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Ewa

Los Angeles promet à son tour des « Jeux sans voiture »

Logo des Jeux olympiques de Los Angeles

Les organisateurs des Jeux olympiques de Los Angeles annoncent vouloir à leur tour un événement « sans voiture » et affirment qu’ils encourageront les spectateurs à prendre les transports publics. La maire de la ville, Karen Bass, a précisé début août que le réseau de transport en commun sera développé. Plus de 3000 bus devraient notamment être empruntés à d’autres régions des Etats-Unis.

La maire a également annoncé que le télétravail serait encouragé dans la ville qui compte 2,8 millions d’habitants et plus de 18 millions dans toute la mégapole californienne régulièrement encombrée par d’importants embouteillages.

Ewa

Première épreuve des JO réussie pour les transports publics

Gare du Nord aux couleurs des JO

Première épreuve réussie. Pendant les JO, les transports publics ont rempli leurs missions, affichant de belles performances : les métros ont tenu un taux de ponctualité de 96 % en moyenne, tandis que les trains et les RER affichaient une régularité de 94,6 % avec des pointes à 98 %.
Ils ont permis à 4 millions de spectateurs chaque jour de se rendre aux compétitions, et 4 500 trains supplémentaires ont été mis en service pour tenir la cadence.
Les opérateurs vont être de nouveau confrontés à un défi un peu différent lors de ces Jeux Paralympiques qui doievnt se tenir du 28 août au 8 septembre. Jusqu’à 300 000 spectateurs sont attendus quotidiennement, soit un peu plus de la moitié du flux des Jeux Olympiques de Paris 2024.
Les sites olympiques, tous situés en Île-de-France hormis le para tir sportif, étaient moins nombreux que pendant les JO (huit de moins en Île-de-France), et certaines jauges devaient être moins élevées que celles du mois de juillet, notamment au Stade de France (-10 % de spectateurs attendus), au Château de Versailles (-50 % de spectateurs attendus) et à Vaires-sur-Marne (-45 % de spectateurs attendus).

Pour en savoir plus : ici

 

Ewa

Un conflit bloque le transport ferroviaire de marchandises au Canada

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Quelque 10 000 salariés travaillant pour les réseaux ferroviaires canadiens de fret ont été mis en lock-out, le 22 août, après l’échec de discussions sur les conditions de travail. Depuis plusieurs mois, des négociations sont menées sur le thème de la durée du travail, le redéploiement de salariés et la sécurité, entre direction et syndicats dans deux entreprises de transport de marchandises, CN (Canadien National) et CPKC (Canadien Pacifique Kansas City).

Ces deux compagnies transportent quotidiennement des céréales, des voitures, des produits pétroliers ou encore du bois, pour une valeur quotidienne estimée à 730 millions de dollars américains. D’où des inquiétudes pour le coût de ce conflit sur l’économie du pays, manifestées par des entreprises et des agriculteurs.

Ewa

La RATP dément une fraude au contrôle technique pour ses bus

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« La RATP réfute vigoureusement toutes allégations remettant en cause la sécurité des passagers de ses bus« , a indiqué le 22 août la Régie après la publication d’un article du Parisien, se basant sur le témoignage de plusieurs conducteurs de bus qui affirment avoir régulièrement éteint des voyants d’alerte pour éviter un passage des véhicules au contrôle technique.

« L’article se base notamment sur le témoignage de deux agents impliqués dans des accidents en 2020, pour lesquels ils ont été reconnus responsables, et qui sont actuellement en contentieux avec l’entreprise« , souligne la RATP. « Il n’est pas possible de cacher un défaut sur un bus lors d’un contrôle technique », a également affirmé le 22 août un porte-parole de la RATP, Jimmy Brun, lors d’une conférence de presse, évoquant des « allégations graves et inacceptables à l’encontre de la RATP et de ses pratiques de sécurité pour les bus ». La RATP rappelle également que « tous les bus font l’objet d’un entretien et d’un suivi rigoureux. Un contrôle technique est effectué tous les 6 mois par des centres externes agréés par la préfecture de département ».  

