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Ewa

Une nouvelle liaison à grande vitesse entre Paris et Berlin

Un ICE à Berlin

Les voyageurs vont bientôt avoir une option de plus pour aller de Paris à Berlin, en journée, la liaison de nuit étant interrompue jusqu’à la fin de l’année pour travaux sur les voies.  La SNCF et la Deutsche Bahn ont en effet annoncé le lancement en commun, le 16 décembre, d’une nouvelle relation directe entre les deux capitales.

Cette ligne exploitée en coopération dans le cadre de l’alliance Alleo sera effectuée avec un train ICE qui pourra rouler à 320 km/h sur la LGV (la SNCF de son côté manquant de TGV). Le train desservira en huit heures, avec un aller-retour quotidien, Paris et Berlin, en passant par Strasbourg, Karlsruhe et Francfort Sud.

Il y a un an, la SNCF envisageait plutôt, pour des raisons techniques, de lancer une liaison Paris – Francfort par Sarrebruck prolongée jusqu’à Berlin. Ce qui avait suscité maintes critiques de la part d’élus alsaciens réclamant un passage par Strasbourg. « Finalement, nous avons réussi à tracer un sillon passant par Strasbourg« , explique Alain Krakovitch, le directeur TGV-Intercités, en estimant que la répartition des liaisons entre Sarrebruck et Strasbourg (ville jusqu’alors moins bien « servie ») devient ainsi plus équilibrée.

Avec cette nouvelle offre, qui sera mise en vente le 16 octobre, le nombre de liaisons quotidiennes entre la France et l’Allemagne va passer de 24 à 26. Elle représente 320 000 places supplémentaires proposées chaque année.

Le prix des billets commencera à 59 euros pour les secondes classes, 69 euros pour les premières.

 

Ewa

Narbonne retient RATP Dev pour gérer son réseau Citibus

La Communauté d’agglomération du Grand Narbonne a retenu le 19 septembre RATP Dev pour gérer le réseau de transport public Citibus. Le contrat de délégation de service public, qui démarrera le 1er janvier, doit durer 8 ans.

« RATP Dev assurera l’activité urbaine et gèrera les lignes interurbaines, scolaires et les services de Transport à la Demande (TAD)« , indique l’opérateur dans un communiqué. Le contrat prévoit également le déploiement de 250 vélos en location moyenne ou longue durée, avec assistance électrique. Le site internet et l’application digitale devront  inclure l’information voyageur, l’achat de titres et l’Open Payment, indique encore le transporteur. « Ce dernier sera disponible sur tous les véhicules urbains et interurbains, simplifiant ainsi les déplacements pour tous les usagers« , ajoute-t-il.

Ewa

Le nouveau projet d’Alstom pour des trains régionaux sans conducteur

Train autonome Alstom

Un jour avant le lancement d’Innotrans, le plus grand salon ferroviaire du monde, Alstom a présenté le 23 septembre son premier train autonome rétrofité. Une première selon le constructeur qui a entamé une campagne d’essais en Basse-Saxe (Allemagne).

Le train régional rétrofité, un Coradia Lint qui affiche 20 années au compteur, peut rouler automatiquement en système ouvert, indique Alstom qui travaille depuis sept ans sur la technologie du train autonome et depuis deux ans sur ce train rétrofité.

Le projet baptisé Arte (Autonomous regional train evolution) cherche à « faire progresser de manière décisive la numérisation du réseau ferroviaire allemand en mettant en œuvre une exploitation automatisée des trains (ATO3) par le biais du système européen de contrôle des trains ETCS4, sans qu’il soit nécessaire d’ajouter des équipements en bordure de voie« , explique Alstom. Il est mené en commun avec l’opérateur LNVG (qui a prêté deux trains), l’université technique de Berlin et le Centre aérospatial allemand, avec le soutien financier de l’Etat allemand et du Land de Basse-Saxe.

