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Ewa

Nouvelle victoire d’Alstom face à Lille dans l’affaire de la modernisation du métro

Métro de Lille

Alstom gagne un nouveau point dans le match qui l’oppose à la Métropole de Lille (Mel) furieuse des retards pris par le constructeur pour moderniser la ligne 1 du métro. Le Conseil d’Etat a en effet rejeté le 21 mai le pourvoi de la Mel qui exigeait d’Alstom des mesures pour pallier les conséquences des retards pris dans le chantier de modernisation. Selon cette juridiction, qui a rejeté les demandes de la collectivité, le pourvoi n’est pas « admis« .

Elle conforte ainsi la décision du 25 janvier du juge de référés du tribunal administratif de Lille, qui avait déjà débouté la Mel en estimant que si la fourniture des rames et du nouveau système de conduite automatique Fluence sur la ligne 1 est bien l’objet du contrat entre les deux parties, les mesures de compensation demandées par la collectivité concernent également la ligne 2… et ne font donc pas partie des obligations contractuelles d’Alstom.

Rappelons que depuis plus de dix ans, Alstom échoue à valider, lors des tests, son système dénommé Urbalis Fluence qui devait être mis en place en 2016 dans le métro de Lille. Des rames de 52 mètres ont bien été livrées mais elles sont stockées, selon des sources syndicales, dans l’attente du nouveau système de pilotage automatique. Le constructeur assurait en janvier que le projet se trouvait dans sa dernière phase avant sa mise en service. Mais la Mel avait décidé le 27 novembre denier « mettre fin ce jour à la médiation engagée avec Alstom et d’aller en justice pour obtenir de la société et de ses dirigeants qu’ils assument enfin leurs responsabilités envers la Métropole Européenne de Lille et les usagers du métro face à une situation critique sans précédent dans l’histoire des transports urbains en France ». 

MH P

 

Ewa

Valider son titre de transport avec un Iphone, c’est désormais possible!

Portique Ile-de-France

A un peu plus de deux mois du démarrage des Jeux olympiques, il est désormais possible de valider son titre de transport francilien grâce à son Iphone (à jour du dernier logiciel d’exploitation) ou de l’Apple Watch. L’achat des titres se fait sur l’appli d’Ile-de-France Mobilités ou sur l’appli Cartes. Concrètement, les abonnés des transports franciliens peuvent non seulement télécharger leur titre de transport avec leur iPhone (ce qu’ils pouvaient déjà faire) mais aussi passer les portiques grâce à leur smartphone. Cette fonctionnalité est déjà disponible depuis 2022 sur les smartphones autres que les Iphone. Mais il a fallu plusieurs années de discussions entre IDFM et Apple pour y parvenir.

Avec une restriction importante cependant : il n’est toujours pas possible de charger ces cartes dématérialisées pour des trajets ponctuels hors de la zone métro couverte par le ticket T+. Le chargement de ces tickets, permettant de prendre les RER ou les trains en banlieue, devrait être possible au début de l’année prochaine.

Pourtant très pratique, tout particulièrement pour les voyageurs occasionnels et les touristes, la validation par carte bancaire n’est pour l’instant pas envisagée par l’autorité organisatrice IDFM qui a donc opté pour les titres dématérialisés.

Ewa

La prime JO atteindra 95 euros par jour à la SNCF si l’accord est signé majoritairement par les syndicats

Un principe a été acté et approuvé par toutes les organisations syndicales représentatives selon la direction de la SNCF qui a organisé le 22 mai une table ronde sur les primes JO , au lendemain d’une journée de grève et après un long cycle de négociations : le montant qui pourra être versé aux cheminots mobilisés à l’occasion des Jeux olympiques et paralympiques sera le même pour tous, quels que soient les métiers. Il atteindra 95 euros par jour si l’accord proposé par l’entreprise est signé par la majorité des syndicats. Ce qui pourrait représenter au maximum 1900 euros pour les cheminots qui travailleraient tous les jours de la période en Ile-de-France. Le groupe SNCF s’est ainsi fixé le même montant maximal que celui promis aux forces de l’ordre par Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur.

D’autres compensations sont prévues comme par exemple une indemnité pour la garde d’enfants d’un montant de 50 euros ou la possibilité de reporter jusqu’à huit jours congés  jusqu’en 2025.

