Philippe Yvin, bizarrement nommé, mal remercié
L’histoire dira peut-être dans quelle mesure Philippe Yvin (né en 1957) est personnellement responsable d’une dérive du Grand Paris, soit dans les coûts, soit dans les délais. Mais, quel que soit son président, la SGP ne pouvait que dériver. Et ce serait franchement moche de lui faire porter, à lui seul, le chapeau. Ni le calendrier ni le coût n’étaient crédibles. Pas de chance pour lui, Philippe Yvin est devenu président de la SGP à l’heure de vérité. Au début, le rôle du président de la SGP, c’était surtout d’écouter les élus et les riverains, de donner à chacun, de refuser le moins possible, de ficeler tant bien que mal un projet qui fasse politiquement l’unanimité tout en semblant financièrement présentable, en déchargeant l’Etat de tout un boulot qui n’est pas de tout repos. Un pr
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