Bus propres. Défi français et benchmark européen
15 Fév 2018
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Sommaire
• La RATP et Ile-de-France Mobilités ont lancé l’appel d’offres massifs annoncé. Le marché peut aller jusqu’à 1000 bus électriques. Défi pour la RATP, l’adaptation des centre-bus. Explications d’Alain Batier, patron du matériel roulant bus.
• La RATP privilégie la charge lente en dépôt. Elle n’est pas la seule. Mais la Stib, à Bruxelles, reste partagée entre charge lente et charge rapide. Les constructeurs doivent s’adapter.
Volvo se plie au mode de rechargement choisi par l’opérateur. Dietrich Carebus, avec Yutong, passe de la charge lente à la charge rapide. L’électromobilité est quoi qu’il en soit une école de la diversité. Mercedes garde le cap sur la pile à combustible. Et le trolleybus fait école
en Europe… mais la France l’ignore étrangement.
• A côté de l’électromobilité, la France soutient le GNV. Ça tombe bien pour Iveco, grand promoteur de la solution, et pour l’entreprise du même groupe FTP, reconvertie dans la filière. Mais le biogaz ne se résume pas au GNV et Scania a réussi, au terme d’un parcours
d’un combattant, à faire homologuer en France sa solution bioéthanol.
• En France, le diesel est devenu un gros mot. Outre-Manche, on se prépare à remotoriser en norme Euro VI des bus de la génération précédente. Dans la phase de transition, le diesel, resté nettement plus économique, n’a pas dit son dernier mot.
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Retrouvez le dossier Bus propres. Défi français et benchmark européen dans le magazine VR&T n°608