Après l’aérien, le low cost gagne les transports terrestres
08 Déc 2020
autopartage , bus , bus à hydrogène , Bus électrique , Bus hybride , cars Macron , Covoiturage , free floating , Low cost , MaaS , navette autonome , TGV low cost , trottinettes , Véhicule autonome , Vélo , vélos electriques , Voiture électrique , Voiture propre , VTC , VTC Taxis
Dossiers > 10 ans qui ont changé la face des transports > Après l’aérien, le low cost gagne les transports terrestres
Article présent dans le dossier : 10 ans qui ont changé la face des transports
Sommaire
- 10 ans qui ont changé la face des transports
- Les nouvelles mobilités désormais sous contrôle
- Des assistants de voyage au MaaS
- La révolution électrique
- Interview de Jean Coldefy, consultant en transports, ex-responsable du pôle projets et services du Grand Lyon
- Après l’aérien, le low cost gagne les transports terrestres
- La mutation des parcs de bus
Calqué sur l’aérien, le modèle du low-cost se répand pour les déplacements terrestres longs. Et rend accessible les voyages à une nouvelle clientèle.
L’engouement pour les « cars Macron » en stand-by
Quel avenir économique pour les « cars Macron » ? Dans son étude semestrielle sur les « Services d’autocar librement organisés » (SLO) publiée le 13 octobre 2020, l’Autorité de régulation des transports (ART) constate un effondrement du chiffre d’affaires des opérateurs en France pendant la crise sanitaire. « Au deuxième trimestre, le secteur subit pleinement la période de confinement, enregistrant un chiffre d’affaires inférieur à un million d’euros », calcule l’ART. Au premier trimestre 2020, six opérateurs présents sur le marché français ont encore réalisé entre 23 et 29 millions d’euros de chiffre d’affaires. La chute est vertigineuse.
La recette par passager aux 100 kilomètres n’a jamais dépassé 5,30 euros hors taxes depuis 2015, à l’ouverture de ce marché libéralisé par la « loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques ». Emmanuel Macron, ministre de l’Economie, défendait en 2015 « une offre tarifaire plus attractive » sur les trajets supérieurs à 100 kilomètres face au « quasi-monopole du train et de la SNCF, via les TGV, les TER et les trains Intercités ». En une année, le marché ...
Il vous reste 79% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.
Retrouvez le dossier 10 ans qui ont changé la face des transports dans le magazine VR&T n°642