Introduction
Le Salon Transports publics 2016, qui s’est tenu du 14 au 16 juin à Paris, a réuni 250 exposants et plusieurs milliers de visiteurs, selon ses organisateurs. Avec une invitée d’honneur : la ville de Medellín. Malgré les innovations présentées, ce Salon européen de la mobilité peine à se renouveler.
Un salon qui, malgré son nom, semble avoir du mal à sortir de ses frontières, avec une présence franco-française plus que dominante. Et dont l’actualité tourne en boucle : que ce soit du point de vue des préoccupations des acteurs – finances publiques en berne, difficultés à augmenter les tarifs et à lutter contre la fraude, ce qui plombe les comptes, ou encore nécessité de gagner en productivité – et de son mode de fonctionnement (avec notamment des procédures d’appel d’offres complexes qui freinent l’arrivée de solutions légères et innovantes dans les réseaux à en croire des patrons de start-up, et qui les obligent souvent à s’allier à de grands groupes).
Pourtant, les collectivités ne sont pas si frileuses et semblent convaincues de la nécessité de rouler plus propres. Elles n’ont pas vraiment le choix puisque la loi sur la transition énergétique va les obliger à acheter 50 % de véhicules à faibles émissions lors du renouvellement de leurs flottes à pa
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Publié le 24/01/2025 - Junjie Ling
Publié le 23/01/2025 - Junjie Ling