’autorité organisatrice des transports franciliens et Ecov, prévoyant un investissement de 39 millions d’euros pour la mise en service de 20 lignes sur huit ans. Deux nouvelles lignes doivent être déployées à partir de septembre.
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