Comment les start-up inventent la mobilité de demain
La mobility tech est en vogue. En 2018, les 2 800 start-up du secteur ont levé 44 milliards de dollars à l’échelle internationale(1). Les Françaises ne sont pas en reste et Paris rivalise avec des places comme Berlin, Londres, Vancouver, Tel Aviv ou New York. Pas San Francisco où sont nées celles qui sont devenues des « licornes ». Pour 100 start-up qui trempent dans le petit bain, cinq seulement iront frayer dans l’océan. Si bien qu’il n’existe à ce jour qu’une licorne française, BlaBlaCar, qui a récemment racheté Ouibus en échange d’une énorme prise de participation de la SNCF. Décryptage d’un écosystème bouillonnant.
Elles sont couvées au Rolling Lab de Paris&Co ou chez Via ID, les deux principaux incubateurs français spécialisés d’où sont sortis Zenpark, Heetch, Karos, Drivy ou encore Navya. Elles sont ensuite accélérées et chouchoutées si elles savent se montrer agiles, capables de se faire un réseau et être robustes à l’épreuve du marché. Et seules les plus prometteuses décrochent leur première levée de fonds pour passer en quelques années en série A, puis B (lire plus bas l’article Le cycle de vie d’une jeune pousse). Ces happy few partent alors assez vite à la conquête de marchés européens puis internationaux, indispensables pour être rentables.
L’indispensable conquête de l’international
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Publié le 19/12/2022
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