Le train est équipé de 14 caméras et deux lidars qui doivent permettre de repérer les obstacles. Et il reste en permanence connecté à un centre de contrôle. Il peut être téléguidé à l’aide d’une tablette ou bien commandé à distance au cas où…

A la différence des autres expériences de trains autonomes lancées jusqu’à présent, la technologie proposée par Alstom peut s’adapter à n’importe quel train régional, affirme le groupe français. « Nous pouvons faire passer n’importe quel train du monde d’un fonctionnement manuel à un fonctionnement automatisé », souligne Florian Kittelmann, le directeur de la mobilité autonome chez Alstom.

Selon lui, la technologie fonctionne et elle n’a pas demandé un gros investissement (10 millions d’euros). Mais elle se heurte aujourd’hui avant tout à des questions réglementaires et juridiques.  Qui serait responsable en cas d’accident? Le constructeur ou l’opérateur? « La question n’est pas tranchée. Mais même si toutes les normes ne sont pas encore définies, nous devons avancer si nous voulons être prêts quand l’homologation sera possible à l’horizon 2032« , explique Florian Kittelmann . « Il faut y aller étape par étape« , ajoute-t-il.

Prochaine étape : dans deux mois, le train devrait circuler sur la ligne commerciale Northeim-Bodenfelde toujours en Basse-Saxe. En ligne de mire, un marché conséquent pour pallier au manque de conducteurs, qui devrait affecter à l’avenir de nombreuses compagnies ferroviaires.  « Dans les dix à 15 ans qui viennent, la moitié des conducteurs partira à la retraite. Nous connaissons déjà aujourd’hui des difficultés à recruter des conducteurs« , commente Florian Kittelmann. Il estime que la moitié des 150 000 trains Alstom en circulation dans le monde pourrait être automatisée. Et apporter ainsi des réponses à toutes les compagnies en manque de conducteurs.

Marie-Hélène Poingt

Ewa

Eurostar s’inquiète de la détérioration des conditions d’exploitation de ses trains aux Pays-Bas

La directrice générale d’Eurostar, Gwendoline Cazenave, a pris sa plume pour s’inquiéter de la détérioration des conditions d’exploitation sur le réseau ferroviaire des Pays-Bas. Dans une tribune publiée le 19 septembre dans le quotidien néerlandais Het Financieele Dagblad, elle menace de ne plus faire rouler l’année prochaine de trains sur le réseau néerlandais si elle n’obtient pas de garanties sur la réouverture du terminal international de la gare d’Amsterdam, fermé depuis juin pour travaux de rénovation. Ce qui a obligé la compagnie ferroviaire à cesser sa liaison directe avec Londres.

Par ailleurs, sur plusieurs tronçons du réseau néerlandais, les trains de la filiale de la SNCF (actionnaire majoritaire) doivent rouler à 80 km/h au lieu de 160 km/h.

En 2023, 4,2 millions de personnes ont voyagé entre les Pays-Bas, la France, le Royaume-Uni et la Belgique grâce à Eurostar, rappelle également la dirigeante.

 

Ewa

Les circulations interrompues jusqu’au 29 septembre après l’incendie de la gare de Vesoul

Le trafic ferroviaire a été interrompu entre Culmont-Chalindrey et Lure, sur la ligne Paris – Bâle, après l’incendie survenu dans le bâtiment voyageurs de la gare de Vesoul le 14 septembre peu après 19 h. Sa toiture s’est effondrée, mais l’intervention des pompiers a permis que le feu ne se propage pas aux bâtiments latéraux dont l’un d’eux abrite le poste d’aiguillage.
L’eau utilisée pour éteindre l’incendie s’étant répandue dans le poste d’aiguillage, celui-ci a dû être neutralisé le temps de mener les expertises et les essais indispensables à une reprise des circulations en toute sécurité.
La reprise du trafic n’est pas envisagée avant le 29 septembre, a annoncé SNCF Voyageurs. En attendant, l’entreprise a mis en place un transport routier à partir de Culmont-Chalindrey pour les trajets TER Grand Est vers/depuis Paris, et à partir de Lure pour les trajets Trains Mobigo et TER Grand Est vers /depuis Belfort.

