La négociation n’a pas toujours été facile, mais Poitiers se considère au bout du compte bien traitée par la grande vitesse. Pour Alain Claeys, maire socialiste depuis 2008, « nous sommes dans une économie de flux et, c’est une banalité que de le dire aujourd’hui, une agglomération qui n’est pas sur des flux est en grand danger, qu’il s’agisse du chemin de fer, d’un aéroport ou du très haut débit ». S’agissant du ferroviaire, Poitiers est selon son maire « privilégié ». La porte d’entrée de la Nouvelle-Aquitaine jouit déjà d’une bonne desserte, qui va se trouver « renforcée », dit-il : 16 allers-retours avec Paris, certains en 1 heure 15, soit un gain de dix minutes. Qui plus est les liaisons avec Bordeaux, en 1 heure 05 pour les meilleurs trains, seront bonnes aussi. Renforcée, la liaison avec Paris ? Plus grande vitesse devrait renforcer l’attractivité de la ville. Surtout qu’un danger a été écarté. La desserte ne va pas se disperser. Il n’y a pas de gare sur la ligne nouvelle, comme cela a été à un moment évoqué, quelque part e
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