fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

SNCF Réseau planche sur un panel d’alternatives au glyphosate

05 Déc 2018

Dossiers > Les constructeurs veulent « verdir » les trains > SNCF Réseau planche sur un panel d’alternatives au glyphosate

Article présent dans le dossier : Les constructeurs veulent « verdir » les trains

  Pour désherber voies et pistes et répondre aux impératifs de sécurité, SNCF Réseau, plus gros utilisateur de glyphosate en France, a besoin de 35 tonnes par an de ce produit soupçonné d’atteindre gravement la santé. L’entreprise se prépare à l’interdiction de ce produit en testant tout un panel de solutions. Le glyphosate ne cesse d’obtenir des sursis : cinq ans, a dit l’Europe en 2017 ; trois ans, promet la France en 2018 sans toutefois l’inscrire dans la loi. Une chose est sûre : l’étau se resserre autour de ce produit miraculeux, mais soupçonné de graves atteintes à la santé. Pour SNCF Réseau, comme pour tous les gestionnaires des réseaux ferroviaires européens, un véritable compte à rebours a commencé. Le glyphosate permet aujourd’hui à SNCF Réseau d’assurer le traitement de ses quelque 95 000 hectares et 60 000 km de voies et pistes, pour un coût d’environ 30 millions d’euros par an. « Nous avons fait réaliser une étude qui a révélé que le coût monterait à 500 millions d’euros si nous devions utiliser des moyens traditionnels. Et nos collègues européens font également état de coûts d’entretien 15 à 20 fois plus chers », expose Michel Morin, responsable du département Voies et abords de SNCF Réseau. Branle-bas de combat Alors à l’été 2016, quand la Commission européenne a une première fois décidé de renouveler l’autorisation du glyphosate pour seulement 18 mois, SNCF Réseau a lancé « un programme de recherches de solutions alternatives innovantes et industrialisables ». Plusieurs pistes sont à l’étude, à commencer par l’utilisation de produits de biocontrôle, qui ...

Il vous reste 94% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Retrouvez le dossier Les constructeurs veulent « verdir » les trains dans le magazine VR&T n°618

DOSSIERS PrécédEnts

Grands Prix de la région Capitale 2024

Destination Strasbourg pour European Mobility EXPO

Bus électriques : toujours le vent en poupe

Les espoirs et les pièges de la smart city