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Ewa

Contrat-cadre record entre MAN et la DB pour une commande de bus

Autobus MAN pour la DB

La Deutsche Bahn a attribué un contrat-cadre portant sur environ 940 bus à MAN Truck & Bus dans le cadre de la modernisation de son parc. Les bus urbains Lion’s City (dans toutes les variantes de longueur) et interurbains Lion’s Intercity LE seront livrés à la DB au cours des quatre prochaines années si les contrats sont pleinement utilisés, les premiers véhicules devant être fournis en 2023. Une grande partie ce ces bus mettront en œuvre la solution EfficientHybrid (avec stockage de l’énergie de freinage), alors que les autres auront une motorisation Diesel ou GNC.

Ewa

Les chemins de fer néerlandais vendent Abellio en Grande-Bretagne

Bus Abellio à Londres, mai 2022

Les Nederlandse Spoorwegen (NS, les chemins de fer néerlandais) s’apprêtent à vendre leur filiale britannique Abellio UK, qui devrait être prochainement rachetée par sa direction (management buyout). Une des principales entreprises de transports publics de Grande-Bretagne, qui exploite quatre franchises ferroviaires (East Midlands Railway, Greater Anglia, Merseyrail et West Midlands Railway) ainsi que plus de 50 lignes de bus à Londres, devrait ainsi (re)devenir britannique d’ici la fin de cette année. Après 20 ans de présence sur le marché britannique, les NS ont en effet décidé de se concentrer sur leur marché intérieur, voire sur les dessertes ferroviaires transfrontalières à destination et en provenance des Pays-Bas.

Nommée Transport UK Group Limited, la nouvelle entreprise de transports publics britannique devrait reprendre toutes les dessertes actuellement assurées par Abellio UK avec ses 15 000 salariés, sous réserve de l’approbation officielle de autorités organisatrices de transport concernées – DfT (ministère britannique des Transports), TfL (transports de Londres) et Merseytravel (transports de la région de Liverpool) – ainsi que de l’accord réglementaire de l’Office for Rail and Road (ORR).

P. L.

Ewa

En Allemagne, une première ligne en exploitation 100 % hydrogène

World premiere: 14 Coradia iLint to start passenger service on first 100% hydrogen operated route

Après presque deux ans d’essais avec deux éléments automoteurs de présérie, le train à hydrogène Coradia iLint d’Alstom passe à l’exploitation régulière sur la « première ligne ferroviaire 100 % hydrogène au monde », entre Cuxhaven, Bremerhaven, Bremervörde et Buxtehude, dans le Land allemand de Basse-Saxe.

Alimentés par piles à combustible à hydrogène, les 14 iLint qui remplacent 15 autorails sur cette ligne de la LNVG (Landesnahverkehrsgesellschaft Niedersachsen, la société des transports du Land de Basse-Saxe), sont exploités par l’entreprise de transports publics evb (Eisenbahnen und Verkehrsbetriebe Elbe-Weser), la fourniture du combustible étant assurée par la société Linde, spécialisée dans le domaine du gaz et de l’ingénierie. Disposant d’une autonomie de 1 000 km après recharge, les éléments automoteurs Coradia iLint peuvent ainsi être exploités pendant une journée entière.

Ewa

Getlink renoue avec les bénéfices et tire profit de ses innovations

Eurotunnel Navettes poids lourds Breda

« Back to business », a proclamé Jacques Gounon en ouvrant la présentation des résultats du premier semestre 2022 de Getlink, dont il est président du conseil d’administration. Pour autant, ce semestre n’était pas si « normal » : le président de Getlink a rappelé à l’occasion que des contraintes sanitaires étaient encore en vigueur au début de l’année… Bref, ce semestre qui s’achève sur des résultats financiers supérieurs à ceux de la même période en 2019 (EBITDA de 309 millions d’euros, soit 49 millions d’euros de plus) se traduit par un résultat redevenu positif, de 52 millions d’euros. Pour autant, la fréquentation du lien fixe transmanche reste en retrait par rapport à 2019, mais Jacques Gounon assure qu’il y a un « appétit des personnes pour circuler, en particulier les Britanniques ». Ceci alors que l’entreprise ferroviaire du groupe, Europorte, continue à se développer et que l’interconnexion électrique transmanche ElecLink a été mise en service le 25 mai.