Mais dans son édition du 23 août, le quotidien récidive en donnant la parole à des salariés, notamment à un représentant du syndicat CGT, majoritaire chez les conducteurs de bus, évoquant « de petits arrangements » avec les règles en cas de signalement d’incidents mineurs, conséquences selon lui de deux facteurs : « la pénurie d’agents de maintenance » et le besoin de « produire le nombre de kilomètres commandé par Ile-de-France Mobilités [IDFM] » pour éviter des pénalités.

Dès la publication de l’article, Valérie Pécresse, présidente de l’autorité organisatrice des transports d’Ile-de-France, avait demandé des explications à la RATP. Un rapport préliminaire lui est parvenu mardi 27 août, et dans un communiqué prudent, l’élue écrit attendre toujours un avis du ministère de la Transition écologique sur « le bien-fondé et la conformité » de la procédure d’effacement des voyants anti-pollution. Insistant toutefois sur un fait : « Il n’y a aucun lien entre ces pratiques et les deux accidents de bus relatés par le Parisien« , lit-on dans le communiqué.

La RATP se défend en expliquant avoir bien recours à une valise électronique pour effacer les voyants signalant un souci technique sur le tableau de bord des bus, mais uniquement pour une alerte signalant un dépassement des seuils de pollution autorisés. La Régie doit fournir son rapport final à la Direction régionale et interdépartementale de l’environnement, de l’aménagement et des transports, au plus tard le 6 septembre.

Ewa

André Wyss, futur président du conseil d’administration des Chemins de fer suisses

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Le conseil d’administration des Chemins de fer suisses (CFF) a approuvé en août l’arrivée en tant qu’administrateur d’André Wysss à partir d’avril 2025. PDG d’Implenia, entreprise suisse spécialiste de la prestation de services dans les domaines de la construction et de l’immobilier, il succèdera en 2026 à Monika Ribar à la présidence du CA.

Ewa

Toulouse disposera bientôt du deuxième plus grand réseau de vélos en libre-service en France

Vélos en libre service à Toulouse

A l’occasion de l’inauguration de deux passerelles permettant de relier l’île du Ramier à pied et à vélo à Toulouse, les élus de Toulouse Métropole et de Tisséo collectivités ont présenté fin juin les vélos en libre-service qui entreront service en septembre. Le marché a été confié à JCDecaux, exploitant depuis 2007, pour une durée de douze ans et la somme de 97 M€ plus 25% des recettes.

Nouveauté : 50% de vélos seront à assistance électrique, de couleur orange, avec une autonomie de 40 km, dont la part pourra monter à 75% d’ici la fin du contrat. La flotte sera élargie en deux temps : 117 stations et 700 vélos supplémentaires en septembre 2024 avec un renforcement dans les faubourgs, puis encore 75 stations et 525 vélos pour équiper les communes limitrophes en septembre 2025. Avec 475 stations (et 3 825 vélos), le réseau sera à alors le deuxième de France après Paris, devant Lyon, Marseille et Bordeaux.

Toujours au chapitre des innovations, une application permettra de réserver un vélo à l’avance, de débloquer un ou plusieurs vélos ou encore d’évaluer ceux qui sont loués. Grâce à un support, les smartphones pourront être rechargés sur les vélos à assistance électrique, et 60 stations seront à haut niveau de service avec une interface digitale en plusieurs langues. Actuellement, quatre millions de vélos sont loués chaque année, soit 10 000 en moyenne les jours de semaine.

Catherine Stern

Ewa

Une association dénonce la réservation obligatoire dans les TER

TER Grand Est

Le collectif réseau européen #enTrain s’inquiète, dans un communiqué diffusé le 13 août, de « l’avionisation des TER » , autrement dit la réservation obligatoire à bord des TER. « Elle est déjà lancée en région Normandie et depuis juillet 2024 « pour expérimentation » sur deux lignes TER de la région Grand-Est. La pratique pourrait s’étendre à toutes les régions« , estime-t-il, en indiquant avoir lancé, contre cette politique, une pétition, qui avait recueilli en dix jours près de 9000 signatures.