50 000 cheminots seront mobilisés pendant cet événement, dont 30 000 en Ile-de-France et 20 000 en dehors. De plus, 10 000 volontaires renforceront les équipes dans les gares. Ils toucheront un défraiement de 30 euros par vacation (20 000 vacations sont prévues au total) afin de couvrir leurs dépenses notamment de restauration.

« Le coût global de ces mesures n’aura aucun impact pour les contribuables et pour le prix des billets des clients voyageurs« , insiste dans un communiqué la SNCF.

Reste maintenant à savoir si les syndicats vont signer l’accord. Ils ont jusqu’au 4 juin pour le faire.

MH P


4 500 trains supplémentaires en Île-de-France, soit 300 trains de plus chaque jour pour assurer les déplacements des voyageurs;

370 TER supplémentaires dans les villes hôtes (Bordeaux, Châteauroux, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Nice et Saint-Etienne) et une adaptation des plans de transport de TGV et d’Intercités; 37 sites olympiques et 20 sites paralympiques;
56 gares mobilisées pour accueillir, informer et orienter les voyageurs.

 

Ewa

Transdev revoit le management de ses activités ferroviaires

Laurent Senigout

A quelques jours de gagner officiellement le 24 mai l’exploitation de la liaison Nancy-Contrexéville, Transdev a décidé de remanier la direction de ses activités ferroviaires. Jusqu’alors directeur ferroviaire, Claude Steinmetz, est remplacé par Alix Lecadre, responsable jusqu’à présent de l’offre et des métiers ferroviaires. Il devient directeur institutionnel pour le développement du ferroviaire et reste président de Transdev Rail.

Laurent Senigout, qui était directeur de l’urbain (après avoir passé quelques mois en 2022 à la direction de la TaM à Montpellier), monte également en grade : il est nommé directeur général adjoint chargé de l’urbain et du ferroviaire

Ewa

Fabrice Charriere succède à Didier Mathis à la tête de l’Unsa Ferroviaire

Fabrice Charriere

Le Conseil national de l’Unsa Ferroviaire a élu le 14 mai Fabrice Charriere au poste de secrétaire général avec un score de 78,47 %. Il remplace Didier Mathis qui tenait ce poste depuis 2019 et n’a pas pu finir son mandat (qui aurait encore dû durer un an) en raison de son élection, au printemps,au conseil d’administration du groupe SNCF.

Un changement dans la continuité puisque Fabrice Charriere était jusqu’à présent secrétaire général adjoint du deuxième syndicat de la SNCF.

Ewa

Alstom fournira des trains légers pour le nord d’Israël

Trains légers Alstom Israël

Alstom, membre du consortium Haifa Nazareth – Light Rail Line Ltd. et ses partenaires Electra Ltd. et Minrav Ltd. ont signé un contrat, attribué en février 2024, pour la conception, le financement, la construction, l’exploitation et la maintenance du système de trains légers entre Haïfa et Nazareth, avec la société Trans Israël. Le projet NofiT est évalué à 1 milliard d’euros et la part d’Alstom est évaluée à plus de 700 millions d’euros, comprenant le contrat de maintenance d’une valeur d’environ 140 millions d’euros, a annoncé le 16 mai le constructeur français.

 

Ewa

Hauts-de-France. Entrée en service de la dernière rame Omneo Premium

nauguration de la dernière rame Omneo dans les Hauts-de-France, en présence de Christophe Coulo, VP Transports des Hauts-de-France, Jérôme Bodel, directeur régional SNCF Voyageurs, Olivier Delecroix, vice-président commercial France d'Alstom.
Depuis avril, tous les trains Omneo Premium ont été livrés pour remplacer les anciens Corail dans les Hauts-de-France. 19 rames « de type Regio2N extra-longues » commandées en 2018 par SNCF VOyageurs pour le compte la région (pour un montant de 309 millions d’euros) ont été construites par Alstom. Elles ont été mises en service progressivement depuis juin 2023 sur les lignes Paris-Amiens et Paris-Saint Quentin-Maubeuge/Cambrai. La dernière vient d’entrer en service le 21 mai.
Avec une capacité de 463 places assises fixes et 94 strapontins, les rames en double unité pourront offrir plus de 1000 places assises, avec tablettes et liseuses, prises USB et électriques, un espace grands voyages, un accès PMR ou encore 12 emplacements pour les vélos dans chaque rame.

