Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Ewa

Cinq des six prévenus, dont la SNCF et Systra, jugés coupables dans l’accident d’Eckwersheim

proces accident ferroviaire eckwersheim e1728635733528
La SNCF, Systra et SNCF Réseau ont été reconnus coupables le 10 octobre, par le tribunal correctionnel de Paris, « d’homicides et blessures involontaires par maladresse, imprudence, négligence ou manquement à une obligation de sécurité » lors de l’accident du TGV Est à Eckwersheim. Le déraillement avait causé la mort, le 14 novembre 2015, de 11 personnes.  21 personnes avaient également été blessées gravement et 21 autres plus légèrement. Lors de l’accident, le TGV avait abordé une courbe à 265 km très au-dessus des 176 km/h prévus. Les entreprises n’ont pas correctement évalué les risques des essais en survitesse, a estimé le tribunal.
La société d’ingénierie Systra, chargée des essais, qui « porte la responsabilité la plus importante » dans le déraillement, a été condamnée à une amende de 225 000 euros. La SNCF a été condamnée à une amende de 200 000 euros, doublée à 400 000 euros car son casier n’est pas vierge et SNCF Réseau à 75 000 euros, doublés également à 150 000 euros d’amende.
Le cadre traction a de son côté été condamné à 15 mois de prison avec sursis, au titre notamment de son autorité sur la stratégie de freinage, et le conducteur du TGV à sept mois de prison avec sursis car il a été jugé qu’il n’était pas un simple exécutant. En revanche, le pilote employé par Systra, qui était également présent dans la cabine de pilotage au moment de l’accident, a été relaxé car il a été estimé que ses fautes n’avaient pas contribué à l’accident.
L’avocat de la SNCF a indiqué, à la sortie de l’audience, que l’entreprise allait étudier le jugement pour prendre une décision sur la suite de la procédure.

Ewa

SNCF Réseau choisit de fermer (en journée) la ligne Paris-Orléans pour un chantier hors norme

gare de triage de woippy 1 e1600090270394

Attention gros chantier à venir sur la ligne Paris-Orléans ! SNCF Réseau annonce que cette liaison sera fermée en journée à partir d’août 2025 pendant six mois, pour cause de travaux importants. Dès avril, des travaux préparatoires entraîneront l’interruption des circulations de 10h à 15 h. Puis lorsque le chantier principal démarrera, durant l’été, des coupures sont prévues en semaine entre 9h30 et 17h30 jusqu’à la fin janvier 2026. L’achèvement du chantier est prévu en février 2026.

Des cars de substitutions seront mis en place. Des pauses sont toutefois prévues le week-end et pendant les vacances de Noël.

Le chantier, d’un montant de 133 millions d’euros, a déjà été repoussé deux fois. Il permettra de rénover 70 km de voies entre Boisseaux et Les Aubrais dans le Loiret et mobilisera 400 personnes.

Sa particularité est de se dérouler en journée. Il n’y aura donc pas de TER entre Paris et Orléans aux moments des fermetures des voies. « Si nous saluons la réalisation de ces travaux indispensables , nous ne pouvons ignorer les difficultés qu’ils causeront aux voyageurs quotidiens« , a commenté dans un communiqué François Bonneau, le président de la région Val-de-Loire. « Nous regrettons que nos demandes de privilégier des interventions nocturnes, moins pénalisantes pour les usagers, n’aient pas été prises en compte« , a-t-il ajouté.

SNCF Réseau a fait le choix de privilégier les trains de fret qui circulent essentiellement la nuit « car l’axe Paris-Orléans est majeur pour le fret« , a assumé Matthieu Chabanel qui intervenait le 8 octobre au colloque organisé par l’Association française du rail (Afra).

MH P

Ewa

Pourquoi l’arrivée des bus bi-articulés Tzen 4 en Ile-de-France va connaître un sérieux retard

capture decran 2024 04 08 a 21 17 28 e1728490801391

Mauvaise surprise pour Ile-de-France Mobilités après la faillite au printemps dernier du constructeur de bus Van Hool : le repreneur, l’entreprise néerlandaise VDL, a décidé de délaisser l’activité bus pour ne reprendre que l’activité cars qui l’intéressait. Or, l’autorité organisatrice des transports franciliens avait commandé à Van Hool 30 bus Tzen 4 pour desservir, à partir de la fin de l’année, la ligne qui reliera Corbeil-Essonnes à Viry-Châtillon, en passant par Évry-Courcouronnes, Ris-Orangis et Grigny.

