Qatar. Tram et métro cherchent exploitant, de préférence le meilleur mondial
«Doha, c’est Paris 1900 !, dit Etienne Tricaud. Une ville où l'on creuse partout pour mettre en place ex nihilo un réseau de métro. » Et c’est un énorme chantier que le métro automatique de Doha. « Il y a eu jusqu’à 21 tunneliers pour le réaliser », relate Diego Diaz, directeur International du groupe SNCF. Le génie civil confié à plusieurs consortiums est achevé. D’autre part, la réalisation ferroviaire des trois lignes, rouge, verte et or, a été attribuée en février 2015 à un consortium ayant pour leader Mitsubishi Heavy Industry avec Kinky Sharyo et Mitsubishi pour le matériel roulant – 75 rames de trois voitures – Thales pour le CBTC, les systèmes de télécommunication et sécurité, le centre de contrôle et la billettique, et Hitachi pour la maintenance et la fourniture de véhicules d’inspection des infrastructures. Un consortium jumeau de celui qui avait remporté les lignes rouge et verte du métro de Dubai. Quant à la supervision, elle est assurée par Systra et Parsons. Ceux qui estimaient qu’en décrochant le métro de Duba
Le dossier complet est réservé aux abonnés ou aux détenteurs d’un porte-monnaie électronique, connectez-vous pour y accéder.
*Formule numérique sans engagement à partir d’un 1€ par mois !
Publié le 30/12/2024 - Yann Goubin
Publié le 16/12/2024