Yann Leriche, directeur général de Getlink, précise de quelle manière « les choses reviennent à la normale pour notre groupe », même si l’on se doute qu’une comparaison avec le premier semestre 2021, au cours duquel un troisième confinement est entré en vigueur en France, n’est pas des plus pertinents, en particulier pour le transport de voyageurs. Car si, par rapport à la même période l’an passé, le fret par camion a connu une reprise de 19 %, la croissance du trafic voyageurs est tellement énorme (d’un facteur 3,5 pour les navettes, voire 16 pour Eurostar !) que l’on peut se demander si une telle comparaison a vraiment un sens… S’ajoute une ombre au tableau : le nombre de trains de fret, qui était stable aux premiers semestres des deux années précédentes, a baissé cette année de 13 % (754 trains en six mois).

Reste qu’avec 863 000 passagers dans les navettes Voitures et 3,3 millions sur Eurostar au premier semestre 2022, le trafic voyageurs est indéniablement reparti. Mieux: « nous sortons renforcés de la crise, dont nous avons profité pour innover ou apporter de nouveaux services », ose le DG de Getink, comme « le passage de frontière le plus intelligent du monde ». Avec succès : « plus des deux tiers des clients utilisent nos services digitaux ». Et Yann Leriche de se réjouir que 7 voitures sur 10 traversent aujourd’hui la Manche par Eurotunnel, dont la part de marché est moins importante sur le trafic poids lourds (44 %), mais fait quand même du lien fixe le premier opérateur sur ce marché.

Et « pour mieux connaître nos clients, dont les habitudes de voyage changent », Getlink a conclu un partenariat en marketing et innovation avec Salesforce. Car le contexte est plus instable qu’au cours de la décennie précédente. Non seulement on n’a pas vu une telle inflation depuis longtemps, mais les indices des prix à la consommation varient différemment des deux côtés de la Manche : la hausse est en effet beaucoup plus élevée en Grande-Bretagne (+14 % depuis le premier semestre 2019) qu’en France (+6 %). S’y ajoute la crise énergétique, mais sur ce point, Eurotunnel, qui marche à l’électricité, est mieux loti que les traversées maritimes : « jamais l’écart de prix n’a été aussi faible par rapport aux ferries ».

Avec ElecLink, Getlink se lance dans un troisième métier, après Eurotunel et Europorte, « toujours de gestionnaire d’infrastructure, mais pour transporter des électrons ! ». Le goupe, qui vend la capacité du câble par enchères, constate qu’il y a une différence de coût de l’électricité, que les professionnels appellent « spread », entre la France et la Grande-Bretagne. Et « plus le spread est élevé, plus nous sommes intéressants », explique Yann Leriche.

Dans ce contexte, le DG de Getlink considère que chacune des activités du groupe sont solides. En outre, pour son entreprise ferroviaire Europorte, le train de fret au colza est une réalité, alors que ses locomotives Euro 4000 sont équipées du système européen ETCS pour circuler en Belgique. Pendant ce temps, chez Eurotunnel, la première génération de navettes camions (Breda), qui approche les trente ans d’âge dont près de 28 de service intensif, est progressivement retirée de service. Six navettes doivent être réformées d’ici la fin 2023 (trois l’ont été actuellement), ce qui représente 221 wagons qui doivent être « 100 % recyclés ou valorisés ».

En attendant, Getlink affiche un objectif immédiat : « réaliser un bel été » !