Selon ce collectif, « la réservation est une contrainte inutile » qui pourrait dissuader de prendre le train pour lui préférer « un mode plus souple mais plus polluant tel que la voiture ou le scooter« .

Cette pratique consiste finalement à adapter la demande à l’offre et non pas l’offre à la demande. C’est donc, poursuit-il, « un cache-misère pour le ferroviaire français, doté d’une infrastructure vieillotte, de lignes du quotidien entretenues à minima, et qui peinent à répondre à une demande croissante de transports moins polluants à des prix raisonnables ».

C’est aussi la position de la Fnaut qui précise par ailleurs qu’elle « a toujours souhaité que, pour les trains de long parcours autrefois dénommés Intercités et pour partie déclassés depuis en TER, une réservation de place assise soit possible mais pas obligatoire, ce qui permet à ceux qui le souhaitent de se garantir une place assise sans empêcher les autres de monter à bord du train« .

Face aux critiques, Régions de France a fini par réagir le 21 août en affirmant que « ce débat, non-vérifié, est sans fondement et ne reflète aucunement les travaux en cours sur les transports express régionaux ». Selon l’association, la réservation obligatoire ne concerne que 1% de l’offre des transports express régionaux. « Au cours de ces expérimentations, des adaptations ont été introduites pour offrir aux clients abonnés une flexibilité d’usage plus grande sur une partie des trains à réservation (quota de places-libres, possibilité de prendre un autre train avec une réservation). Ces dispositifs font l’objet d’un retour d’expérience positif, par exemple en Région Normandie : +10pts de satisfaction clients ont été observés en 2023, +6% de fréquentation (2) », écrit-elle dans un communiqué.

MH P

Ewa

SNCF : de nouveaux smartphones pour les contrôleurs et les agents d’escale

Smartphones Crossrail pour les agents d'escale et les contrôleurs de SNCF Voyageurs
SNCF Voyageurs a de nouveau signé, fin juin, un contrat d’achat de 23 000 téléphones portables avec la société Crosscall. Les smartphones sont destinés aux agents de la relation clients TGV, Intercités et TER (contrôleurs, agents d’escale).
En 2019, SNCF Voyageurs avait déjà choisi, face à des concurrents asiatiques, cette entreprise française, installée à Aix-en-Provence, qui conçoit des téléphones “durcis“, autrement dit adaptés aux usages que peuvent en faire les professionnels, dans le bâtiment, les travaux publics et l’industrie. Crosscall explique fabriquer ou sélectionner les meilleures pièces disponibles pour répondre aux cahiers des charges.
Le modèle retenu par SNCF Voyageurs, le Stellar-X-5, dernier smartphone lancé par Crosscall en octobre 2023, a subi des tests de résistance (40 chutes d’1,5 m sur du béton sur les six faces), mais aussi des tests de flexions, avec une pression de 500 newtons (51 kg environ) sur l’appareil.  Le verre de l’écran est l’un des  plus résistants du marché, certifié IK05, et supportant un impact d’une énergie jusqu’à 0,70 joules. Enfin, le Stellar-X5 est étanche à la poussière, à l’eau douce, comme à l’eau salée (immersion à 2 m pendant 30 min), et peut même continuer de fonctionner dans ces éléments, pour filmer par exemple ou prendre des photos, car l’écran reste fonctionnel.
L’appareil (172,4 mm x 80,1 x 11,9, pour 249 g) dispose d »une capacité de 8 GO,  de la 5G, du Bluetooth 5.2 et du Wifi 6/6E.
« Des tests ont été effectués par la SNCF pour savoir si les smartphones “accrochaient“ bien le réseau, pendant que les trains roulaient, à plus 300 km/h pour certains, s’ils passaient facilement d’une antenne à une autre, etc. », explique Crosscall. Plus le téléphone cherche, plus il consomme d’énergie. D’où l’intérêt, d’avoir des composants qui consomment peu pour ménager la batterie. Pour son Stellar-X5, et sa batterie de 4500 mAh, Crosscall annonce une autonomie de 11 h en utilisant le GPS, et 31 h 20 en communication, soit 2,5 jours en moyenne. « Notre précédent contrat avec SNCF Voyageurs, qui devait durer 3 ans, a été prolongé d’un an grâce à la solidité et à la durée de vie des batteries du Trekker X-4. Si bien que le nouveau contrat est d’une durée initiale de cinq ans. C’est également un argument de durabilité».
L’entreprise qui aussi pour clients la Police nationale et la Gendarmerie (230 000 smartphones leur ont été fourni en 2021) a récemment signé un contrat avec Leroy Merlin pour livrer 29 000 smartphones. Mais l’importance de ces contrats reste assez exceptionnels. Après SNCF Voyageurs, Crosscall espère convaincre d’autres filiales du groupe SNCF ou « des opérateurs de transport ferroviaires en Europe comme Renfe ou la Deutsche Bahn ».
Yann Goubin

