Véhicules déja disponibles

Toyota iRoad

Ce trois-roues n’est pas commercialisé mais a été testé dans plusieurs grandes villes mondiales dont Metz, entre 2013 et 2017.

  Citroën AMI

Énorme succès pour ce quadricycle électrique lancé fin 2020 (plus de 20 000 exemplaires vendus) malgré un look et une rusticité que les journalistes auto n’ont pas salués. Sans doute grâce à son prix (7 900 euros hors déduction bonus écologique), et la possibilité de la conduire sans permis, à partir de 14 ans.

  XEV Cars Yoyo

Un faux air de Twizy pour ce quadricycle électrique dessiné et conçu par des Italiens, et fabriqué en Chine, équipé comme une citadine thermique. Permis B1, dès 16 ans, bridée à 90 km/h (L7e). À partir de 15 890 €.

  Estrima Birò

Quadricycle électrique aux dimensions minimalistes (1,79 m de long, 1,1 m de large), plus petit que l’AMI mais plus cher (10800 €), qui permettent de se garer perpendiculairement sur les places de parking. Avec batteries amovibles pour les charger chez soi, si l’on stationne dans la rue. 

Ligier Myli

La première électrique de Ligier est sortie en mai (son concurrent Aixam avait déjà mis son e-City Sport sur le marché). Jusque-là, le constructeur de voitures sans permis, né en 1969, les équipait d’un moteur diesel. Les temps changent. Mieux équipée que l’AMI. 12 499 €.

  Wello

Wello proposait depuis plusieurs années des vélos à assistance électrique en version cargo, cargo-isotherme, et deux places. Mais il s’est déclaré en faillite, il y a quelques semaines. L’entreprise est à vendre.

  Stilic Force Cyclospace

Le Cyclospace est un engin inclassable. Mi-véhicule de travail mi-engin de balade, il n’est pas construit en série, mais sur commande, ce qui explique un délai de fabrication de trois mois avec de la chance, et souvent beaucoup plus. En contrepartie, il est adaptable aux besoins, notamment en nombre de places. De 4 000 à 8 000 euros.

  Carver Cargo et Carver S, R

Ce véhicule à trois roues (deux à l’arrière, une à l’avant) étroit (de 0,98 à 1,08 m de largeur) conçu par des Néerlandais, est particulièrement orginal puisque la cabine se penche dans les virages pour compenser la force centrifuge. De l’avis des testeurs, c’est déroutant les premiers kilomètres puis totalement grisant. Le réseau commercial en France est en cours de constitution, mais on peut déjà commander. 

  Twike

La version 5 du Twike est en pré-commande. Et les performances annoncées sont encore plus folles : 190 km/h pour le modèle équipé des batteries les plus puissantes. Pourtant il s’agit toujours d’un vélo trois-roues équipé d’un pédalier, d’une assistance électrique, et un carénage très aérodynamique qui lui confère ses performances de courses.

  Silence SO4

Silence est un entreprise espagnole qui collabore avec Seat.Elle a développé son propre véhicule électrique urbain, le SO4, dérivé des scooters SO1 de la marque, dont elle a livré les premiers exemplaires en avril. Taille mini (2,28 m x 1,29 m) mais deux places côte à côte, et batterie (une ou deux selon le modèles L6e et L7e) amovible, sorte de gros cubes montés sur roulettes pour le charger chez soi. Voiture connectée, écran tactile. 15 669 € sans le bonus. 

  Microlino

Construite en Suisse, cette micro-voiture toute en rondeur est une version électrique de la célèbre Isetta de BMW sortie en 1955, avec cette porte unique qui s’ouvre sur le devant. Mais en version plus moderne, puisqu’elle est électrique, à quatre roues, et deux places côte à côte, au lieu de l’une derrière l’autre dans l’Isetta.

À partir de 17000 euros.

Renault Twizy

Lancé en 2012, c’est l’un des plus anciens quadricycles électriques à deux places (l’une derrière l’autre). À sa sortie, ce véhicule a beaucoup surpris par ses caractéristiques entre voiture étroite avec des demi-portes et moto couverte à quatre roues. Son probable successeur, le Duo, qui sortira l’année prochaine aura des portes « papillon », deux places côte à côte.

  Humbird Woodybus

C’est la version à pédales du bus scolaire. Construit par Humbird, le Woodybus (3,50 m de long, 1,1 m de large, 1,90 m de haut) est en pin des Landes, avec des panneaux photovoltaïques sur le toit pour soutenir l’assistance électrique. La communauté de communes Seine-Eure en a commandé une quarantaine et les agglomérations de Grenoble et de Pornic veulent l’expérimenter.