Ewa

Strasbourg expérimente le transport de fret par tramway

Tramway Strasbourg

Utiliser le tramway pour acheminer des marchandises en ville est une idée régulièrement avancée pour désengorger les villes et réduire la pollution. Un test baptisé « projet Tramfret » avait ainsi été mené pendant un mois, fin 2011, consistant à faire circuler pendant les heures creuses sur la ligne T3 Sud une rame sans voyageurs, deux fois par jour et six jours par semaine.

Strasbourg s’y met à son tour et va l’expérimenter du 16 septembre au 26 octobre sur la ligne B de son réseau. Le test va être mené par La Poste, Alstom, l’Eurométropole de Strasbourg et la compagnie des transports strasbourgeois (CTS).

Des colis Colissimo doivent être transportés de la station Hœnheim Gare à la station Broglie, dans le centre-ville. « À 9h00, un facteur accompagnera une centaine de colis dans la voiture de tête du tramway. Arrivé à Broglie, un second chargera les colis dans un vélo-cargo afin de les distribuer dans l’hyper centre de Strasbourg. Pendant l’expérimentation, un deuxième circuit s’ajoutera en début d’après-midi », indiquent les promoteurs du projet dans un communiqué.

Le test, expliquent-ils, doit permettre de vérifier si les colis peuvent cohabiter avec les voyageurs, sans impact sur le confort des voyageurs et sur l’exploitation du réseau tram, et sans altérer le service de distribution des colis.

Ewa

La justice valide le chantier des aménagements ferroviaires au nord de Toulouse

Le 5 septembre 2023, Inauguration Gare Matabiau Toulouse

Eurosud Team s’est réjoui le 19 septembre de la décision du tribunal administratif de Toulouse qui s’est prononcé la veille contre la suspension du chantier des Aménagements ferroviaires Nord de Toulouse (AFNT).

Cette décision fait suite à un recours déposé par des opposants qui avaient attaqué l’arrêté du préfet de Haute-Garonne du 9 février 2024 portant sur l’autorisation environnementale de l’opération d’aménagements ferroviaires au nord de Toulouse (ANFT), précise l’association, en rappelant que ce projet est le premier maillon de la future ligne nouvelle à grande vitesse entre Toulouse et Bordeaux.
Les travaux, qui avaient débuté fin février avant d’être suspendus, devraient donc pouvoir se poursuivre « dans la perspective d’une mise en service en 2032 et ce dans le plein respect des prescriptions édictées par l’autorisation délivrée » selon le Préfet de Région.

Ewa

Grégoire de Lasteyrie : « Nous allons proposer au gouvernement de continuer les tests sur la vidéoprotection algorithmique »

Grégoire de Lasteyrie

Grégoire de Lasteyrie, maire de Palaiseau et vice-président d’Ile-de-France Mobilités, revient sur les services mis en place pendant les JO dans les transports publics franciliens, et qui sont appelés à perdurer.

Ville, Rail & Transports. Quels sont les principaux points positifs mis en place dans les transports publics pendant les JO et que vous retenez ?

Grégoire de Lasteyrie : Nous avons beaucoup anticipé. Le premier point positif, c’est que nous avons réussi à faire travailler collectivement tous les acteurs concernés : opérateurs, préfecture, collectivités territoriales, services de sécurité, etc…. Tous ont pu constater la valeur ajoutée de ce travail partenarial. Nous le poursuivrons.

Le second acquis porte sur la sécurité. Nous avons recruté beaucoup de personnels en station pour assurer la sécurité et les équipes vont rester. Nous avons ainsi déjà embauché globalement plus de 1000 agents, financés par Ile-de-France Mobilités. Nous avons prévu d’en recruter 1000 de plus d’ici à 2027.