Le constructeur belge était associé en groupement avec Alstom et Kiepe Electric pour la conception et la fabrication de ces bus biarticulés innovants de 24 mètres, 100% électriques, qui peuvent se recharger très rapidement. Mais il faudra encore attendre avant de les voir arriver. « Cinq bus sur trente ont déjà été livrés au centre bus de Corbeil-Essonnes. Les vingt-cinq bus restants sont actuellement à l’usine Van Hool de Lier (Belgique)« , indique à VRT Ile-de-France Mobilités.

Île-de-France Mobilités a donc cherché un nouveau constructeur et trouvé un accord avec le suisse Hess pour lui faire réaliser les prestations qui relevaient de Van Hool. « Hess est en mesure de reprendre la production sans délai dès qu’il aura accès aux vingt-cinq bus« , assure IDFM, qui a négocié un accord avec les curateurs (désignés par la justice belge pour gérer la faillite) pour débloquer l’accès à l’usine et aux bus. « Celui-ci est en cours de formalisation et devrait permettre de débloquer la situation« , ajoute IDFM. Côté usagers, on espère au mieux une arrivée à la mi-2025 de ces nouveaux bus à haut niveau de service, pouvant transporter 140 passagers, pour remplacer la ligne 402, la plus fréquentée de l’Essonne avec quelque 26 000 voyageurs par jour.

Marie-Hélène Poingt

 

 

 

 

 

Ewa

François Durovray veut créer un « comité de liaison » avec les régions sur la billettique et les achats de trains

francois durovray afra e1728488908326

Zou, Aleop, liO… qui connaît ces marques ?, s’est interrogé le 8 octobre, lors d’un colloque de l’Afra (Association française du rail), François Delétraz, le président de la Fnaut, dans une charge contre la multiplication des marques de TER et la volonté des régions de prendre la main sur la distribution de billets de leurs TER. Ce qui morcelle l’offre ferroviaire et complique considérablement la vie des voyageurs, déplore la fédération des associations de défense des usagers.

Auparavant, d’autres intervenants, notamment des représentants des constructeurs Caf et Siemens Mobility, avaient regretté des procédures d’homologation des matériels trop longues, des normes trop souvent changeantes et des « sur-spécifications » demandées par les régions pour avoir un matériel sur-mesure, générant une atomisation du marché et des risques pour l’industrie ferroviaire. Et de formuler le vœu que les régions regroupent leurs demandes pour avoir des trains « sur étagère« , alors que la demande pour des voyages en train est forte.

Pour répondre à ces interpellations, François Durovray a clôturé les débats en annonçant son intention de créer « un club des autorités organisatrices des transports » qui pourrait aussi s’appeler « comité de liaison« . « Il me semble légitime que l’Etat prenne l’initiative d’organiser des réunions avec les autorités organisatrices pour traiter des questions d’acquisition du matériel roulant, de la billettique… et de tout un tas de sujets qui nécessitent une coordination compte tenu des demandes faites par les uns et les autres. L’ouverture à la concurrence justifient des enjeux de transparence« , a assuré le nouveau ministre des Transports.

MH P

 

Ewa

A La Rochelle, une société d’économie mixte pour remplacer la régie des transports

La Rochelle

En 2017, l’agglomération rochelaise (Charente-Maritime) avait délégué les transports urbains à la régie des transports communautaires rochelais, et à Transdev l’exploitation des transports périurbains, transports scolaires et à la demande. Suite à une étude révélant « un bilan contrasté des performances », les élus ont choisi de confier les deux activités à un seul opérateur. Le 26 septembre dernier, ils ont annoncé avoir retenu Transdev, seul en lice, pour assurer la nouvelle délégation de service public du réseau Yelo. La société agira via une société d’économe mixte à opération unique (Semop), à partir du 1er janvier 2025 et pour cinq ans.

La nouvelle structure devra faire face à des objectifs ambitieux : un nouveau réseau, 20 % plus grand que l’actuel, doit voir le jour en juillet 2025. Et la collectivité locale souhaite que la fréquentation atteigne 13,8 millions de passagers par an d’ici à 2030, soit une progression de 38 %.

J-S. T.

Ewa

Les pistes (démoralisantes) de François Durovray pour financer le transport public

François Durovray

Ne comptez plus sur l’Etat pour financer vos projets ! C’est en substance ce qu’a répondu le 3 octobre François Durovray aux représentants du secteur du transport public réunis à Strasbourg à l’occasion du salon européen des transports, EuMo Expo.

Ceux-ci par les voix de Louis Nègre, le président du Gart, et Marie-Ange Debon, la présidente de l’UTPF, avaient réclamé de l’argent pour faire face au « mur d’investissements » qui se dresse devant eux pour mener à bien le développement du secteur. Auquel s’ajoute, selon Louis Nègre, un autre « mur », celui des dépenses de fonctionnement.