P. L.

Ewa

CAF livrera 25 trains régionaux ou interrégionaux en Suède

Train (inter)régional CAF pour SJ

L’annonce avait été faite à l’automne dernier par le client SJ AB (SJ), l’entreprise ferroviaire « historique » suédoise, mais c’est le 11 juillet que CAF a confirmé la commande en Suède de 25 rames automotrices en tranche ferme. A cette tranche ferme, d’un montant de près de 300 millions d’euros selon CAF, s’ajoutent 60 rames en option.

Destinées à circuler en unités, simples, doubles ou triples, à une vitesse maximale de 200 km/h, ces rames de cinq voitures devraient entrer en service en 2026. Leur commande s’inscrit dans le plan de renouvellement et d’augmentation de la capacité du parc SJ, en vue de faire face à la hausse de fréquentation attendue sur les services régionaux ou interrégionaux. Selon SJ, les nouvelles rames CAF sont destinées aux relations Stockholm – Västerås – Örebro – Skövde – Göteborg, Stockholm – Uppsala et Linköping – Norrköping – Stockholm – Arlanda – Uppsala – Gävle – Ljusdal. Elles devraient également remplacer les actuelles rames tractées par locomotives entre Kalmar et Göteborg.

Les rames commandées par SJ sont une déclinaison de la plateforme Civity Nordic de CAF, conçue pour faire face aux conditions climatiques de la Suède. Une unité triple devrait offrir « environ 1 000 sièges disponibles, ainsi qu’un accès facile et une flexibilité pour tous les types de passagers ». Le coût de possession des nouveaux trains devrait être inférieur aux matériels actuels, grâce à leur consommation énergétique et leurs coûts de maintenance réduits.

A l’occasion de cette commande, CAF a rappelé ses récents succès sur le marché nordique, où l’industriel ferroviaire a renforcé sa position avec l’acquisition d’EuroMaint, spécialiste suédois de la maintenance du matériel roulant. Sur ce marché ouvert où de nombreux appels d’offres devraient être lancés dans les années à venir, CAF a développé des trains à grande vitesse pour la Norvège, des rames de métro pour Helsinki, ainsi que des tramways en Suède (Stockholm et Lund) et en Norvège (Oslo). En outre, le groupe CAF produira 20 automotrices régionales électriques et 8 bimodes (biodiesel-électrique) pour la société de matériel roulant AB Transitio, tout en obtenant, par l’intermédiaire d’EuroMaint, deux contrats de service pour SJ. L’un couvre la maintenance pendant 12 ans du parc de trains régionaux Krösatågen et interrégionaux Kustpilen (qui comprendra entre autres les 28 automotrices commandées à CAF par AB Transitio citées plus haut), alors que l’autre porte sur la modernisation, jusqu’en 2025, de 57 voitures de trains de nuit (voitures-lits et couchettes).

P. L.

Ewa

En Suède, la DB vend Arriva aux chemins de fer finlandais

20 aout 2014
Solna (proche banlieue de Stockholm) / Suède
Tvärbanan - Tram "transversal" autour de Stockholm
branche de Solna
Matériel roulant CAF A35

Le recentrage de la Deutsche Bahn sur ses activités ferroviaires en Allemagne se concrétise avec la vente d’Arriva Sverige AB, filiale suédoise de sa filiale Arriva International Ltd, à VR Group, les chemins de fer de Finlande. Signé le 24 mars dernier, le contrat de vente est entré en vigueur le 1er juillet et marque le départ de la DB du marché suédois des transports publics urbains et régionaux. Arriva Sverige AB s’appelle désormais VR, comme sa maison-mère, et ses 3 200 salariés ont changé d’employeur. Pour VR Group, qui comptait jusqu’alors 6 200 salariés, essentiellement en Finlande, cette étape s’inscrit dans une stratégie de développement dans les pays nordiques.