En particulier, 16 brigades cynophiles ont été mises sur pied sur le réseau RATP et viennent s’ajouter aux 50 qui existaient jusqu’alors. Elles permettent d’intervenir plus rapidement en cas de colis abandonnés.

Nous avons également créé une brigade régionale de sécurité pour les transports franciliens (BRT) sous le commandement d’Ile-de-France Mobilités. Une cinquantaine de personnes ont été recrutées pour patrouiller dans le réseau francilien. Nous allons embaucher 50 personnes de plus d’ici le premier trimestre 2025.

Rappelons aussi que le CCOS, centre de coordination opérationnelle de sécurité, -un centre de commandement unique en Europe-, réunit dans un même lieu les différents services chargés de la sécurité des réseaux de transport d’Ile-de-France (SNCF, RATP, police régionale des transports, gendarmerie). La coordination entre ces services permet des interventions rapides et efficaces.

Enfin, nous avons installé 500 caméras supplémentaires dans les gares, à l’occasion des Jeux olympiques et paralympiques. Des gares qui sont de plus en plus accessibles puisque 290 le sont désormais.

VRT. Des renforts en personnel ont permis de mieux informer les usagers et de limiter les files d’attente aux guichets. Seront-ils maintenus?

G. L. Il y aura toujours des renforts sur le terrain mais en moins grand nombre car les besoins ne sont plus exactement les mêmes. Pendant les JOP, 500 000 personnes empruntaient chaque jour les transports publics, sans forcément bien les connaître. Désormais, nous allons plutôt accompagner le développement du Pass Navigo annuel et mensuel ainsi que la montée en puissance de la carte Liberté Plus pour les voyageurs plus occasionnels.

Par ailleurs, les JOP ont permis d’améliorer la signalétique qui était de grande qualité, et d’apporter une meilleure information aux voyageurs notamment sur des RER où l’affluence était mesurée et communiquée en temps réel.

Le recours à l’intelligence artificielle a été développé notamment avec des traducteurs comme Tradivia financé par Ile-de-France Mobilités pour la RATP. Nous avons aussi expérimenté la vidéoprotection algorithmique dans certaines zones des transport publics. L’expérimentation s’achève avec la fin de la loi JOP qui le permettait. Mais nous allons proposer au gouvernement de continuer les tests.

VRT. Les efforts en matière de propreté vont-ils perdurer?

G.L. Nous renforçons nos exigences en matière de propreté de contrat en contrat. Nous allons continuer : nous aurons un réseau plus propre, avec le renfort des actions dans les rames et stations et le renfort du personnel. Mais je crois aussi au renforcement de la répression pour garantir plus de civisme car c’est encore mieux d’avoir une rame ou une station qui n’est pas salie.

Propos recueillis par Marie-Hélène Poingt

 

Ewa

DB Schenker pourrait être racheté par le danois DSV

DB Schenker, la branche logistique de la Deutsche Bahn, a trouvé son repreneur : selon l’agence de presse Reuters, il s’agit du groupe danois DSV, numéro trois sur le marché mondial de la logistique. Si l’opération se fait ( elle doit encore être être approuvée le 27 septembre par le conseil de surveillance du groupe allemand), elle donnerait naissance à un géant de la logistique, DB Schenker étant également l’un des quatre grands acteurs de ce marché dans les domaines du transport terrestre, du maritime et de l’aérien.
La DB envisageait depuis des années cette vente qui devrait finalement lui rapporter un peu plus de 14 milliards d’euros. Présente dans plus de 130 pays (avec 1800 sites d’activités) avec plus de 75.000 salariés, cette filiale est la vache à lait du groupe. Schenker réalise en effet la moitié du chiffre d’affaires de la DB.
Le produit de la vente sera consacré en grande partie à la réduction de la dette de la DB (plus de 30 milliards d’euros) et au financement des infrastructures ferroviaires qui souffrent d’un énorme retard d’investissements. L’Etat allemand, actionnaire du groupe, a en effet exigé de la compagnie qu’elle se recentre sur son cœur d’activité, c’est-à-dire le transport ferroviaire.
 

