Grenoble teste la solution monétique
01 Mar 2016
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Article présent dans le dossier : Les nouveaux moyens de paiement sont-ils fiables ?
Sommaire
- Les nouveaux moyens de paiement sont-ils fiables ?
- La complexité de l'écosystème NFC
- Pourquoi le post-paiement ne fait pas recette
- Pour Wizway, l’union fait la force
- Grenoble teste la solution monétique
- L’Ile-de-France cherche la voie de la dématérialisation
- La solution légère, le QR code
- Londres Quand la carte bancaire ouvre tous les portillons
Grenoble teste pendant un an Paybill, un système qui permet de payer son billet avec sa Carte Bleue sans contact, le reçu devenant le titre de transport.
L'innovation grenobloise de paiement du ticket de bus unitaire par carte bancaire à bord a été très médiatisée. Et pour cause, c'est en effet une première en France. Pour autant, il s'agit d'une expérimentation, se déroulant durant un an sur une seule ligne de bus du réseau Tag. De plus, il ne s'agit pas de valider avec sa CB tenant lieu de carte de transport, mais d'utiliser un automate de paiement sans contact qui délivre un reçu papier servant également de titre de transport à vue, valable une heure. Autrement dit, c'est davantage un système monétique que billettique. Avantage : la solution est
« légère, souple et économique car il n'y a pas besoin de modifier les systèmes existants », assure Frédéric Linossier, directeur général d'Actoll qui la fabrique. Bref, la comparaison avec le système londonien (voir p. 40) est quelque peu abusive, mais il faut bien commencer par quelque chose ! Et l'aspect pratique pour le voyageur occasionnel reste le même.
Depuis le 21 septembre dernier donc, les utilisateurs de la ligne Chrono C1 – qui va de Grenoble à Inovallée à Meylan, via la gare SNCF, le centre-ville, la salle de spectacle L'hexagone, et plusieurs pôles de ...
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Retrouvez le dossier Les nouveaux moyens de paiement sont-ils fiables ? dans le magazine VR&T n°585