Le nouveau ministre des Transports a rappelé que personne n’a « vu les recettes permettant de financer le plan de 100 milliards d’euros » en faveur des transports publics, annoncés début 2023 par Elisabeth Borne, alors Première ministre. Ce plan reste « la feuille de route », a-t-il toutefois assuré. «Il faut réinventer un modèle de financement », a-t-il lancé, en ajoutant que cela nécessitera « un peu de temps ».

Et il a évoqué quelques pistes. Dont le versement mobilité additionnel (VMA), qui existe déjà mais est peu utilisé. Pour cela, il faut, a-t-il expliqué, que les collectivités travaillent davantage ensemble et qu’elles se mettent d’accord (région, métropole, éventuellement départements) afin de créer un syndicat mixte comme le permet la loi SRU. C’est ce qu’a fait la Nouvelle-Aquitaine avec le syndicat NAM (Nouvelle-Aquitaine Mobilités), qui a décidé de mettre en place le VMA, « un outil qui permet d’agir ! », a souligné le ministre.

Les certificats d’économie d’énergie (C2E), qui ne financent pas assez la mobilité, représentent une autre piste. Ou encore, comme le réclament l’UTPF et le Gart, le fléchage d’une fraction du produit de la mise aux enchères des quotas d’émissions des gaz à effet de serre (ETS). Les ETS pourraient représenter une manne de 250 millions d’euros selon eux.

« Evidemment le ministre des Transports est favorable à une affectation des recettes ! L’enjeu est de trouver des solutions sans être obligés à chaque fois de tendre la main vers l’Etat », a souligné François Durovray, avant de conclure :  « C’est une rupture, il va vraiment falloir m’accompagner ».

Malgré le ton de son discours qui pourrait être jugé démoralisant, ce ministre très au fait des réalités du secteur reçoit pour le moment un très bon accueil. « On vous aime ! », ont assuré ensemble Louis Nègre, le président du Gart, et Marie-Ange Debon, la présidente de l’UTPF.

En revanche les transports « lourds » comme le ferroviaire ne semblent plus au coeur du projet. La conférence sur le financement des Serm, qui était attendue cet été, est repoussée à cet hiver, un « horizon «raisonnable ».

Le ministre, qui reste président du département de l’Essonne, n’oublie pas la route qui « continuera à supporter la majorité des déplacements à l’avenir ». Et parie sur l’apport des cars express pour faciliter la mobilité en périphérie des métropoles. Ce qui inquiète des syndicalistes de la SNCF, persuadés que le ferroviaire va en faire les frais.

Marie-Hélène Poingt

 

Ewa

Katayoune Panahi de retour au cabinet du ministère des Transports

Katayoune Panahi, directrice de l'immobilier groupe SNCF

Katayoune Panahi est devenue fin septembre directrice de cabinet de François Durovray, le nouveau ministre des Transports. Cette ingénieure en chef des ponts, des eaux et des forêts était depuis un an présidente de l’association des utilisateurs de La Défense, après avoir été directrice de SNCF Immobilier de 2021 à 2023.

Elle signe aujourd’hui son retour au ministère des Transports puisqu’elle déjà été, entre autres, en 2008, conseillère chargée des infrastructures de transports au cabinet du ministre chargé de la mise en œuvre du plan de relance de l’économie. Dans ce cadre, elle avait piloté le financement des opérations d’infrastructures de transport et de renouvellement du matériel roulant de la SNCF et de la RATP.

Ewa

Le succès du « ticket climat » en Autriche

Particularité de l’« opportunity charging » développé par Siemens pour l’opérateur Wiener Linien à Vienne (Autriche), le pantographe sur toiture capte le courant à partir d’une courte ligne aérienne bifilaire branchée sur le réseau des tramways.

Lancé en octobre 2021 sous l’impulsion des Verts, qui quittent le pouvoir après la victoire de l’extrême droite aux législatives en Autriche, le « Klimaticket », le pass rail autrichien, restera comme une avancée de la précédente législature dans la lutte contre le dérèglement climatique. Ce pass donne un accès illimité aux trains, bus et tram au prix de 1095 euros par an. Soit trois euros par jour.

L’objectif de 100 000 utilisateurs a largement été dépassé : 300 000 personnes ont adopté ce ticket climat qui inclut tous les modes de transport collectif. Nouveauté, depuis juillet, les jeunes de 18 à 21 ans ont droit à un pass gratuit.

Selon Leonore Gewessler, ex-ministre de l’Environnement, qui a accordé un entretien à l’AFP et s’appuie sur une étude de l’organisation VCÖ, l’incidence de ce pass est « réel » pour la planète car près de la moitié des abonnés affirment avoir délaissé leur voiture pour privilégier les transports en commun.