Ewa

Les livraisons des rames Omneo 2 destinées à la Normandie ont commencé cet été

Normandie Omnéo 2
La région Normandie a présenté fin juin à Évreux, les deux premières rames Omneo 2 qu’elle a reçues d’Alstom sur une commande totale de 27 rames. Le constructeur les livrera progressivement jusqu’à la fin de l’année.
Elles seront affectées aux lignes Paris-Vernon-Rouen et Paris-Évreux-Serquigny du réseau Nomad et remplaceront les anciens matériels TER 2N NG, V2N, V0 2N et BB 15000 en service depuis plus de 30 ans.
Légèrement différentes des Omneo premium, ces nouvelles rames sont climatisées, dotées de sièges plus confortables, avec prises électriques et USB individuelles, et du wifi. Elles comportent 552 places assises, dont deux places UFR (par rame), et d’une place dédiée à un accompagnement avec un chien guide. Chaque rame comptera aussi 12 emplacements pour vélo, contre 3 dans la précédente génération d’Omneo.
Cellules de comptage
Un système d’information voyageurs équipe chacune des rames afin de renseigner, en temps réel, d’éventuelles perturbations sur les lignes en correspondance. Enfin, les Omneo 2 sont équipés de cellules de comptage.
Ces 27 rames Omneo 2, compléteront les 40 rames Omneo Premium commandées en 2020 (1,25 milliard d’investissement total, financé par la Normandie). Elles permettront d’avoir une flotte uniforme sur l’ensemble des grandes lignes normandes – ces deux matériels peuvent être couplés – apportant notamment davantage de robustesse aux circulations.
La région en attend une amélioration de la qualité de service. En 2023, le taux de ponctualité était de près de 93 %, déjà en hausse de 4 points par rapport à 2019 et stable par rapport à 2022.
L’entretien de ces nouveaux matériels sera assuré sur les sites de maintenance de Sotteville-lès-Rouen et de Clichy positionnés de manière à permettre une meilleure rotation du matériel.
À l’occasion de cette présentation, la région a annoncé un taux de satisfaction voyageurs de 92 % en 2023 contre 90 % en 2022 et 82 % en 2020.
Y. G.

Ewa

Le sous-traitant ferroviaire MTM racheté par le groupe Cochez

MTM racheté par Cochez
L’entreprise Metal Technologies Manufacturing (MTM), sous-traitant des constructeurs ferroviaires (comme Alstom) a été rachetée en avril dernier, suite au départ en retraite de son principal actionnaire, par le groupe Cochez, implanté à Valenciennes dans le Nord.
MTM, qui réalise 80 % de chiffre d’affaires sur un total de 24 millions d’euros, dans le secteur ferroviaire, est spécialisée dans les travaux de mécano-soudure, d’éléments complexes comme des faces de trains ou des absorbeurs de choc. La PME exécute aussi de la découpe laser, du montage, du garnissage, de l’usinage et du pliage de tôles métalliques.
Installée dans quatre sites dont Saint-Amand-les-Eaux (également dans le Nord), elle emploie 155 personnes. Le repreneur devrait réunir les différents usines de MTM dans l’ancien site de Vallourec à Saint-Saulve qu’il a repris en 2023.