fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Beaucoup de franchises, peu d’open access

08 Mar 2018

Dossiers > Grande-Bretagne. Un réseau ferré qui revient de loin > Beaucoup de franchises, peu d’open access

Article présent dans le dossier : Grande-Bretagne. Un réseau ferré qui revient de loin

Seules quelques lignes sont exploitées en open access dont les Hull Trains (FirstGroup) qui assurent des relations entre Londres et Hull sans changement, contrairement aux trains franchisés.

    Si on parle depuis le milieu des années 1990 de la « privatisation » du rail britannique, il s’agit en réalité principalement de délégations de service public, la véritable concurrence se limitant à quelques dessertes en « open access ».   Le paysage ferroviaire britannique actuel est très contrasté, entre la foule d’une rame moderne dans la banlieue de Londres en heure de pointe, le confort et le service à la place en 1re classe dans un train grandes lignes à l’heure du ­dîner ou les secousses d’un autorail Pacer sur une ligne rurale du nord de l’Angleterre. De plus, tous ces trains portent des livrées totalement différentes : ce détail est sans doute l’effet le plus visible de l’apparition de nouveaux opérateurs « privés » sur le réseau ferré britannique dans la deuxième moitié des années 1990. Mais plus que d’une « privatisation » des chemins de fer, il faut parler ici d’une délégation de service ­public. Et s’il y a concurrence, c’est plus pour les décideurs dans leurs bureaux lors de l’attribution des franchises que pour les voyageurs qui attendent sur le quai d’une gare desservie par les quelques relations assurées en open access. Tordons définitivement le cou à un mythe : non, ce n’est pas du temps où Margaret Thatcher occupait le 10 Downing Street que les ...

Il vous reste 86% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Retrouvez le dossier Grande-Bretagne. Un réseau ferré qui revient de loin dans le magazine VR&T n°609

DOSSIERS PrécédEnts

Grands Prix de la région Capitale 2024

Destination Strasbourg pour European Mobility EXPO

Bus électriques : toujours le vent en poupe

Les espoirs et les pièges de la smart city