Transports Publics 2016. Des (vrais) bus électriques et des véhicules autonomes
01 Juil 2016
Automobile , bus , constructeur , Mobilité , Transport propre
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Sommaire
- Transports Publics 2016. Des (vrais) bus électriques et des véhicules autonomes
- L’Etat prône de faire mieux et moins cher
- 60 % des collectivités veulent de l’électrique
- Le constructeur chinois BYD met deux pieds en France
- A l’honneur sur le salon, les bus électriques de 12 mètres et toujours des midibus et des BHNS
- Bolloré surexposé par les médias ?
- Watt System prêt pour le futur du bus électrique
- Cristal, un système bimodal entre transport public et individuel
- La percée des véhicules autonomes
- Medellín, un exemple pour le transport par câble
- Vers une standardisation de la recharge des bus électriques ?
- Cinq innovations primées
- Transilien et Keolis créent la Mass Transit Academy
- Nouveau : le billet SMS
- Un avant goût de 2030
- Un avant goût de 2030
Le Salon Transports publics 2016, qui s’est tenu du 14 au 16 juin à Paris, a réuni 250 exposants et plusieurs milliers de visiteurs, selon ses organisateurs. Avec une invitée d’honneur : la ville de Medellín. Malgré les innovations présentées, ce Salon européen de la mobilité peine à se renouveler.
Un salon qui, malgré son nom, semble avoir du mal à sortir de ses frontières, avec une présence franco-française plus que dominante. Et dont l’actualité tourne en boucle : que ce soit du point de vue des préoccupations des acteurs – finances publiques en berne, difficultés à augmenter les tarifs et à lutter contre la fraude, ce qui plombe les comptes, ou encore nécessité de gagner en productivité – et de son mode de fonctionnement (avec notamment des procédures d’appel d’offres complexes qui freinent l’arrivée de solutions légères et innovantes dans les réseaux à en croire des patrons de start-up, et qui les obligent souvent à s’allier à de grands groupes).
Pourtant, les collectivités ne sont pas si frileuses et semblent convaincues de la nécessité de rouler plus propres. Elles n’ont pas vraiment le choix puisque la loi sur la transition énergétique va les obliger à acheter 50 % de véhicules à faibles émissions lors du renouvellement de leurs flottes à partir de 2020, puis 100 % en 2025. Mais on reste encore dans le flou sur cette notion de « faibles émissions ». Et le décret qui doit le préciser se fait toujours attendre, au grand dam des collectivités qui s’inquiètent de ces surcoûts pour l’avenir. Et des industriels qui réclament de la visibilité pour leurs programmes d’investissements. Cela alors qu’ils ont déjà fortement investi sur le diesel Euro VI.
Ce flou ...
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Retrouvez le dossier Transports Publics 2016. Des (vrais) bus électriques et des véhicules autonomes dans le magazine VR&T n°589