Ewa

La RATP remonte la pente

Les grosses difficultés de la RATP semblent derrière elle, même si tout n’est pas encore réglé. Ses problèmes de recrutement sont résolus (en particulier 250 conducteurs ont été embauchés pour les JO et au-delà) permettant d’augmenter les rotations des bus mises à mal après le Covid. Les prix de l’énergie se sont « détendus » et les négociations avec les autorités organisatrices de mobilités (en particulier avec Ile-de-France Mobilités) ont permis de « normaliser » l’indexation sur l’inflation de leurs contributions. Enfin, l’offre de transport s’est développée avec la prolongation des lignes de métro 14 et 11 et du tramway T3B. Conséquence, « une très forte dynamique de l’activité » est enregistrée sur le premier semestre, selon les termes de Jean-Yves Leclercq, directeur financier de la RATP. Le chiffre d’affaires, de 3,48 milliards d’euros, fait un bond de 10,2 % comparé à la même période de l’année précédente.

Retour à la normale

« Il y a un retour à la normale de la production« , commente encore le dirigeant, qui estime probable une poursuite de la progression au second semestre. La hausse de l’activité est portée à la fois par l’Epic (+8,5 %) et les filiales (+14,4 %). RATP Dev en particulier a gagné de nouveaux contrats en France et aux Etats-Unis et vu d’autres monter en puissance. Le contrat du métro de Ryad est par exemple entré en phase d’exploitation. L’activité des filiales représente désormais 27 % du chiffre d’affaires du groupe.

Mais le résultat net part du groupe reste négatif, bien qu’en amélioration par rapport au premier semestre 2023 : 54 millions d’euros (contre 129 millions d’euros un an plus tôt). Certaines filiales restent franchement dans le rouge, reconnaît la RATP sans en donner le détail. En plus de ses difficultés à Londres (l’activité doit être vendue), RATP Dev perd de l’argent (comme ses concurrents) avec ses contrats de bus Optile en moyenne et  grande couronne. En cause, comme nous le soulignions dans un précédent article, les surcoûts dus à l’inflation et à l’énergie, la fréquentation toujours en baisse comparée à la période avant-Covid et le montant des pénalités infligées par IDFM pour manquement aux objectifs. Des causes difficilement prévisibles lorsque les objectifs ont été fixés, plaident les opérateurs d’Optile.

Premières attributions de bus parisiens en novembre

L’activité de RATP CAP Ile-de-France pèse aussi dans les comptes. Chargée de répondre aux appels d’offre sur le périmètre des transports parisiens qui s’ouvrent à la concurrence (13 lots de bus parisiens sont en appel d’offre), cette filiale dépense surtout de l’argent pour y répondre. En attendant de pouvoir en gagner, espère-t-elle. La décision sur trois premiers lots est attendue en novembre, le début de l’exploitation est prévue un an plus tard. Le nouveau contrat qui devrait être signé avec IDFM au milieu de l’année prochaine devra en tenir compte. Et préparer également l’ouverture à la concurrence du mode tramway qui sera entière en 2030.

MH P


Un niveau d’investissement record

Les investissements ont progressé de 37 %, en atteignant 1,2 milliard d’euros sur l’Ile-de-France durant le premier semestre. Un record selon la RATP, qui l’explique par le lancement des gros projets d’infrastructures (lignes 14, 11, T3B) et par l’accélération des investissements permettant de fiabiliser l’exploitation pendant les JO. La dette s’est nettement accrue de 700 millions d’euros environ. La RATP s’attend toutefois à sa stabilisation  sur l’ensemble de l’année.