Ewa

Bientôt des locomotives Vectron en France après une nouvelle commande du loueur Beacon

Locomtive Vectron de Siemens Mobility

Quelques semaines après l’annonce de la commande d’Alpha Trains en faveur de locomotives Vectron, c’est le loueur européen Beacon qui a retenu Siemens Mobility pour la fourniture de 25 de ces locomotives multi-système. Cette deuxième commande en peu de temps marque l’arrivée prochaine en France de ce matériel en cours d’homologation, alors que des Vectron circulent déjà à travers l’Europe depuis une bonne douzaine d’années.

Ces locomotives d’une puissance pouvant développer jusqu’à 6,4 MW viendront compléter la flotte existante de Beacon (plus de 180), indique le constructeur dans un communiqué. « Les unités seront produites dans l’usine Siemens Mobility de Munich-Allach », précise-t-il. Ce parc de locomotives doit permettre d’ouvrir de nouveaux corridors en Europe, ajoute-t-il.

Ewa

Le service des TER s’améliore dans les Hauts-de-France

TER Hauts-de-France à Boulogne-Ville
Bonne nouvelle dans les Hauts-de-France : la régularité des TER est en hausse avec un taux qui a atteint 90 % en août, alors qu’il n’était que de 81,9 % en 2022. Dans le même temps, le trafic voyageurs TER a augmenté de 10 % entre 2023 et 2024.
C’est le bilan dévoilé mi-septembre à Lille par Christophe Coulon, le vice-président des Hauts-de-France chargé des mobilités, des infrastructures de transport et des ports. Selon lui, les raisons pour lesquels les TER sont parfois annulés, sont de moins en moins imputables à des causes internes à la SNCF : « C’est moins de 1 % aujourd’hui, contre 4,8 % en 2020 », précise Jérôme Bodel, directeur régional SNCF Voyageurs TER Hauts-de-France.
Ces améliorations sont notamment dues à la hausse des effectifs. « Nous avons multiplié par trois nos capacités de recrutements et avons ainsi embauché, depuis 2022, 1500 personnes, dont 300 conducteurs », rappelle Jérôme Bodel. « Par ailleurs, le taux de réussite à l’examen de conduite se situé entre 85 et 90 %, alors que la moyenne nationale est de 70 %. Beaucoup sont de jeunes, des bacheliers. Nous constations qu’ils perdaient leurs moyens à l’examen, alors qu’ils obtenaient de bons résultats aux évaluations intermédiaires. Pour lutter contre ces échecs, nous avons eu recours à un sophrologue pour les aider à se détendre avant l’examen ». La direction régionale continue de planifier des recrutements les prochaines années, en réservant des places dans les campus SNCF.
33 rames made in Hauts-de-France
La SNCF a aussi planché sur l’amélioration du matériel. Sur le “Y“ picard (Paris – Creil, Paris – Beauvais), les rames TER ont remplacé les rames Corail, tractées, qui prennent plus de temps pour être manœuvrées. « À Paris-Nord, les Corails utilisaient les quais et l’avant gare pendant 40 min. Les nouvelles rames ne restent plus que 20 minutes. Le réseau est donc occupé moins longtemps, ce qui nous permet de gagner 2,2 points de régularité sur ses lignes », explique encore Jérôme Bodel.
D’autres changements sont attendus l’année prochaine. « Nous allons recevoir 33 rames TER “made in Hauts-de-France“, entre janvier 2025 et janvier 2026 », annonce Christophe Coulon. Le montant de la commande représente 565 millions d’euros.
La région a commandé des TER 2N XL de 1250 places. Elles sont destinées à remplacer les rames qui circulent actuellement sur les lignes du sud de la région et ont « une capacité de 800 places maximum, en UM », selon Jérôme Bodel. Ces dernières seront déplacées sur les lignes du “nord“, sur lesquelles circule du matériel plus âgé et moins capacitaire.
Reste la question de l’entretien de l’infrastructure. Malgré « 560 millions de travaux effectués cette année, tous financeurs confondus », a rappelé Marie-Cécile Masson, directrice territoriale Hauts-de-France SNCF Réseau, ce n’est pas assez pour le vice-président, Christophe Coulon. « Je sais que vous faites le maximum, mais vous n’avez assez d’argent pour faire tous les travaux nécessaires, je sais que le budget que l’État vous confie n’est pas suffisant pour entretenir et rénover le réseau », a-t-il commenté.
L’élu a aussi prévenu que des suppressions de trains seront encore nécessaires pour poursuivre les travaux dans les Hauts-de-France, citant les chantiers sur Douai – Cambrai (25 km) dont la réouverture est prévue en mai 2025 (79 millions d’euros), et les travaux préparatoires sur Laon – Hirson (30 km), avant la fermeture de la ligne pour renouveler la caténaire (94 millions d’euros).
Yann Goubin