Un projet contesté devant le Conseil d’Etat
Des associations, élus locaux et habitants d’Ile-de-France ont demandé le 10 juillet dans une lettre ouverte adressée à Nicolas Hulot, le ministre de la Transition écologique, de stopper le projet CDG Express en raison de son impact environnemental, son coût pour les finances publiques et l’absence de concertation. Selon la Coordination signataire de la lettre, il est impossible de « concilier les objectifs de qualité de l’air, de bruit, de consommation d’énergie, et d’émissions de gaz à effet de serre avec ce projet ». Et de préciser : « On peut craindre l’augmentation du bruit dans des secteurs déjà surexposés, l’impact foncier du projet […] et des effets négatifs sur les conditions de transport des passagers du RER B. En outre, le projet, qui prévoit de consommer 25 hectares de terres cultivables, ne présente aucun inventaire naturaliste et n’aborde que succinctement l’aspect
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