Avec le rachat des activités suédoises d’Arriva, VR se retrouve exploitant de plusieurs réseaux de trains régionaux, tramways et bus. En Scanie, dans le sud de la Suède, VR reprend les trains régionaux Pågatåg pour le compte de l’autorité régionale Skånetrafiken. Dans la même région, VR récupère les bus de Helsingborg et Kristianstad. Plus au nord, dans l’Östergötland, VR est désormais l’opérateur des trains régionaux Östgötapendeln pour le compte de l’autorité organisatrice Östgötatrafiken. Et dans la capitale Stockholm, VR exploite désormais cinq groupes de lignes de bus, deux lignes de tramway (Nockebybanan et Tvärbanan), ainsi qu’un train de banlieue (Saltsjöbanan) pour le compte de SL. Au total, VR gère désormais un parc de 740 bus, 122 trains et 65 tramways en Suède.

P.L.

Ewa

Alstom lance au Québec un centre d’innovation pour la propulsion hybride, à batterie ou hydrogène

fret usa

C’est au Québec, à Saint-Bruno-de-Montarville, où se trouve son siège social pour les Amériques, qu’Alstom va créer un nouveau « centre d’innovation dédié aux solutions de mobilité ferroviaire vertes ». L’implantation de ce centre dans la localité où se trouvait le siège de Bombardier Transport est lié à un engagement pris lors de l’acquisition de ce dernier par Alstom en janvier 2021.

Concrètement, ce centre d’innovation aura comme mission première de « développer les futures plateformes à propulsion verte hybride, batterie ou hydrogène spécifiquement adaptées au marché nord-américain du transport sur rail des biens et des personnes ». Alstom veut ainsi répondre ainsi aux besoins de décarbonisation du secteur, sur un continent où les transports ferroviaires se caractérisent par un faible emploi de la traction électrique pour les trains de voyageurs et un usage quasi-exclusif du mode thermique pour le fret. « Contrairement à l’Europe ou l’Asie, le réseau ferré du Canada et des États-Unis est à peine à 1 % électrifié », souligne Éric Rondeau, qui dirigera le centre d’innovation, tout en précisant que « plus de 27 000 locomotives au diesel » empruntent au quotidien ce réseau nord-américain. Éric Rondeau « a une expérience reconnue dans le domaine de l’électrification des transports », précise Alstom, qui rappelle qu’il a « récemment agi comme conseiller stratégique principal auprès d’Investissement Québec International et le ministère de l’Économie et de l’Innovation du Québec pour la mise en valeur et le déploiement de la filière batterie du Québec ».

Le futur centre de Saint-Bruno, qui pourrait créer jusqu’à environ 80 emplois dans les prochaines années, bénéficiera de sa proximité avec les quelque 500 ingénieurs d’Alstom qui travaillent actuellement sur ce site québécois, où se trouvent des installations dédiées au prototypage, ainsi que des équipements de réalité virtuelle et de réalité augmentée. En outre, les ingénieurs du centre « collaboreront étroitement avec les acteurs clés du secteur québécois de la recherche et de l’innovation, ainsi qu’avec des partenaires industriels de la filière québécoise de la batterie et de l’hydrogène ». Notamment, le centre d’innovation travaillera avec l’Institut de recherche sur l’hydrogène de l’Université du Québec à Trois-Rivières sur les questions liées à l’écosystème de fourniture et d’exploitation de la propulsion à l’hydrogène. Ce centre participera également à l’Initiative de croissance durable de l’Université McGill de Montréal, laboratoire d’idées qui vise à fournir aux entreprises et aux gouvernements « des solutions novatrices pour accélérer la transition verte dans le domaine des transports ».

