« Ça sera par moment galère, mais une galère joyeuse », promet Ryadh Sallem
L’athlète a évolué en natation, basket-fauteuil, puis rugby-fauteuil. Son objectif : remporter l’or aux Jeux paralympiques de Paris, une consécration pour celui qui a fait de la reconnaissance du handisport le combat de sa vie. Son regard sur l’accessibilité des transports.
Ville, Rail & Transports : Vingt ans après la loi Handicap, l’accessibilité des transports publics vers les sites des épreuves des JOP est-elle à la hauteur ?
Ryadh Sallem : Les transports à Paris, sans les Jeux, c’est déjà compliqué ! Avec les Jeux, ça le sera encore plus, mais ce n’est pas impossible. La promesse est tenue, même s’il reste des trous dans la raquette. Et puis le contexte géopolitique ne fait qu’aggraver les choses. Les navettes, les taxis, les dispositifs sont en place, mais la sécurité est sur-augmentée. Le risque [terroriste, ndlr] est si énorme, que ça impacte forcément la mobilité.
VRT : Qu’est-ce qu’il reste à faire ?
R.S. Pour le bâti, les Jeux sont un formidable accélérateur pour l’accessibilité des pers
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