Et bientôt… Google ?

Qu’il s’agisse de plates-formes d’agrégation ou de désintermédiation (OnePark, Parclick, Neopark), d’intermédiation en C to C (échanges entre particuliers, comme Mobypark, JustPark au Royaume-Uni), ou enfin d’opérateurs fonctionnant à coups de partenariats avec des propriétaires de grand nombre de places (Zenpark, Yespark notamment), c’est parmi ces derniers que la rentabilité serait la plus forte. Explication : « en travaillant avec des bailleurs ou des hôtels, on a la main sur les tarifs, on est libre dans la définition de notre offre », rapporte William Rosenfeld, le PDG et cofondateur de Zenpark. A l’inverse des plates-formes qui travaillent le plus souvent avec des opérateurs aux tarifs encadrés. Quant aux plates-formes d’échanges entre particuliers, « elles ne répondent qu’à une frange de la demande. Dans ce secteur, il risque d’y avoir des consolidations ou des disparitions. Quant aux agrégateurs, ils courent le risque de se voir supplantés par Google : en effet toutes les places chez Indigo, Effia et consorts sont déjà référencées par Google… »  C. N.