Ewa

Auvergne-Rhône-Alpes: plus d’1,3 milliard d’euros pour les transports d’ici 2027

TER Auvergne-Rhône-Alpes Viaduc de Cize-Bollozon

L’Etat et la région ont annoncé avoir signé le 16 mai un accord pour investir chacun 690 millions d’euros dans les transports d’ici 2027 dans le cadre du CPER (Contrat de plan Etat-Région). Ce plan prévoit que la majeure partie des investissements ira au ferroviaire. Ainsi, 31 % des financements serviront à moderniser le réseau ferroviaire de la région afin notamment de maintenir en service l’ensemble des lignes régionales, y compris les plus petites.

Par ailleurs, 23 % de l’enveloppe globale financeront des services express régionaux métropolitains (Serm), qui doivent être complémentaires aux autres modes de transports (cars, transports publics, vélo…). Ces sommes iront à des projets dans six aires urbaines, dont Lyon, Grenoble et Clermont-Ferrand. Les discussions vont se poursuivre avec les présidents des collectivités;

Le contrat prévoit aussi 494 millions d’euros pour les routes (36 %) et 110 millions pour les véloroutes (8 %).

Réagissant à ce CPER, AuRail, collectif rassemblant 18 organisations d’usagers des transports, l’a jugé « décevant« . Le collectif estime de son côté que la route s’y taille la part du lion et remarque, entre autres, que « 80% du réseau auvergnat en Auvergne Rhône Alpes est constitué de lignes en mauvais état et que les 170 M€ prévus pour la régénération de l’infrastructure en urgence suffiront à peine à la conservation de l’existant en éliminant toute possibilité de modernisation, et, évidement de réouvertures de lignes, réouvertures pourtant plébiscitées par les usagers« .

Ewa

Le métro de Rennes bientôt de retour après une longue panne

Ligne B du métro de Rennes

Nathalie Appéré, la maire de Rennes, a annoncé le 13 mai que la ligne B du métro serait remise en service à partir de la mi-juin. Le métro automatique nouvelle génération de Siemens Mobility était tombé en panne début janvier, un an et demi après son lancement.

« De manière certaine« , 18 trains pourront circuler « à la mi-juin » sur un total de 25 rames, a affirmé l’élue. La date précise ne pourra être donnée que lorsque le STRMTG (Service technique des remontées mécaniques et des transports guidés) aura rendu son avis, suivi d’un arrêté préfectoral.  Ces 18 rames devraient être suffisantes pour assurer le transport de 80 000 à 90 000 voyageurs quotidiens, correspondant au trafic d’un mois de juin.

Rappelons que le Cityval a connu deux pannes importantes, une première mi-novembre 2023, la seconde début janvier. Il a été mis à l’arrêt le 3 janvier dernier. La panne était due à un défaut sur une pièce mécanique située sur un bogie, le chariot sur lequel sont fixés les essieux et qui assure l’interface entre la rame et la voie.

Siemens Mobility a décidé « une évolution technique du système de verrouillage de l’écrou » afin de résoudre le problème, selon un responsable du constructeur allemand.

 

Ewa

Akiem inaugure un nouvel atelier de maintenance à Ostricourt

Le site de maintenance d'Akiem à Ostricourt

Le loueur de locomotives et de trains de voyageurs Akiem a inauguré le 17 mai un nouvel atelier de maintenance à Ostricourt dans le nord de la France. L’ancienne filiale de la SNCF (revendue en 2022 à la CDPQ), qui se présente comme le leader de la location de locomotives en Europe avec 19 % de parts de marché, cherche à renforcer encore ses positions dans le domaine de la maintenance.

Après avoir fait l’acquisition en 2018 de la société mgw Service, un acteur indépendant allemand dans la maintenance de locomotives, elle a créé la division Akiem Maintenance et Services. Le lancement de son nouvel atelier d’Ostricourt de plus de 60 000m² (équipé de 10 postes de travail) pour un investissement de près de 22 millions d’euros s’inscrit dans cette stratégie. « Grâce au site d’Ostricourt, Akiem vise à doubler sa capacité de maintenance d’ici 2026-2027 et à internaliser la maintenance lourde de ses locomotives Prima, prolongeant ainsi leur durée de vie commerciale d’une dizaine d’années supplémentaires. Notre ambition est également de réduire la dépendance vis-à-vis de tiers et de développer de nouveaux services, notamment par la mise à disposition en « open access » de notre tour en fosse », précise, dans un communiqué, Julien Assencio, directeur général de l’activité Akiem Maintenance & Service en France.