PL

Ewa

La part de Bombardier dans les trains Zefiro V300 transférée à Hitachi

Treintalia paris lyon milan

La reprise par CAF du site de Reichshoffen et de la plateforme Talent 3 n’est pas le seul épilogue de la reprise de Bombardier Transport par Alstom. Parmi les engagements pris par Alstom envers la Commission européenne, dans le cadre de l’acquisition de Bombardier Transport, figurait également le transfert des activités de ce dernier liées à sa contribution au V300 Zefiro à Hitachi Rail. Ce train à très grande vitesse, aujourd’hui en service pour Trenitalia en Italie et en France, avant l’Espagne avec ILSA, était en effet co-produit à l’origine par Bombardier Transport et AnsaldoBreda, ce dernier ayant été repris par Hitachi. Annoncé le 1er décembre dernier, ce transfert à Hitachi Rail est officiellement finalisé depuis le 1er juillet.

Alstom annonce continuer d’honorer ses obligations concernant les commandes de matériel roulant de Trenitalia et ILSA pour assurer une transition en douceur. Et ajoute que cette transaction, soumise aux approbations réglementaires, « respecte tous les processus sociaux et de consultation des organes de représentation du personnel ».

Ewa

Accord de coopération entre l’Île-de-France et la région de Stockholm

Stockholm

Les régions Île-de-France et de Stockholm ont conclu un accord de coopération « sur l’innovation, la transformation numérique et un avenir durable pour les habitants ». Parmi les domaines communs sélectionnés pour cette nouvelle coopération, le communiqué des deux régions cite l’attractivité, l’intelligence artificielle, des mobilités durables et innovantes, ainsi que la gestion des ressources naturelles et la finance « verte ». Après Lisbonne, Bruxelles et la Bavière, c’est le quatrième accord de ce type que conclut l’Île-de-France. Il comporte une phase de mise en œuvre de cinq ans qui fera l’objet d’un rapport annuel et pourra être ensuite prolongé de cinq ans.

Cet accord de coopération a été signé à l’hôpital universitaire Karolinska de Stockholm par Irene Svenonius, présidente du Conseil régional de Stockholm et Valérie Pécresse, présidente de la pégion Île-de-France, en présence d’une délégation française et suédoise. Il approfondit le partenariat stratégique pour l’innovation, la transformation numérique et les solutions « vertes » signé en novembre 2017 par la Suède et la France.

Une coopération est déjà prévue dans quatre domaines mis en évidence dans l’accord : industrie (partenariats thématiques entre clusters d’entreprises, institutions et organisations dans les secteurs des véhicules autonomes et connectés, des énergies propres, de l’intelligence artificielle et des biotechnologies) ; économie (coopération pour accroître l’attractivité des deux régions à travers des projets communs et de nouvelles collaborations) ; urbanisme et villes intelligentes (partenariats entre acteurs publics pour plus de mobilité durable et le développement des transports publics) ; et environnement (gestion des ressources naturelles et financement « vert »).

Ewa

Siemens fournira sept trains à hydrogène « de deuxième génération » au nord de Berlin

Mireo Plus H pour NEB

La Niederbarnimer Eisenbahn (NEB) a chargé Siemens Mobility de lui fournir sept rames bicaisses à hydrogène « de deuxième génération » Mireo Plus H destinées à la Heidekrautbahn, une petite ligne dans la périphérie nord de Berlin. Cette ligne du réseau NEB sera ainsi la première de la région Berlin-Brandebourg à mettre en service un train à hydrogène, en décembre 2024. Équipées d’une à pile à combustible et d’une batterie lithium-ion, ces sept rames seront les premières de série à faire l’objet d’une commande à Siemens Mobility. A cette commande s’ajoute un contrat de service et de livraison de pièces détachées pendant toute la période contractuelle.

Siemens indique que son train à hydrogène de deuxième génération se caractérise par sa plus grande autonomie, son accélération plus élevée et l’emploi des « technologies les plus modernes ». Concrètement, chaque élément bicaisse disposera d’une puissance de traction de 1,7 MW, pour une accélération maximale de 1,1 m/s² et une vitesse de pointe de 160 km/h. Côté aménagement intérieur, ce train régional devrait offrir tout le confort des matériels roulants les plus récents (wifi, information voyageurs, espaces multifonctions etc.)